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    Bleeder
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    79 critiques spectateurs

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    Mange ton père le couscous
    Mange ton père le couscous

    20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2023
    Une propostion sobre et très humble qui atteint la perfection dans tout ce qu'elle prétend. Apres son premier pusher saluable mais pas encore au top refn enchaine avec un film qui dégage déja beaucoup de génie.

    Ps: désolé pour les tournures péteuse mais c'est fun de jouer au puriste
    Nicothrash
    Nicothrash

    292 abonnés 2 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2023
    Une tranche de vie danoise peu ragoûtante qui bénéficie d'interprétations très au point mais qui n'a aucun rythme. Ce n'est vraiment pas la partie de la filmographie de Refn que je préfère. C'est sombre, triste et personnellement ça ne m'intéresse guère. Il va falloir que je retente la trilogie Pusher histoire d'être sûr ...
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2023
    Bleeder est représentatif du style de Winding Refn, même si je ne trouve pas que ce soit son film le plus abouti. On y retrouve tout ce qu'il aime : de la violence et des personnages tordus, qui sont quand même habités par un amour pour quelqu'un mais qui s'avère assez toxique. Aucune relation dans le film ne semble saine. Pour autant, il manque un petit quelque chose pour que le film m'absorbe totalement, mais ça reste un bon film.
    Valégri75
    Valégri75

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2023
    Quel beau film !

    La question que pose ce film, peut selon moi, être formulée ainsi : Peut-on se défaire de nos névroses, contourner ce qui nous fait obstacle ?
    Cela passe-t-il par la destruction ou la construction ? Qu'est-ce que réussir et qu'est-ce qu'échouer ?
    L'on peut saturer, refuser, exploser ou bien, peu à peu, tenter de tendre vers un perfectionnement.
    Je comprends ainsi le parcours des deux personnages principaux.

    C'est certainement un des meilleurs films de Nicolas Winding Refn, avec Drive !

    Les acteurs et la photographie sont particulièrement excellents.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    6 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Tout comme Pusher, ce deuxième film de Nicolas Winding Refn est plutôt lent, encombré de dialogues ultra-réalistes à la façon Nouvelle Vague et ponctué de scènes de violence crue, dans un quotidien assez minable où évoluent des personnages à la fois ratés et attachants. C’est d’ailleurs un des talents principaux du réalisateur danois que de sublimer ainsi la médiocrité sociale en insérant quelques touches d’humour (« je ne suis pas raciste, je mange aussi des falafels ») et de tendresse (la scène où Lenny tente de séduire maladroitement Léa).

    C’est aussi avec plaisir qu’on retrouve plusieurs acteurs déjà présents dans Pusher et qu’on retrouvera dans d’autres films ou séries : Kim Bodnia (Bron et The witcher), Zlatko Burić (Triangle of sadness/Sans filtre) et Mads Mikkelsen, qu’on ne présente plus et qui tiendra sur ses solides épaules le Valhalla Rising du même Winding Refn.

    Sur le plan de la réalisation, on reste dans le même ton que Pusher : réaliste, caméra à l’épaule, en plans lents ou saccadés lorsque l’action s’intensifie. Un style encore en construction mais qui déjà gère la tension de manière irréprochable. On notera le clin d’oeil à Hubert Selby, Jr. (Léa qui cherche un livre de l’auteur), qui scénarisera Fear X, le troisième film de Winding Refn.
    Gaetan D.
    Gaetan D.

    3 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2022
    Un bon petit film indépendant danois qui traite du mal être humain de plusieurs protagonistes vivant dans un quartier populaire. Ces personnages gravitant chacun dans la vie des uns et des autres sont néanmoins bien différents avec leur propres problèmes. Un gérant de vidéoclub qui a des troubles de sociabilisationt et qui se réfugient dans les films. Un pauvre type, futur père de famille insatisfait de sa vie très modeste. Une femme amoureuse mais subissant des violence conjugale.
    Un voyou de bas étage qui aurait probablement voulu exercer un autre métier.
    Le destin de chacun se terminant plus sombrement que d'autres.
    Certains personnages aurait mérité une approche psychologique un peu plus travaillé mais en essayant d'en profiter pour accélérere rythme qui se plus ressentir plus lent par moment.
    Mais globalement, c'est un film dramatique humain, sans prétention, de courte durée qui permet de voir autre chose de temps en temps que de gros blockbusters.
    Roub E.
    Roub E.

    735 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Un des premiers film méconnu de Nicolas Winding Refn où comme souvent dans les premières œuvres se mélangent les influences et les futures obsessions. On va suivre plus particulièrement Lenny interprété par Mads Mikkelsen dont on devine aisément que le cinéaste a mis beaucoup de lui même. Un personnage très isolé cinéphage qui passe pour un inadapté social. Et le personnage de Léo dont l’annonce de la future paternité va quelque peu le perturber. C’est violent, souvent malsain, parfois touché par la grâce, très référencé. C’est aussi encore loin de ce que le réalisateur produira de mieux mais ça n’est pas encore maniéré pour ceux qui craindraient son style.
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2021
    Un film choc avec de la violence et des dialogues qui viennent un peu noyer l'ennui dans l'ensemble général, après l'histoire est pas mal, le réalisateur s'est attardé sur les tensions sociales de quatre banlieusards danois et de deux histoires d'amour opposées , ou l'un des protagonistes "Léo" a du mal à gérer la future naissance de son fils et sombre petit à petit dans la violence et de l'autre "Lenny" qui tombe amoureux d'une serveuse dans un snack et ne sait pas comment lui dire, le sujet a bien être traité dans l'ensemble est et intéressant, malheureusement je n'ai pas accroché à tout le film car il y avait des moments où l'on s'ennuyer, mais ça reste correct tout de même, la réalisation quant à elle est bien gérée par le réalisateur avec des plans bien choisis pour la thématique abordée. Enfin quant aux acteurs, ils tiennent assez bien leurs rôles.
    Catherine C.
    Catherine C.

    6 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2021
    Ce film m'a déplu au plus haut point, pas de scénario, pas esthétique à regarder. J'ai vraiment dû lutter pour ne pas dormir
    revelator testor
    revelator testor

    102 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    C'est un rattage, il n'y a rien a voir, tout est dans la façon de filmé les acteurs qui donnent l'impression qu'il vas ce passer quelque chose a tout moment. En fait rien.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Chronique du quotidien morose de quatre banlieusards danois. Un film bavard et violent, à défaut d'être captivant, à la mise en scène stylée dans le plus pur style du réal. 3,25
    romano31
    romano31

    244 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2020
    Deuxième film de Nicolas Winding Refn, Bleeder est un drame romantique très bien géré avec une belle maîtrise de Refn tant sur la mise en scène que dans l'écriture. Les acteurs sont bons (Mads Mikkelsen en tête, toujours excellent), l'histoire est sympathique à suivre et j'ai beaucoup aimé le parallèle entre les deux personnages que sont Léo et Lenny. Le premier va sombrer dans une spirale de violence et fuir ses responsabilités tandis que l'autre va s’émanciper et prendre ses responsabilités. Un très bon film donc qui fait la part belle aux personnages et aux sentiments.
    Caine78
    Caine78

    6 028 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2020
    Nicolas Winding Refn, période danoise. Je ne connais pas plus que ça, je me garderais donc de comparaison. Cela écrit, « Bleeder » est un bon cru qui, très loin d'attendre (logiquement) la maestria formelle de ses (sa, écriront ses détracteurs) réussites hollywoodiennes, garde une vraie identité, que ce soit par sa dimension très cinéphile qu'un récit de gangsters à la fois banal et singulier, notamment dû à l'identité des personnages, se divisant clairement en deux catégories : les fous de septième art et les « bad guys », bien que le cinoche les réunisse (du moins les protagonistes masculins). Pas d'envolée exceptionnelle, mais une œuvre simple, plutôt économe en dialogues mais sonnant juste, que ce soit les échanges presque « tarantinesques » sur les films spoiler: (ne serait-ce que pour l'interminable liste de réalisateurs énoncés par Mads Mikkelsen pour entendre le client lui demander du porno, ce « débat » sur qui est le plus fort entre Steven Seagal et Fred Williamson, cette prise de tête entre les deux vendeurs dont l'un reproche à l'autre de ne penser qu'aux films ou cette incroyable escapade dans une gigantesque librairie, l'œuvre vaut le détour)
    ou cette relation touchante qu'entretienne spoiler: Lenny et Léa, maladroite et par « petites touches »
    , « Bleeder » fonctionne. La violence n'est jamais gratuite, permettant au contraire d'avancer dans l'action, notamment l'antagonisme grandissant entre Léo et Louis jusqu'au point de non-retour spoiler: (la vengeance au « VIH » du second s'avérant particulièrement marquante)
    . Bonne interprétation générale : Mikkelsen, donc, le toujours excellent Kim Bodnia ou encore la séduisante Liv Corfixen, rendant très touchante cette jeune femme éprise de littérature. Bref, si je ne savais pas trop à quoi m'attendre au vu de mon affection très irrégulière pour la filmographie de NWR, la surprise fut plutôt bonne, aussi bien pour ce cri d'amour au cinéma (faire de cette vidéothèque formidablement filmée un décor à part entière est une brillante idée) que cette dimension humaine souvent tragique : à (re)découvrir, donc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 février 2020
    D’une sensibilité émotive ce cinéma danois au masculin, revenons sur la décision judicieuse d’Only god forgives, drive, le guerrier silencieux Valhalla rising, le chapitre déclic The neon demon, dernière nouveauté dans les bacs musicaux.
    Jamais sans la violence plongée à Copenhague, des coups de feu fusillade discothèque, règlement de comptes skinheads et population locale ostracisée, le racisme ordinaire venant de la bande de Bleeder, fonction métier saignante délinquance.

    Chargée à blanc et sèche-linge, des baffes qui se méritent pour les gifles qui partent, c’est donc ça accidentellement, fusent chez la violence masculine, gros durs virils stupéfiants qui fustigent, l’amour est propre, une fierté ravalée sur la dureté sociale.
    Une mise en scène harmonieuse inventive mais inégale invention médicale, les vidéos-clubs malins culturels clubs publicités, la liste est longue à énumérer dans la langue danoise, mélange d’anglais et allemand sonorité ressemblant.

    Ça se prend pas la tête linguistiquement parlant, nationale internationale produit fabriqué au Danemark, films playlist cochon grossier série Z nanarland Ragnarok chez Thor, la région des vikings scandinaves, l´Europe pôle Nord Allemagne germanique, bien bien.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Deuxième long-métrage de son réalisateur, tourné en 1999 mais sorti sur les écrans français seulement 17 ans plus tard, Bleeder pose les base du cinéma de Nicolas Winding Refn. Déclaration d’amour cinéphile – notamment à travers le personnage de Mads Mikkelsen dans un de ses premiers rôles, véritable alter-ego du cinéaste – autant que polar étouffant, désespéré et ultra-violent, le film se démarque par une utilisation des cadrages et des lumières très singulière, nous offrant des atmosphères nocturnes passant du vert au rouge. S’il n’est pas exempt de maladresses, Bleeder porte clairement en lui une vision atypique et personnelle de la mise en scène.
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