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    Le Dernier tournant
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    coperhead
    coperhead

    19 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2013
    La moins connue des quatre adaptations du facteur sonne toujours deux fois , c'est pourtant peut-être la meilleure. . Franck devient l'employé et l'homme de confiance de Nick Marino,(michel Simon) qui tient une auberge-station-service. Nick est laid, pas très malin, bon, marié à la très jeune et très belle Cora qui a accepté son mari pour échapper à la misère . Cette dernière déteste son mari ,quelqu'un qui lui soulève le cœur dès qu'il la touche. Elle séduit Franck et tous deux pensent d'abord fuir ensemble, puis décident de se débarrasser de Nick ....Suite à l'assassinat de Marino (après deux tentatives) et malgré les doutes de certains ils ne seront pas condamnés .Un jour, les amants ont un accident de voiture. Cora y perd la vie. Franck se retrouve pris dans un piège imprévu : tout l'accuse d'avoir fait mourir sa maîtresse alors qu'il n'en est rien. A l'issue d'un nouveau procès, il est cette fois condamné à mort.
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 730 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 février 2024
    Première adaptation du « Facteur sonne toujours deux fois », un film noir au charme désuet et assez prenant mais qui a bcp vieilli.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2012
    Première adaptation du roman « le facteur sonne toujours deux fois », ce film de Pierre Chenal se trouve être une excellente surprise. La mise en scène est vraiment de qualités, car elle possède une atmosphère lourde et qui colle parfaitement au roman de James Caan. Côté casting, on a la chance de pouvoir compter sur des super comédiens comme Michel Simon, Fernand Gravey ou encore la bien troublante Corinne Luchaire. Il s’agit donc d’une adaptation qui ne manque pas d’atouts et qui n’a finalement pas grand-chose à envier à celle plus connu que réalisera Tay Garnett quelques années plus tard.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    248 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2010
    Il y a les pour et et il y a les contre de ce genre d'adaptation consacrées à la pré beat generation ou aux beautiful losers semblables au romans de Jim Harrison ou Ginsberg, et à l'image de ces films des 70's montrant des protagonistes de l'Amérique roots légèrement séducteurs sinon désargentés voyageant par monts et par vaux et tour à tour poursuivis par quelques de ces affreux ploutocrates ou trop bigots, on aimera ou non cette version première de plus en plus rare de "Le facteur sonne toujours deux fois."
    Teresa L.
    Teresa L.

    14 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2014
    Très bon film d'un grand réalisateur, meilleur que Renoir à certains moments, égalant Grémillon dans son maniement de compassion et de cruauté, et à mon avis son meilleur (je ne les ai pas tous vus).
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2021
    « Le dernier tournant » de Pierre Chenal sorti en 1939 est la première adaptation du "Facteur sonne toujours deux fois", le roman noir de James Cain paru en 1934. Trois autres versions célèbres suivront, signées Luchino Visconti (1943), Tay Garnett (1946) et Bob Rafelson (1981). L’adaptation de Charles Spaak, alors le scénariste le plus en vue du cinéma français est plutôt fidèle au roman même si elle ne souligne pas franchement la relation sadomasochiste s’installant au sein du couple adultérin diabolique qui emporté par une passion sexuelle débordante, en vient très rapidement à envisager la mort du mari aubergiste qui a sans doute trop vite accordé sa confiance au vagabond de passage qu’il a embauché pour lui prêter la main. Mais Pierre Chenal n’est pas Julien Duvivier ou Jean Renoir qui auraient sans aucun doute su aller au cœur des motivations profondes de ce couple improbable. Malgré ces quelques réserves, Pierre Chenal qui essuie les plâtres s’en sort plutôt bien grâce à une direction d’acteurs qui parvient à tirer le meilleur d’un Fernand Gravey que l’on a connu plus terne et qui se révèle ici parfaitement crédible en pauvre type devenu le jouet d’une apprentie femme fatale aux facultés malfaisantes très vite épanouies. Michel Simon qui connaît sur le bout des doigts la partition du chic type mal dégrossi mais le cœur sur la main fait peine à voir tellement son sort funeste paraît scellé. Effectivement, sa bonté ne lui servira pas à grand-chose face à une jeune épouse froidement déterminée. C’est Corinne Luchaire seulement âgée de 18 ans et dont on connaît le destin tragique à venir sous l’Occupation allemande qui confirme son talent très vite éclos qui constitue la véritable révélation du film, sorte d’hybride entre Viviane Romance et Arletty, faisant tourner la tête aux deux mâles collés à ses basques. Une gouaille mêlée d’assurance ajoutée à une sensualité tantôt affirmée tantôt retenue, apportent toute la complexité voulue à ce trio infernal que le scénario trop sage avait laissé de côté. La toute jeune actrice ne dépare en aucune manière aux côtés des prestigieuses Lana Turner et Jessica Lange. On se plait à imaginer avec regret la place qui aurait pu être la sienne au sein du cinéma français si sa trajectoire familiale et personnelle avait été différente. On notera pour l'anecdote, la présence de la très élégante Florence Marly, alors la maîtresse de Pierre Chenal, que le réalisateur sans doute pour marquer sa présence dans le rôle secondaire de la conquête de passage de l’amant maudit, a affublée d’un jeune lionceau qui dénote dans le paysage provençal de l’intrigue. Amour, quand tu nous tiens !
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Adaptation brillante et efficace du roman très connu.
    Évidemment ce film est moins connu que son homologue américain mais il a sa place dans cet univers noir et vénal.
    On aimera particulièrement le policier qui harcèle avec ses mots et sa présence. Qui rend fou presque.
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2023
    L'une des nombreuses adaptation du Facteur sonne toujours deux fois. Ici c'est le grand Michel Simon qui campe le rôle du pauvre Nick. Un film quelque peu inégal mais tout de même plaisant à suivre.
    ygor parizel
    ygor parizel

    200 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2012
    Adaptation réussie du classique Le Facteur sonne toujours deux fois et peut-être la moins typée. La dernière demi-heure est vraiment impeccable et noir d'encre.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2011
    Alors celle avec Lana Turner, plus ensuite celle néoréaliste de Luchino Visconti, plus celle la plus récente avec Jack Nicholson et j'ajoute enfin celle-ci, et j'ai vu les quatre adaptations au cinéma du roman de James Cain "Le Facteur sonne toujours deux fois". C'est bien de terminer sur la première version, c'est juste dommage que ce soit la plus faible. Le film dure une heure et demie et c'est trop peu. Enfin surtout en ce qui concerne le moment entre la scène où les deux personnages principaux se rencontrent et celle où ils deviennent amants est trop court. On a du mal à y croire et la profondeur des protagonistes en est considérablement sacrifiée. La suite heureusement rattrape un peu le coup. L'autre point faible, c'est le jeu parfois limité de l'actrice Corinne Luchaire. Par contre, Fernand Gravey surprend agréablement dans un registre peu habituel mais c'est sans conteste Michel Simon qui se taille considérablement la part du lion. Encore une fois, l'acteur se montre parfait, d'une très grande sobriété et se permet même d'être le meilleur "mari cocu et assassiné" des quatre versions. En outre, l'ensemble se montre souvent cruel et noir même si les trois versions suivantes exploiteront mieux ces aspects de l'histoire.
    loulou451
    loulou451

    105 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2006
    L'adaptation française du "Facteur sonne toujours deux fois". Comme sa cadette réalisée par Tay Garnett, cette oeuvre reste fidèle à la nouvelle de James Cain, loin du remake librement (trop librement?) mis en scène en 1979 par Bob Rafelson. Plongée dans l'univers des années 30 du sud de la France, l'histoire fonctionne à merveille. Michel Simon, moins cabotin que de coutume interprète certainement le meilleur Nick des trois adaptations (je n'ai pas vu celle de Visconti). Une fois encore, le scénario reste diabolique respectant à la lettre l'équilibre fragile entre perversité et passion. Plus empruntée, Florence Marly tarde à se mettre dans la peau de Cora, n'égalant jamais de près ou de loin la performance de Lana Turner dans la version de Tay Garnett (1946).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mai 2009
    Bonne adaptation, L'interprétation de Michel Simon est excellente, Fernand Gravey et Catherine Luchaire son au diapason pour ce huit clos étouffant.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2009
    Le roman de James Cain le plus cèlèbre et le plus caractèristique de son talent est sans aucun doute "Le facteur sonne toujours deux fois", ècrit en 1934! La première adaptation est due à Pierre Chenal avec son "Dernier tournant" . Avec un certain pessimisme, le rèalisateur français adapte fidèlement cette sordide histoire d'adultère où la passion et l'intèrêt sont considèrès comme des aspects fondamentaux du comportement humain! D'une ètrange et insolite beautè, Corinne Luchaire crève l'ècran dans une atmosphère lourde et poisseuse comme semble les raffoler le cinèaste! Superbe interprètation ègalement de Michel Simon et Fernand Gravey, tous les deux utilisès à contre-emploi! Un grand classique des annèes 30 d'une noirceur particulièrement cruelle...
    Djam A
    Djam A

    14 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2017
    magnifique adaptation du roman « le facteur sonne toujours deux fois »,de James Caan.
    fernand gravey et michel simon en contre emploi avec une superbe performance de corinne luchaire cette dernière sera plus tard condamnée tout comme arlety d'avoir une relation avec un officier ss ce qui sera son déclin .
    pierre chenal talentueux réalisateur d'origine juive a du également quitté la France en 43 pour l'argentine il ne retrouvera jamais son talent d'autrefois , on y retrouve levigan qui finira en argentine dans la miséré la plus totale quel gâchis pour cet immense acteur
    ce film sent la poisse ,la guerre qui arrive
    un superbe film a découvrir ou a revoir
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    13 abonnés 1 382 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Toute première adaptation du roman de James Cain "Le facteur sonne toujours deux fois", cette version de Pierre Chenal a contre elle, comme les autres d'ailleurs, une intrigue qui ne présente plus de surprises puisqu'on a pu la voir un peu sous tous les angles (Garnett, Visconti, Rafelson) . A quoi s'ajoute que le film de Chenal supporte assez mal la comparaison avec la version de Tay Garnett, à mon sens la plus réussie.
    En humanisant les personnages, (la culpabilité de Franck, l'amour sincère de Cora, la bonhomie de Nick) mais sans parvenir à en faire des figures originales et émouvantes, Chenal tire le sujet vers le drame criminel anecdotique. Il n'atteint pas le caractère vénéneux et perfide qui fait l'intérêt du film de Garnett dans lequel la cupidité et la méfiance entre les deux amants prend des proportions tragiques. Dans le même ordre d'idées, la mise en scène de Chenal exprime mal cette notion de destin implacable que sous-tend le roman et qui fait de Franck et Cora des amants maudits. Cette version francisée et somme toute impersonnelle nous renvoie régulièrement à l'oeuvre de Garnett et à la blancheur éclatante de la silhouette de Lana Turner
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