Avis : Chucky 3 - Page 4

Globalement, cette trilogie est décevante. Bien sûr, il y a plusieurs spin-off de la saga Chucky qui reprend à partir de 1997 mais est-ce vraiment raisonnable pour cette franchise qui semble avoir fait le tour de la question ? Franchement, ce troisième opus est une copie-conforme du premier épisode que ce soit dans les enjeux (Chucky doit prendre possession d'un corps pour ne pas terminer en poupée) ou dans les arcs narratifs (succession de meurtres à la sauce slasher sans que personne ne pose les vraies et bonnes questions). Finalement, le contexte de production semble plus intéressant que le film lui même : Don Mancini - face au succès des 2 derniers nés de la franchise - doit pondre en 9 mois, un nouveau scénario (qui par l'occasion reste la grosse faiblesse de cet opus) // la réalisation fut confiée à Jack Bender ( LE réalisateur de la série LOST que je porte dans mon coeur mais qui reste ultra-classique et sans grande inspiration dans sa mise en scène) mais surtout cet épisode fut censuré en Angleterre à la suite du meurtre d'un enfant de 2 ans par 2 adolescents, fan de Chucky. Histoire morbide contrairement au film qui efface les traces du second épisode où je trouvais que l'alchimie entre le jeune Andy Barclay et Kyle aurait pu être une piste narrative à développer. Quel dommage !

➖Avis bref :
Troisième film de là franchise, la saga ne s’arrête décidément plus ! Un volet qui reste bon, mais ne fait pas parti de mes favoris malgré tout.. Dans celui-ci, Andy a désormais grandi (il finit même par chiner ahah.), c’est maintenant un jeune homme ! Il s’est engagé dans l’armée, mais cela n’arrêtera Chucky pour autant, le voilà de retour sur les traces du jeune homme après des années. Qui lui garde toujours son même objectif (trouver un corps) il trouvera même une nouvelle cible. Chucky a toujours son caractère bien affirmé et cette envie meurtrière. Après, c’est peut-être l’un des volets que j’apprécie le moins, même si je l’adore malgré tout (contradictoire oui), mais ce qui me rebute dans ce volet, c’est son scénario trop sur l’aspect guerre et armée, pourtant les personnages secondaires sont eux de bons éléments (comme le colonel, Christine/Sa meilleure amie ou encore le binoclard). C’est d’ailleurs le dernier volet avant que la saga prenne également un nouveau tournant (l’humour). Pour finir, nous avions un final carrément explosif.
Enfin bref, un troisième volet qui se tient.

En se présentant d’entrée de jeu comme un produit industriel destiné à relancer un article à succès, Chucky 3 explicite son statut de suite et, par cet aveu de sincérité, s’affranchit de l’ombre de Tom Holland pour proposer une déclinaison originale quoique faiblement incarnée, la faute à une écriture des personnages insuffisante. Le générique de début veille ainsi à recomposer la poupée à partir de matière plastique et de sang ; voici une danse macabre de fluides devant laquelle le spectateur reste circonspect, à la fois fasciné et dégoûté. De même, la manière dont le film exploite le décor du train-fantôme, notamment cette montagne de crânes, semble déplacer l’intrigue depuis un cadre défini par la rigueur militaire vers une zone intermédiaire apte à donner vie aux fantasmes les plus morbides, à incarner les terreurs enfantines qui continuent d’habiter l’adolescent. Quand le jeu devient réalité, quand les balles font jaillir non pas la couleur de poches de peinture mais le sang de ceux qu’elles perforent, ce ne sont plus des soldats que nous voyons, non ce sont des gosses apeurés qui détalent dans tous les sens. Aussi le long métrage de Jack Bender s’amuse-t-il à convoquer des clichés sur pattes pour mieux les fragiliser, les fissurer, les faire voler en éclats. Ses sous-thèmes se subordonnent à un hyperthème : l’automatisation de l’humain dans une société obsédée par l’ordre et l’exploitation. Tantôt à gauche – dénoncer la société de consommation tout en se présentant comme objet élaboré pour y appartenir –, tantôt à droite – l’initiation amoureuse d’Andy se double d’une initiation aux armes –, Chucky 3 reste une ébauche imparfaite qui échoue à effrayer ; néanmoins, sa mise en scène propose une succession de plans bien composés et élégamment montés : ça divertit, c’est un honnête travail d’artisan. Et à l’heure du tout-numérique, il s’agit là d’une bonne nouvelle.

Clairement le moins bon de la saga, il faut dire que celui là est sorti seulement 9 mois après le second et qu'Universal avait mis la pression sur Don mancini pour sortir cet épisode le plus vite possible ce qui explique le scènar un peu bâclé. Heureusement il reste quelques bonnes petites saillies antimilitariste et Chucky ainsi que la voix de Brad Dourif assure le spectacle en dépit d'un fin assez bordélique .

Bof bof, cette suite aussi inutile qu'innoffensive s'avère decevante pour son manque d'angoisse, de frissons et qui ne se prend pas au serieux: pour commencer, on retrouve Andy dans un camp militaire...rien qu'à voir les décors et l'ambiance du film vaut mieux vite oublier les frissons avant de continuer le visionnage (dans un hopital psychiatrique aurait été preferable je pense avec ce qu'a vecu Andy et son "meilleur ami" Chucky). Le jeux d'acteur est très très bas au point de nous faire perdre toute credibilité. S'en ai de meme pour l'histoire qui est carrement ecrite à l'arrache et à la va-vite. Le but de cette suite ? Aucun à part nous faire voir encore une serie de meurtre de chucky à l'arme blanche (mais pas toujours). Pour respecter le premier opus de Tom Holland, je pense qu'il aurait été preferable de ne pas réalisé cette suite ainsi que les pétard mouillé trampés de leur domaine du nanar "La fiancé de Chucky" et "Le Fils De Chucky" qui sont de plus en plus ridicule et guignolesque. Heureusement avant ce désastre, ce 3eme opus nous offre une derniere serie de meurtre pratiquement serieuse, sans vulgarité osée, sans débilité mais qui reste toutefois discutable sur la façon dont le réalisateur est allé chercher ses idées (pourquoi Chucky peut maintenant transmettre son âme dans le corps d'une personne differente que Andy alors qu'à la base c'était à la personne auquel il avait révélé son secret ? Juste parce qu'il est revenu à la vie donc les regles ont changé ? c'est très tiré par le cheveux tous ca, ou bien ou se fout de nous ?). En tout cas tous cet ensemble reste desesperement bas mais qui nous averti surement le désastre que vont causer les 4eme et 5eme opus. 2/5 Restez sur les deux premier et n'allez pas plus loin sinon vous découvrirez que Chucky = Nanar après avoir vu les 3 derniers volet de la saga plongé dans la stupidité au fur et à mesure que le nombre de volet augmente.

une suite sans grande innovation pour cette saga mais qui se laisse regardé avec intéret. un film d'horreur qui ne casse pas la baraque, le scénario est quasi inexistant et les acteurs amateurs. rien n'a retenir de cette suite sans grand interet.

Troisième opus anecdotique, de loin le plus mauvais et inintéressant d'une saga plaisante. Cette troisième mouture est marquée par le retrait de son héros et une totale indécision quand au choix du ton. Ni relativement premier degré comme l'était le premier opus, ni délibérément grand-guignol à l'instar du très sympathique second, Chucky 3 ennuie et se perd rapidement dans les abîmes de notre mémoire.

Finis les gamins! C'est maintenant aux adultes et aux adolescents que s'attaque Chucky, la poupèe à la salopette bleue, aux cheveux carotte et aux armes acèrèes! Le joujou n'a cependant rien perdu de son goût pour le sang lorsqu'il sème la panique au milieu de futurs soldats! Responsable des effets spèciaux, Kevin Yagher multiplie les scènes horrifiques autour de ce jouet inquiètant devenu une vedette de l'èpouvante! Beaucoup moins impressionnant que le prècèdent opus qui nous offre ici un champ d'action spectaculaire pour notre poupon malèfique qui va èlargir sa collection et dècouvrir les armes à feu pour le plus grand plaisir des aficionados : fusil, bombe...et une première : tuer sans les mains! Sacrè Chucky[...] Mais il est certains que les futurs soldats sont assez mèdiocres! La dernière partie dans la fête foraine est finalement le seul intèrêt de "Chucky 3"...

En plus d'être une série B, ça commence à avoir un gout de réchauffer ce 3ème volet. Charles Lee Ray cherchant à transmettre son âme dans un corps tout neuf. Chucky débarque cette fois dans un camp militaire et c'est pas une poignée de soldats qui va l'arrêter. Jamais vraiment sanglant ni effrayant, appelons cela de l'horreur pour enfant. Mieux vaut ne pas trop réfléchir lorsqu'on regarde ce genre film car même si le navet n'est pas loin, le scénario est un peu dans les choux. Le plus délirant reste de voir la poupée se faire atomiser à chaque fin de film pour renaitre comme par magie dans le suivant, quel suspens!! A la fin de la saga (si toutefois il y en a une), un réalisateur X pourra s'éclater à faire une compile de tout les supplices qu’aura subit Chucky au fil des épisodes car au final, c'est presque elle la victime! LOL, bref vraiment pas un chef d’œuvre cette saga mais puisque je suis courageux (ou bien cinglé) je vais quand même regarder la suite. 2,5/5

On dit que le 3 ème opus n'est jamais le meilleurs, ici c'est le cas. Même si le mythe Chucky est respecté, on sent quand même un grand manque d'idée dans l'histoire. Sa reste drôle par moment, mais sa n'atteins pas le niveau du 2 ni du 1.

Excellent, je l'ai préféré aux 2 premiers qui étaient bons également. J'ai bien aimé le contexte du camp militaire et le personnage de Andy.

Retour du plus drôle et du plus cynique des boogeymans , j'ai nommé Chucky alias Charles Lee Ray qui a toujours pour projet de se réincarner dans le corps du jeune Andy , tout en étripant toute personne se dressant sur son chemin voir par simple plaisir.Ce coup ci , Andy est adolescent et entre dans une école militaire digne de "Full Métal Jacket" ...enfin en plus soft quand même , c'est donc là que la tuerie de ce 3 ème opus va se dérouler.Honnêtement il n'a pas grand chose à envier à l'original , bon ça fait pas peur mais ça reste sympa à voir , notre chère poupée de sang trouve toujours une façon sadique d'agrémenter ses meurtres.Les dialogues et les acteurs sont très moyens , c'est toujours Chucky la star.Même si il y a quelques bonnes idées , l'ensemble est somme toute assez classique et le schéma assez conventionnel ce qui n'empêche pas de passer un moment agréable même si c'est un peu trop gentillet.

Une fois de plus et on espère la dernière ils ont trouvé un moyen de ramener Chucky (la voix de Brad Dourif) à la vie via la poupée Good Guy et une fois de plus Chucky en a après Andy Barclay. Sept ans se sont écoulés depuis Child's Play 2 bien qu'une seule année se soit réellement écoulée et Andy (Justin Whalin) est dans une école militaire. Ce film avait des problèmes d'écriture de scénario partout. Une école militaire devait être l'un des pires endroits imaginables mais la seule chose pire aurait été une crèche pour enfants. Non seulement a part Chucky nous avons dû subir des clichés militaires stupides avec des commandants aboyeurs et des officiers subalternes insubordonnés. De ma part une seule critique suffira pour toutes la franchise de la poupée pseudo infernale et c'est déjà trop...

L’idée de laisser s’écouler quelques années entre l’intrigue du 2 et du 3 et de placer l’action dans un centre de redressement militaire aurait pu apporter pas mal au film si cela avait été convenablement exploité. Au lieu de ça, on assiste à du « sous-Full Metal Jacket » sans aucun intérêt. Le scenario est absurde et les rares bonnes idées sont systématiquement sous-exploitées. Le début de la fin?

Exclusivement reservé aux fans du premier "Jeu d'enfant", ce troisiéme opus ne vole pas trés haut. Adieu à l'originalité. Les blagues potaches du pantin Good Guy sont toujours irresistibles, ses dialogues savoureux, mais il manque cette alchimie présente dans les deux précédents films. On ne se lasse pas, mais quelque chose dans la mise en scéne ne colle pas à ce qu'a voulu faire Tom Holland au départ. On n'a pas peur le moins du monde, l'angoisse est plutôt mal gérée, mais on garde les personnages qui ont fait le succés de cette franchise jusque là : Andy Barclay, Chucky, et quelques allusions au passé trouble du jeune homme. Si le contexte se veut interessant, l'école militaire, on doute de sa crédibilité. Pour des colonnels, majors, lieutenants, adjudants et on en passe, ces derniers ne semblent pas trés dégourdis et se laissent trop facilement impressionner par ce bout de plastique bavard et obscéne. En outre, on passe un moment divertissant, sans plus, qui vous fera rire plus que ne vous inquiétera, mais qui suit les lignes scénaristiques du précédent, ce qui en soit est déjà pas mal.