Mon compte
    The Grudge
    Note moyenne
    2,9
    758 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Grudge ?

    75 critiques spectateurs

    5
    19 critiques
    4
    21 critiques
    3
    14 critiques
    2
    12 critiques
    1
    5 critiques
    0
    4 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    dev_chef
    dev_chef

    98 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2024
    Coup de cœur. Le film aborde le folklore japonais de manière subtile, l'ambiance est là, le début est assez long mais une fois lancé, tout coule. Le film traverse toutes les époques et mérite un 4,5 comme très peu de film. Je vous conseil de le revoir
    Alolfer
    Alolfer

    87 abonnés 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2024
    Ju-on l'original est excellent ! Histoire très différente du remake, mais l'ambiance du film, et le "monstre" vous fera sentir mal ! Frissons garantis !
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Ju-on est clairement la revisite ultime du mythe de la maison hantée ! A sa manière tout de même.

    Ce qui frappe d'entrée, c'est le foutoir de cette baraque. Des détritus sur le sol, aux draps infames sur le fil, jusqu'à l'état déplorable de cette grand-mère mutique livré à ses moyens très restreints ... Tout donne envie de mettre les voiles ! Avec ce décors planté, Shimizu livre bientôt une ambiance qui vire au claustrophobe avec spoiler: la découverte du gosse dans le placard ! L'apparition qui achève le peu de vie qui restait à la vieille dame donne une figure, ou plutôt forme au fantôme qui rode ici bas ... Son regard fait fondre le cadre et transite vers une suite surprenante.


    Car oui voilà, là ou Ju-on innove c'est que le film ne se fige pas passé son premier coup d'éclat. Takeshi Shimizu raconte son histoire avec des chapitres tous centrés ( plus ou moins ) sur une personnalité en lien direct avec l'action du moment, avant de dérivé à sa guise dans spoiler: des temporalité alterné, entre brèche et horizons parallèle superbement imagé.


    Tour à tour, le procédé restitue le même foutoir, les empreintes, les appariations en coins, d'autres cris à mettre en perspective. spoiler: Le jeu de possession ne devient que plus grand à mesure que la mise en scène se déploie et laisse croitre tout son arc autour. Shimizu capte l'étrangeté, pour mieux la résoudre au dehors de sa cage, en l'y laissant, avant de lui laissé un espace pour en sortir. La scène des toilettes avec Hitomi, comme d'ailleurs tout ce qui la concerne en définitive atteste dette peur dorénavant " libre " de mouvement. Ju-on nous confronte en cela à la peur qui nous déloge, qu'on lui fasse face, ou que l'on se terre dans un quelconque refuge. Celle-ci piste et traque.


    La manigance de la temporalité alterné est mise à contribution, j'aime particulièrement la confrontation du bloc rationnel à la chose lors de l'entrée de la police dans la tentative de résolution de l'histoire. Il faut voir ce policier qui découvre les dessins de sa fille avant d'être rappelé à la tache qu'il avait fuit cinq ans au préalable. Une fin de récréation semble nous dire ici l'intrigue, la pause laisse mariné encore que plus d'effroi dans l'espace ou s'est niché le trouble que l'on tente de repoussé hors des limites imaginables. C'est d'ailleurs à cet instant que j'ai vraiment remarqué les ombres ...

    La poursuite revire à l'instant du retour dans la baraque de l'indicible, ou l'on comprend ensuite tout l'enjeu de sa peur primal et de la bascule avec ces jeunes filles. Une nouvelle fois le repli est démontré lorsque la terreur se manifeste, on se calfeutre au paroxysme, on sombre dans la folie ... Il suffit de voir le visage de cette mère qui confie aux amis de sa fille les années pernicieuses qu'elles revit dans cette étrange situation qu'elle redécouvre, qui la poursuit elle aussi, par procuration.

    Rika, le personnage que l'on découvre au début, achève aussi la fin de notre incursion au cœur de la maison du crime. Comme elle on comprend le monstre qui sévit, dans ce geste spoiler: qui est de vraiment voir au delà du cri. Le traumatisme passé dans ces lieux faisant écho avec le dicton du départ, de ce féminicide premier, puis de son infanticide second laisse une colère rance qui hante les murs de cette maison et perpétue à rependre la mort. Habité par le mal, celui progresse, prospère et livre tout son hallucinant arsenal en sa possession. La encore, j'insiste sur la scène du miroir, celle-ci nous dit tout et pourtant la suite continue de jalonné les détours du drame avec l'arrivée de ce corps ensanglanté, qui rampe sous une apparence à plusieurs entités. Les larmes de sang à la fin, de ce regard retrouvé, beaucoup reste donc en suspend ...


    Ju-on est un grand film sur l'enfance, par plusieurs fois le film prend le partit de raconté toute son histoire par le biais de ce regard de gosse qui déambule dans le quotidien de ses victimes. Lui le messager, qui une voix ( et un chat ),qui trouve en Rika une interlocutrice en quelques sortes. Ce film est belle et bien un film horrifique, non pas pour le recours qui en est fait, mais bien pour raconté une tragédie, réelle cette fois, le recours au genre n'est là que comme accent.

    Takashi Shimizu dans son avant dernier plan capte d'ailleurs le vide au travers de ce quartier abandonné, silencieux et foutraque, gris, abominable. La colère qui ressuscite et appelle vengeance, encore un trouble de temporalité ? Ou une suite
    " logique " ?

    Il y'a dans la dérive de ce compte horrifique bien plus à dire, à voir, et donc à retranscrire. Je salue les protagonistes ayant que ce soit derrière ou devant la caméra œuvré à rendre cela possible. Un travail d'artistes.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    165 abonnés 2 428 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2021
    The Grudge n'est pas un film d'horreur particulièrement galvanisant.
    Ayant d'abord vu le remake américain (que j'avais également peu apprécié), réalisé deux ans plus tard par le même réalisateur (Takashi Shimizu), cette version-ci ne m'a pas apporté grand chose, tant les deux films se ressemblent beaucoup (même histoire, mêmes ressorts et surtout même qualité d'effets spéciaux / de maquillages).
    La malédiction / le monstre dont le film fait l'objet n'est pas très clair et intéresse peu. Les acteurs ne sont pas forcément top.
    Bref, c'est assez oubliable, je ne vois pas trop ce qui est en fait un monument du registre d'horreur. Du cinéma d'horreur japonais, je préfère l'histoire du Ring.
    FaRem
    FaRem

    7 522 abonnés 8 881 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2020
    Deux ans après la sortie directement en vidéo des deux premiers films, Takashi Shimizu a eu l'occasion en 2002 de faire découvrir sa création au plus grand nombre avec "Ju-on: The grudge" qui est sorti en salles. Le réalisateur ne s'est pas contenté de faire une adaptation de son œuvre originale puisque ce film est la suite des précédents. On ne peut pas parler de suite directe comme c'était le cas du numéro 2, mais il s'agit quand même d'une suite avec toujours cette malédiction qui s'abat sur tous ceux qui s'approchent de cette maison toujours hantée par les mêmes esprits vengeurs. S'il s'agit d'une suite avec pas mal de références aux précédents, la construction du film reste la même avec l'histoire qui comprend plusieurs parties qui portent le nom de la personne qui va connaître un triste sort. Takashi Shimizu est habitué à cela et comme dans ses deux premiers films, le récit est cohérent et fluide. On ne peut pas comparer cela à un film d'anthologie, car il y a une vraie histoire fil rouge. Beaucoup de similitudes avec les précédents films et l'une d'elles est l'ambiance qui est toujours aussi réussie. Le réalisateur arrive à créer quelque chose d'angoissant alors que les "esprits" ne sont pas si agressifs que ça. J'ai beaucoup aimé la partie sur la sœur du nouveau propriétaire de la maison qui est très efficace. S'il ne se renouvelle pas, Takashi Shimizu nous propose un bon troisième film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2020
    après m'être vaguement rappelé du classique américain The Grudge, j'ai voulu me replonger dans les origines... et celui-ci est plus effrayant, la musique est parfaitement dosée, elle vous prend aux tripes et on essaie de démêler un peu le pourquoi du comment.

    le film est effrayant, et très bien joué
    Horrophile75
    Horrophile75

    32 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2020
    Dans ma série des grands classiques de l'horreur asiatique, je suis globalement satisfait. C'est ainsi que je peux aussi résumer la qualité de ce "The Grudge", premier vrai film de la série. Je n'accroche cependant pas au concept de ce film, peu importe ses versions : celui de suivre différentes histoires qui ont une issue très similaire à chaque fois. Mais question ambiance, c'est vraiment pas mal, les fantômes sont effrayants, et c'est ce que l'on souhaite d'un fantôme.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 décembre 2019
    The grudge is Ju-On, ne sachant pas ce que c'est, on pense à une chose sortie des limbes, c'est typique du folklore japonais, non moins flippant, la dame aux longs cheveux noirs, l'enfant associé de l'épouvante, c'est un drôle de film Japanese horror show nippon ni mauvais, cachés sous les couettes, petit malin mérite une tape amicale.
    Avec les jeux vidéos, ce sont ses spécialités grillades cuisinées au cinéma, le démon est entré malicieusement dans la technologie moderne, vidéo cassette REC enregistrement téléviseur, le numérique est épargné jusqu'à présent, mais ce ne saura tarder plus pour longtemps, c'est puissant cette obscène force irrationnelle, l'influence des tableaux culturels asiatiques.

    Ça s'adapte et permute, son ombre plane sur les malheureux assistants médusés, une fois la transformation enclenchée, deviennent des populaires shibitos, ils reviennent à la vie à sang pour sang et c'est parti pour déambuler sous forme fantomatique dans les rues errantes.
    Pas d'expérience scientifique, c'est de l'horreur fantastique, une origine inconnue, l'invocation faite d'offrande meurtrière à l'au-delà, la malédiction s'abat et des esprits malfaisants s'amusent dans cette réalisation.
    Shawn777
    Shawn777

    476 abonnés 3 343 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2019
    Ce film, réalisé par Takashi Shimizu et sorti en 2000, n'est pas mal mais sans plus. Comme beaucoup d'autres spectateurs je pense, je suis d'abord passé par le remake américain et ses deux suites avant de voir l’œuvre originale. Ayant beaucoup aimé la version de 2004 (pour les suites, on repassera...), j'étais donc très curieux à l'idée de voir cet original japonais dont j'en suis finalement assez déçu. Je pense que la raison principale, et c'est d'ailleurs assez triste à dire mais j'assume complètement, c'est le fait que les cultures diffèrent énormément entre l'Asie et l'Europe ou les États-Unis. Enfin je ne dis pas non plus que je fais l'impasse sur tous les films asiatiques, il y en a d'ailleurs que j'apprécie beaucoup mais j'ai simplement, et encore une fois à titre personnel, plus de mal à rentrer dedans. C'est ici l'histoire d'une famille venant d'emménager dans une nouvelle maison mais cette dernière va lui réserver de nombreuses surprises. Bon en réalité, le scénario est beaucoup plus complexe que cela mais en gros, c'est ça. En ayant vu le remake américain avant, je remarque tout d'abord que l'intrigue n'est pas du tout construite de la même manière. En effet, si le remake adopte des codes plus classiques en se concentrant majoritairement sur Karen, l'héroïne de l'histoire, nous avons ici de nombreux autres personnages qui font la mauvaise expérience des fantômes de la maison. Même si au final, c'est toujours l'aide soignante qui est l'héroïne, le film se construit d'avantage sous forme de petits épisodes dans lesquels chaque personnage fait sa propre expérience avec la maison, ce qui est au départ un peu déstabilisant mais en devient finalement intéressant. Je dirais d'ailleurs que les deux versions se complètent l'une et l'autre car elles apportent de nouveaux éléments et un traitement différent de l'histoire, contrairement aux suites qui n'apportent pas grand-chose (je précise que je n'ai pas vu les suites du film original). En ce qui concerne les acteurs, ils sont dans l'ensemble très bons et convaincants. "Ju-on" est donc un film intéressant même si je ne cache pas préférer son homologue américain.
    Ben Majerus Couturier
    Ben Majerus Couturier

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Rien à dire ce film est un classique l'un de mes films préférés avec les Ring, de super films sur les Yùrei il vieillissent plutôt bien je trouve moi je les adore j'adore le Japon j'aime y aller j'y vivrait si je pouvais mdr, je vais essayer d'y acheter un appartement d'ici peu pour les vacances ce sera bien déjà !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 juillet 2019
    Même vos pires cauchemars ne ressemblent pas à ça très effrayant très bien fait à voir une référence du genre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mai 2019
    "Jû-On" fait parti de ces films d'horreur japonais qui nous fait revivre le temps des films qui nous faisaient peur. Dans la lignée de "The Ring", nous avons là un petit Chef-d'Oeuvre du frisson. Certes, certains diront que le film a mal vieilli, mais soyons honnête, il suffit de peu de budget et aucunement besoin d'effets spéciaux de synthèses pour faire un bon film. Au contraire même. Les meilleurs film d'horreur n'ont que des effets simples mais efficaces. Une réadaptation américaine existe et est bien plus connu en occident : "The Grudge". Ce dernier n'est pas mauvais mais je vous conseille vivement de découvrir le film d'origine en premier. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce que tout y est parfait : angles de caméras, bruitages oppressants, de bons acteurs qui jouent simplement mais efficacement (en gros, naturellement sans en faire trop). Il est vrai cependant que même si le scénario est bon, la réalisation est par moment un peu brouillonne. Tout s'emmèle pour se déméler vers la fin. Nous avons une succession de petites histoires avec des personnages différents mais tous reliés au final pour former le film. Certains n'aimeront pas cette mise en scène pas assez linéaire, d'autres apprécieront grandement tout comme moi car avec son bon scénario mais un peu simple tout de même, former un film linéaire aurait enlevé du suspense et au fond, les personnages auraient dû être plus approfondis au détriment de certaines scènes effrayantes afin que l'on puisse s'attacher aux personnages. Ici, le but est clairement de donner la chair de poule à chaque scène pour arriver au grand final qui vous fera regarder les escaliers d'un autre oeil.
    "Jû-On" est donc un film à voir et à posséder pour tout cinéphile aimant le cinéma d'horreur à l'ancienne.
    Francky M.
    Francky M.

    5 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2017
    Magnifique ! Un vrai film flippant 😨 ! Japonais en plus, extra ! Top ! 😁 Je ne l'avais pas encore vu, je n'ai vraiment pas été déçu !
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    608 abonnés 2 712 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2017
    Malgré une ambiance inquiétante, The Grudge ne partage pas assez d'épouvante et de crainte avec pourtant une malédiction de départ attrayante. Via quelques effets horrifiques réussis le long métrage séduit de part la mythologie qu'il exprime, et grâce à son scénario complexe, mais parfois brouillon, le scénario recèle quelques pépites.

    https://m.facebook.com/AubinBouilleJoinville/
    Sildenafil
    Sildenafil

    64 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 avril 2016
    The Grudge n'est en quelque sorte qu'un train fantôme sans queue ni tête se contentant des mécaniques usés des films su genre sans jamais approcher de prés l'exotisme qu'aurait pu apporter l'univers japonais.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top