Une fausse suite bercée par une musique mélancolique. Ce 2ème volet est une formidable source de renseignements sur les personnages principaux. La musique est toujours aussi belle, les acteurs toujours aussi bons, le scénario toujours aussi intelligent et complexe pour un film toujours aussi captivant.
deception , cette suite me rapelle les suites de rambo ou rocky . le premier était vraiment bien , celui la est plus qu'ennuyeux . évitez à tout prix le troisiéme. une étoile , en souvenir du premier.
Un polar Hong-Kongais digne du 1er opus. Tony Leung et Andy Lau laissent leurs places de personnages principaux à Erci Tsang et Anthony Wong vraiment parfaits dans ce film. Les deux jeunes héros Shawn Yu et Edison Chen sont eux aussi excellents. Ce prequel répond vraiment à toutes les questions que l'on pouvait se poser après avoir vu le 1er épisode. Il alterne parfaitement action et émotion jusqu'à cette fin ou tout ce démèle pour nous conduire à la situation du début de Infernal Affairs 1. La musique est splendide (celle du générique de début en particulier). Le cinéma Asiatique est vraiment impressionnant!
Attendez, attendez, j'hésite... est ce que je peux dire ça? Oui, je crois.... Je pense que c'est le meilleur vlet de la trilogie même si l'une ne va pas sans l'autre! Je dis ça parce que le travail qu'ont fourni Andrew Lau et Alan Mak est juste incroyable. Le premier film était déjà sorti et là avec ce deuxième volet ils décident de raconter ce qui s'est passé avant le volet un! Un défi où tout le monde aurait pu se casser la gueule mais là, le travail est re-mar-qua-ble!
Tout tient la route, on sait très bien quels sont les personnages qui survivent ou pas mais on est tenus en haleine, surpris parfois bléssés par ce qui arrive dans ce deuxième volet qui est vraiment excellent
Edison Chen et Shawn Yue qui sont un peu le relève du cinéma hong kongais (encore que pour Edison, j'ai des doutes vu les scandales de l'an passé! Le pauvre!!!) ont su porté le film sur leurs épaules tels des petits Andy Lau ou Tony Leung.
Pour ce deuxième volet riche en émotions et en révélations, je mets 4 etoiles.
Le meilleur volet de la trilogie ! On ne retrouve pas la virtuosité du scénario du premier opus, mais Infernal Affairs II propose néanmoins une musique encore meilleure, un montage rythmé et des personnages plus fouillés, auxquels on s'attache, et plus d'émotion. En plus des taupes Lau Kin Ming et Yan, l'histoire propose une galerie de "seconds" rôles brillants. Les relations entre chacun sont complexes. Pas de personnage manichéen ici. Enfin, mention spéciale à Francis Ng, dont l'interprétation de Ngai Wing Hau, fils d'un parrain de Hong Kong, est saisissante.
On assiste à un style mélancolique de la mafia, et c'est très agréable de ce point de vue. Il y a un contraste entre le style esthétique, qui est lent, calme, sobre, et le côté conflit entre les différents chefs de gang. Bref, c'est ce côté sentimental qui m'a vraiment plu. Et que dire de plus sur le scénario, la tension monte progressivement et c'est sublime. Bref, une réalisation irréprochable, une BO extra et une histoire captivante. Toutefois, ce deuxième volet est un tout petit peu en dessous du premier.
Ce préquelle du premier est une bonne idée car il nous attachent plus aux personnages avec un scénario tout aussi étonnant, la mise en scène reste la même mais il y a ce quelque chose qui fait que l'on apprécie plus que le premier.
Le premier « Infernal Affairs » m'avait captivé par son intensité dramatique et son déroulé tragique. La suite, « Infernal Affairs II » a su me surprendre agréablement. Même sans la présence d'Andy Lau et Tony Leung Chiu-Wai, le film parvient à maintenir une qualité narrative et dramatique. L'introduction, faisant le lien avec le premier film, pose des bases familières, mais le film se distingue par son exploration des origines des personnages principaux. Malgré quelques incohérences dans la gestion de l'âge des personnages, le rythme intense et l'affaire de famille qui s'y déploie apportent beaucoup au passé des quatre personnages clés. Les scènes dramatiques, en particulier la relation entre Edison Chen et Carina Lau, contribuent à une intensité émotionnelle marquante. « Infernal Affairs II » étend avec brio les horizons de l'univers d'Andrew Lau et Alan Mak, tout en préservant l'esprit du premier film. Mention spéciale à Sam (Eric Tsang), un personnage tout en rondeur et toute en malice, patient et ambitieux, dont on suit la mécanique de son ascension. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Encore mieux que le premier, Infernal Affairs II est une bombe! Tout semble un petit ton au-dessus du premier volet. L'ambiance est plus noire et dense, la mise en scène semble encore plus personnelle, les musiques mieux distillées, il y a un peu moins d'effets tapageurs, et surtout le scénario est plus fouillé. Remontant donc aux origines de la saga, il se dote d'une galerie de personnages charismatiques et complexes et d'enjeux dont l'intensité ne faiblira pas jusqu'au générique final.
Des acteurs toujours au top... C'est l'essentiel dans cette extension qui s'annonce plus comme un didacticiel du premier volet que comme sa continuité.
Trois étoiles, c’est ce que récoltait le premier épisode (du aux infiltrés qui est meilleuf) Celui-là aussi est très bon, mais ne surpasse pas le 1. Produit pour de simples raisons commerciales (qui n’est pas fait correctement,parceque se faire de la thune avec acteurs inconnus, ça rapporte pas des masses), ce préquelévite beaucoup de pièges. Car en dépit, de références trop flagrantes, l’histoire mène le suspense, une belle dramaturgie et des sous-intrigues en cohérence avec les évenements du premier film. Eric Tsang et Anthony wong (véritables héros du film) sont parmie les meilleurs inerprétes et mène à bien le film. Lecoté « infiltration » est un peu gommée pour laisser place à un film de mafia, entre scorsese et coppola. Et puis, prouve que le bon cinéma commerciale peut exister. Esperons que le troisieme ne gachera pas la sérieet que dans les deux cas, il n’y aura pas d’autre volets. On ne sait jammais.
Une suite pas désagréable mais dispensable. La mise en scène est bien moins remarquable que dans le 1 et on se perd dans l'histoire (les personnages sont aussi moins reconnaissables, cela n'étant, certes, pas à mettre à la charge du film... c'est c'est quand même sacrément usant). De même, de part son rythme toujours égal, on a plutôt l'impression d'assister à un feuilleton. Il faut ajouter à cela l'absence d'intrigue forte et on se demande quand et comment cela va terminer. Le premier opus pouvant très bien se passer de préquel et de suite, IA2 et IA3 n'ont pas d'intérêt scénaristiquement, la seule chose qu'il peuvent faire c'est nous raconter une histoire... ce que le 3 fait bien, ce que le 2 ne fait pas.