Avis : 40 ans, toujours puceau - Page 7

Le film préféré de virgin 17. Il n'est pas mal mais ne vaut pas la peine de l'enregistrer. L'acteur principal est attachant. Le film est bien trop américanisé. -----Décembre 2011-----

Beaucoup moins drôle que ce à quoi je m'attendais. Avec Steve Carrell, il y avait pourtant du potentiel. Il y a quand même des moments très réussis, mais l'ensemble est un peu trop niais.

On sent que les scénaristes ont galéré pour remplir ce film : sans idée, un film d'une longueur impresionnante où des acteurs sont en roue libre et donne le pire d'eux-mêmes ! Impressionnant car aucun gag ne marche ! On se demande comment ce film a pu faire des entrées avec une bande annonce vide ! Reste un titre raccoleur au possible...

Un film ou l'on rigole du début a la fin, des blagues qui vous trou le c*l. L'un des meilleur film de comédie que j'ai vue.

Il avait pourtant de quoi faire peur, très peur ce « 40 ans, toujours puceau ». A ce titre, le résultat final est on ne peut plus agréable et étonnant. Du rythme, de l'entrain et surtout un scénario et des dialogues qui n'ont pas froid aux yeux : force est de reconnaître que Judd Apatow en impose dans son style mélangeant « trash » et romantisme, soutenu qui plus est par des acteurs particulièrement réjouissants, Catherine Keener, Seth Rogen et Romany Malco en tête. Quel dommage alors qu'Apatow ait nettement plus le sens des répliques que de la mise en scène, cette dernière s'avérant d'une regrettable platitude du début à la fin, d'autant qu'il faut bien l'avouer : certaines plaisanteries sont loin d'être du meilleur goût et s'avèrent parfois ratées. Néanmoins il faut avouer qu'elles sont loin d'être si nombreuses et que ces deux heures s'avèrent au final particulièrement agréables et même presque touchantes : une jolie surprise!

Les comédies de Judd Apatow ont la côte Outre-Altlantique. Ce n’est pas étonnant car leur côté franchement lourdingue les rapproche souvent de celles de Ben Stiller ou de Todd Philiips qui font un carton . Les gags sont quelquefois franchement hilarants mais comme souvent avec ce genre de comédie il faut accepter des invraisemblances scénaristiques grosses comme des baobabs pour avoir droit à quelques secondes d’un rire bien mérité. Au bout d’une heure l’exercice devient un peu fastidieux. Heureusement Apatow a une profonde symapthie pour ses personnages et sont humour jamais trash conserve une naïveté rare. Mineur malgré tout et une réputation un peu usurpée.

Aguiché par les promos de la FNAC sur les comédies déjantées américaines (Farelly, Carell, Stiller) me voilà doté de 6 DVD à regarder, dans un genre que je connais à vrai dire assez mal.
Au pif je commence donc par cette histoire de puceau de 40 ans : après tout, l'idée en vaut une autre.
Autant être clair : le début est passablement raté. On ne rit pas, ce qui est le comble pour une comédie, et on sourit à peine. Petit à petit le film développe une intrigue qui va le projeter vers un registre différent de celui pour lequel il est vendu (la comédie grasse).
C'est le jeu "blanc" de Carell qui permet le tour de passe-passe. Au fur et à mesure du film ce dernier paraît le seul mec normal de la distribution, les autres sont des allumés, des barges, des obsédés et les autres filles (à part sa copine) sont des folles ou des nymphomanes. Au final le film tire plutôt vers la comédie romantique, ce qui trouve son aboutissement dans un final très Bollywood. Donc pas mal, sans plus.
A noter que la seule scène hilarante du film (l'épilation d'un torse terriblement poilu) est revenue trois fois dans mon week end : dans 40 ans toujours puceau, dans une pub pour Granola au ciné, et dans la bande annonce de l'Age de Glace 3.
On s'en fout, vous me direz. C'est vrai. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/

Il est des films qui vous surprennent car ils semblent complètement idiots, mais révèlent un gentille morale qui fait du bien. Et personnellement c'est ce qu'il s'est passé avec "40 ans toujours puceau". Évidemment l'humour est souvent lourdingue, mais n'en fait pas de trop (pas au point de ce que je m'étais imaginé), et surtout le personnage de Steve Carell est très attachant dans sa façon de réagir face à cette société hyper-sexualisée dans laquelle nous évoluons tous aujourd'hui. Pointant ainsi une façon de vivre "commune" selon laquelle les gens doivent avoir des relations sexuelles pour être "conformes" aux attentes de la société, le film se veut intelligent car il permet de souligner les limites de ce conformisme : intolérance face à la différence (le groupe du planning familial qui se moque du puceau, les collègues qui le poussent dans les bras des femmes...) et aussi une question pour savoir "pourquoi en sommes-nous venus à cette obligation de sexe pour faire partie du club adulte ?". Une belle morale que défend de façon très sympathique (et drôlatique) le personnage de Steve Carell. N'en déplaise à ceux qui jugeront le film stupide et lourd (ce qu'il est, je ne le nie pas), j'y ai trouvé une fraîcheur comique et une morale mignonne. Une bonne surprise.

Judd Apatow, scénariste de films vaguement sympathiques (Disjoncté), mais producteurs de trucs bien plus cools (Anchorman) se lançait dans la réalisation avec ce 40 Ans Toujours Puceau.
Et comme toutes les réalisations Apatow qui suivront, le film est vraiment trop long. Si le scénario part d'une idée bêta mais sympathique, le film est très souvent dans l'hystérie totale et pénible, surtout par Catherine Keener, qu'on a rarement vue aussi nulle. Kat Dennings fait partie de la scène d'hystérie collective mais reste quand même bonne actrice sur le reste avec la meilleure scène du film, celle de la conseillère, avec David Koechner, Jeff Kahn et Cedric Yarbrough. Trop long, donc, hystérique, donc, mais quand même parfois très drôle grâce à d'excellents seconds rôles comme Seth Rogen, Paul Rudd ou encore l'excellente Elizabeth Banks. La musique est vraiment pénible car trop présente et la réalisation est sans rythme.
Tout ceci en plus est bien futile et souvent bien trop vulgaire. C'est dommage. Mais quand même, quel acteur ce Paul Rudd!

Je pensais que ce film serait une grosse farce bien lourde et vulgaire et en faite pas vraiment (sauf dans certaines scènes). Lais le problème est que ce n'est pas super drôle, seule quelques scènes le sont vraiment. Il y a presque une réflexion sur la misère sexuelle (cela reste une pensée de surface).

Un classique amusant et original (à l'époque).
Avec un Steve Carell excellent.
A voir (pour ados surtout)

La quarantaine fraîchement atteinte, Andy est toujours puceau et ce qui doit rester du domaine du privé devient vite l'objet de railleries de ses collègues. Le thème abordé offre un large panel de gags et Judd Apatow ne s'en prive pas, au contraire il en joue et évite même la vulgarité. Steve Carell tient le rôle principal et ne verse pas non plus dans la surenchère. 40 ans... se veut une comédie américaine simple mais efficace.

"- Hé j'ai une idée de comédie, c'est un mec il a 40 ans et il est puceau et ses potes veulent l'aider à trouver quelqu'un.
- Ouais, excellent ! Un truc bien gras, genre American Pie, avec un loser ridicule qui n'y arrive jamais ?
- Non, plutôt des personnages attachants, un truc plutôt sympa, et finalement le puceau aurait trop la classe, tu vois.
- Ah... Ca va jamais prendre ton truc."
Si si, ça marche.

Comédie sympa avec un Steve Carrell qu'on a connu plus en forme.
Le problème du film c'est qu'il manque un peu de burlesque, de vrai délire qui peut offrir un déluge de rire.
A y regarder de plus près il ne s'agit ni plus ni moins qu'une comédie sentimentale, donc un minimum de rire et un sourire béat de 1h40.
De bons moments garantis mais un peu trop sage pour une scénario et une équipe qui promettait bien plus.

Derrière ce titre vraiment rédibitoire se cache une vraie réussite. 2h de plaisir à regarder un film loin des clichés de ce style cinématographique, vraiment drôle et touchant et réellement accrocheur. Tout se passe naturellement durant ces 2 heures et on en sort vraiment satisfait. Ne vous arrêtez pas au titre ni à l'affiche et regardez le!