Avis : L'enquête Corse - Page 7

C'était une BD extraordinaire. C'est devenu une comédie franchouillarde de troisième zone. Encore bravo.

Une étoile. Pour Jean Réno. ce n'est pas mon acteur fétiche mais il est très crédible en nationaliste corse.
sinon clavier dans le rôle de jack palmer, mais quelle erreur de casting.
il faut vraiment détester l’œuvre de pétillon pour nous infliger ce gugusse et enlever tout ce qui faisait le génie de la bd.
pour les amateurs de la bd, un film à fuir.

Réunis de nouveau après les Visiteurs, Clavier et Reno forment un duo toujours amusant. Malgré cela, le film n'a rien d'exceptionnel et sombre rapidement dans l'oubli, comme la plupart des comédies françaises.

Merci de nous donner la possibilité de noter ce sous-film à sa juste valeur, c'est à dire Zéro étoile...
Quel navet ennuyeux, mal joué et mal dialogué.
A côté de ce nanard, les films de Max Pecas pourraient être primés à Cannes.
C'est mauvais du début à la fin et je n'ai pas entendu un seul rire dans la salle durant toute la projection. Il faut dire que nous n'étions qu'une dizaine d'imbéciles à s'être fait piégé.
C'est mou, c'est lent, les gags et les dialogues sont tellement téléphonés et éculés que c'en est pitoyable.
A coté de ce film, un épisode de "Derrick" ressemble à "Speed" ou "Taxi"
Je plains les pauvres acteurs qui en sont réduits à jouer "çà" pour payer leurs impôts et surtout à en faire la promo.
J'espère pour eux qu'ils ne seront pas rémunérés au pourcentage sur les entrées, car si le bouche à oreille fonctionne, ce ratage cinématographique ne va pas longtemps rester en salle.

Ayant lu la bande dessinée, le film est bien adapté mais le film se montre ennuyeux la plupart du temps. Un simple enquêteur qui doit remettre un titre de propriété à un mafia de la Corse est un scénario très simple à comprendre sans chercher de l'originalité. Christian Clavier et Jean Reno sont deux acteurs français qui se débrouillent bien dans leurs rôles. Il y a des moments où c'est très divertissant comme la scène où les différents policiers arrivent pour arrêter l'inspecteur et d'autres moins bien comme la scène du cadavre. La Corse est bien montrée dans ce film. Des costumes simples. Le film aurait pu être pas mal mais je me suis vraiment ennuyé.

Soyons clairs, malgré son affiche alléchante, "l'Enquête Corse" est un navet. Si vous hésitez encore quant à la vision de ce film, fuyez-le, d'autant plus qu'il ne va pas aussi loin qu'on le désirerait dans la bêtise pour trouver un certain charme. En effet, la triste impression qui revient régulièrement est l'ennui... Quel dommage, d'autant plus que réunir à nouveau le tandem Clavier-Reno pouvait permettre quelques étincelles. Malheureusement non... Si le premier parvient encore à amuser de temps à autres avec sa démarche à la Jacqouille, le second aligne sans conviction des répliques déjà toutes faites d'avance. On se croirait dans un film à la De Funès, moins criard, donc ne retenant même pas l'once d'une attention. Le temps passe, les blagues aussi, mais les sourires ne décollent pas. Alors arrive Caterina Murino (d'ailleurs à l'affiche du dernier James Bond) et sa plastique de rêve. Notre Christian favori se régale, pendant que spectateurs, nous nous délectons devant son décolleté... Plus sérieusement, force est de reconnaître que, piètre actrice qu'elle est, celle-ci parvient à insuffler une fraîcheur bienvenue à l'ensemble, qui quitte alors le désagréable. Un beau corps associé à un rôle plein de quiprocquos, ce n'est pas de refus ! L'actrice-mannequin sauve quelques situations de la platitude, sans pour autant les empêcher de s'enfoncer royalement dans une médiocrité pas drôle. Réalisé mollement, ne comprenant que des rebondissements téléphonés, "l'Enquête Corse" est une franche déception. Une étoile pour Murino et c'est tout. Même pas une autre pour le divertissement tout juste rempli. C'est dire le niveau...

Que ce film utilise des clichés énormes sur la Corse, c´est normal puisque c´est une comédie, mais le problème, c´est que ça m'a pas fait rire une seul fois. Ça craint un peu pour une comédie, sans parler du rythme mou, du non-jeu de Jean Reno, de l'intrigue amoureuse tirée par les cheveux.
Le seul truc un peu marrant, c´est l'intervention de vrai corses dans le générique de fin.

Cette enquête corse est bien gentillette. Les paysages sont sublimes. La mer est turquoise. On y mange super bien. Charcuterie. Fromage. Les femmes sont magnifiques (Caterina Murino, en même temps !). Une vision idyllique de l’ile de Beauté. Que tout ne soit pas tout noir, je veux bien. Que tout soit à la perfection pour se mettre personne à dos, j'y crois moins. Christian Clavier ressort son habituel personnage de déraciné comme dans Les Visiteurs ou même Les Anges Gardiens. Un brave type, un peu bête, parachuté sur un prétexte comme un autre dans un nouvel univers, une nouvelle culture, une nouvelle manière de vivre. D'abord, il n'y comprend rien voire va la rejeter avant d'en voir les avantages notamment grâce à la sœur d'Ange Léoni. Mais ça ne se fait pas en un clin d’œil. Tout ça est progressif et en attendant il faut se farcir les pires clichés sur les Corses dignes d'Astérix en Corse justement. Les Corses susceptibles. Les Corses fiers. Les Corses rejetant les étrangers. Les Corses fainéants. Ça ne décolle jamais de tous ces stéréotypes. Peut-être y a-t-il une part de vérité là-dedans mais bon. De là à en faire tout un film. Par bien des aspects, L'enquête Corse peut faire penser à une version de Bienvenue chez les Ch'tis avant l'heure. Que Clavier soit enfin sobre comme dans Mission Cléopâtre ne fut pas pour me déplaire non plus.

Fan de la bande dessinée et du duo clavier / réno, je ne pouvais que passer un bon moment. Les répliques sont bien posées et donnent du rythme au film. Comme dans la BD, les clichés Corse sont bien présents pour mieux en rire (le fameux "je connais toutes les routes de mon pays" par exemple).

L'Enquête Corse est une belle occasion de se plonger dans l'île de beauté, de se régaler des paysages, d'entendre le charme de l'accent corse, de se moquer avec tendresse des habitudes locales. D'emblée, le panneau du village de Rossignoli, criblé de balles et dont le nom en français est effacé, annonce la couleur indépendantiste. La visite d'Ajaccio rend hommage au plus célèbre des Corses au travers des noms de rues : Rue Bonaparte, avenue du premier consul, cours Napoléon, rue du roi de Rome, quai Napoléon. Après une altercation, un gendarme interroge Rémi François (alias Christian Clavier, lequel a vraiment été plastiqué...) : "Pourquoi ils vous ont chahuté ? Vous avez fait construire dans le coin ?" Plus tard une pharmacienne reçoit un client demandant des tampons, mais elle connaît les pratiques du coin : "Si c'est pour une mèche lente, sans applicateur ça ira très bien..." Jean Reno a presque réussi à attraper l'accent corse. Caterina Murino aussi et le maillot de bains lui va a ravir, rappelant les sorties de l'eau de Ursula Andress et Hale Berry dans James Bond. Le scénario est bon, avec un petit tacle au passage sur les magouilles du gouvernement. On peut reprocher une petite baisse de rythme au milieu, mais rien de grave. Un film qu'on apprécie d'autant mieux qu'on connait la Corse, et à voir jusqu'au générique de fin : "En fait les Corses, on est comme les autres, mais d'une manière différente.", "Est-ce qu'on peut rire des Corses ? Oui, mais faut pas le faire."

Les notes sont sévères pour cette comédie corse. Bien que le scénario ne soit pas à la hauteur à la fin du film qui finit un peu décousu, le film dans son ensemble mérite un peu plus de la moyenne grâce à des blagues caustiques sur le peuple corse, qui l'égratigne gentiment sans tomber dans la lourdeur, un décor très beau (les villages et falaises corses sont naturellement magnifiques dans tous les cas) et un jeu d'acteur qui tient la route.
On passe donc un moment sympathique.
On a vu bien pire que ce film en comédie française.

Une comédie française, ni pire ni meilleure que beaucoup d'autres. La Corse est toujours aussi belle, ça aide à faire passer ! Clavier et Reno sont comme d'habitude, ie pas franchement bons, pas franchement mauvais. Caterina Murino, sarde d'origine, fait une très belle corse !

L'adaptation du tome 12 de la bande dessinée Jack Palmer de Pétillon au cinéma par Alain Berbérian (le réalisateur de "La Cité de la peur") a quelque chose d'humain.

Le film est rempli de tendresse à l'égard des corses, derrière un humour assez piquant à leur égard. On devine assez vite que le but n'est pas de se moquer des corses mais de les taquiner sur les clichés qui leur collent à la peau.

Alors on embarque sans trop de mal aux côtés du détective privé, incarné par Christian Clavier, à la recherche d'un fugitif indépendantiste corse joué par Jean Reno. Et on est assez facilement diverti par le long métrage, malgré des ressorts humoristiques assez classiques.

Ainsi, même s'il ne casse pas trois pattes à un canard, l'humanité qui ressort de ce film lui donne un côté pas désagréable. C'est suffisant pour le regarder une fois.

Le tandem Reno-Clavier a nouveau réuni pour une comédie pleine de clichés sur les corses. Le sujet principal est de parler de l'île de beauté et ... c'est tout en faite, il n'y a pas vraiment d'histoire à côté !
On est jamais plié de rire, le film suit son court avec un ton monotone et le casting ponctué de quelques acteurs locaux frise l'amateurisme. Ni hommage ni parodie, l'enquête corse est à milles lieux de Bienvenue chez les Chtis, autre film régional !

Un bonne petite comédie d'action sans prise de tête avec une bonne dose d'humour . Encore une fois Clavier fait du Clavier . . On apprécie les beau décors Corse avec plaisir. Quelques temps mort certe et un certain ennuie par moment , dommage . A voir