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    On ne meurt que deux fois
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    31 critiques spectateurs

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    Plume231
    Plume231

    3 477 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 octobre 2012
    Un des derniers films duquel Michel Audiard ait écrit les dialogues, plus sobre que d'habitude mais dont on reconnait la patte grâce à deux ou trois bonnes répliques bien lancées par Michel Serrault. La participation de ces deux Michel d'ailleurs est la seule chose qui donne de l'intérêt à ce polar raté. Parce que ce n'est pas la mise en scène sans atmosphère et molle du très surestimé Jacques Deray ou Charlotte Rampling très empruntée en femme fatale vénéneuse et nymphomane qui vont y parvenir. Noir de chez noir peut-être par son histoire mais surtout chiant de chez chiant par sa réalisation, n'est pas Claude Miller période "Mortelle Randonnée" qui veut.
    kray
    kray

    45 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2010
    Thriller troublant dans la même veine que mortelle randonnée ( avec le même serrault) , en moins bon tout de même.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2015
    Film à suspense par le rèalisateur de "La piscine" et de "Borsalino" où Michel Serrault incarne avec brio l'inspecteur Staniland de la criminelle, un flic solitaire! il prèfère l'ombre des enquêtes sans importance au soleil des grosses affaires! Actuellement, il travaille sur un meurtre, au demeurant banal pour ses supèrieurs, qui le fascine! Sa rencontre avec Charlotte Rampling, maîtresse de la victime et meurtrière prèsumèe, est pour beaucoup dans l'intèrêt qu'il porte à ce crime! Afin de dècouvrir le, ou les mobiles, Serrault va peu à peu s'identifier à la victime, et, surtout, succomber au dangereux charme de la tènèbreuse Rampling dont on peut regretter sa trop rare prèsence sur les ècrans en 1985! Elle peut faire n'importe quoi avec n'importe qui parce qu'elle se moque de ce qu'elle fait! A ce jeu dangereux du chat et de la souris, l'inspecteur Serrault sortira t-il vainqueur ? Michel Audiard, ici de façon posthume nous rappelle ègalement son talent et son « flair » . C'est lui qui, après avoir acquis les droits du livre de Robin Cook le proposa à Jacques Deray...
    pierrre s.
    pierrre s.

    350 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2022
    Un polar à l'intrigue plutôt banale mais à l'ambiance franchement intéressante, dans laquelle s'amuse autant qu'il enquête Michel Serrault. Aidé par les très bons dialogues d'Audiard il trouve un de ses meilleurs rôles.
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    C'est un très bon polar mais c'est avant tout une histoire d’amour troublante et inquiétante entre l'inspecteur incarné par Michel Serrault et la femme fatale Charlotte Rampling ; une sorte de jeu de chat et la souris s'installe entre ses 2 personnages. Atmosphère prenante pour ce thriller à l'esthétique glacial dont un peu d'érotisme agrémente ce suspense réussi ; il y a aussi Michel Audiard qui a concocté de bons dialogues au cynisme tranchant comme une lame de rasoir.
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2009
    Du tres grand SERRAULT.
    Incertitudes
    Incertitudes

    171 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2008
    On ne meurt que deux fois est le dernier film dont les dialogues ont été écrits par Michel Audiard décédé trois mois avant sa sortie en salles. Un nouveau sujet noir après Garde à vue et Mortelle randonnée adapté d'un roman de Robin Cook avec une nouvelle fois Michel Serrault dans un rôle ambigu. Il est l'inspecteur Robert Staniland. Un flic qui va enquêter sur le meurtre sauvage de Charly Berliner. La victime entretenait une relation passionnée avec une certaine Barbara. Staniland va entrer en contact avec cette Barbara (Charlotte Rampling) au charme vénéneux et en tomber amoureux. Beaucoup de perversité dans ce film puisque Barbara se révèle être une vraie nymphomane, séduisant ouvertement le policier et entretenant une relation incestueuse avec son frère. Une ambiance assez glauque comme les affectionnait Audiard sur la fin de sa carrière. Ces dialogues sont tranchants comme le rasoir. "Mourir, c'est rien, c'est l'après qui est pénible". "Le drame avec la vie, c'est qu'on en sort pas vivant. "Au cimetière, au moins, on sait où il est, on le verra plus souvent qu'avant". "Vous connaissez le poète allemand Henrich Heine. Au moment de sa mort il a dit: "Dieu me pardonnera parce que c'est son métier. Ce n'est malheureusement pas le mien. Vous tuez, Dieu pardonne, moi j'enquête". Film policier classique mais aussi un semblant d'histoire d'amour refusée à la fin par Barbara avec des mots d'une cruauté inouïe : "t'es vieux, t'es moche et puis t'es con". A voir pour l'ambiance, pour Michel Serrault, pour les dialogues de Audiard.
    anjahnto
    anjahnto

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2010
    superbe film noir, magnifié par un Michel Serrault on ne peut plus mystérieux, une Charlotte Rampling au sommet, et un scénario et des dialogues de Michel Audiard et Jacques Deray superbement acerbes, parfois nihilistes, et originaux, surtout.La réalisation de Jacques Deray est sobre et fluide.Même lorsque l'on a l'impression de se perdre dans l'histoire, c'est pour mieux prendre une bonne claque quand on se donne la peine de comprendre.Je dis cela pour quelques personnes qui on jugeait que le scénario était incompréhensible.Comme quoi il faut quand même voir plus loin que le bout de son nez quand on s'intéresse à du cinéma un plus "poussé".Merci Deray,merci Serrault et Rampling, et tout les seconds couteaux, et bien sûr à Audiard (c'est plus perso, je l'adore).Grand film.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    Un polar bien trop mou pour captiver, qui vaut davantage par son ambiance que son intrigue et pour entendre Michel Serrault et l’énigmatique Charlotte Rampling réciter les derniers dialogues de Michel Audiard.
    Michael78420
    Michael78420

    42 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    À moins de se lancer dans une thèse sur la filmographie de Michel Serrault, ce film est inutile. Malgré Michel Audiard au scénario et au dialogue, les scènes se suivent sans saveur et ça pourrait durer des semaines. Deux répliques sortent du lot, comme celle-ci après une scène d'action qui ferait rire des élèves de CE1 aujourd'hui : " Une société où les bourreaux choisissent leur crime à la carte m'inspire les plus vives réserves." On appréciera la qualité du texte. Ou encore, voulant calmer les ardeurs d'un policier zélé prompt à des conclusions hâtives : "Nous n'avons que 300 millions de neurones à disposition alors ne les encombrons pas de choses inutiles." On sent bien la patte de l'auteur sans la puissance qu'on lui connait dans les Tontons Flingueurs. Quant à Charlotte Rampling, elle a beau se mettre à nu, son jeu sans saveur est d'un ennui profond. Je dois avouer que son charme me laisse de marbre, ce qui n'aide pas. Une enquête qui aurait pu faire un bon téléfilm d'automne, un dimanche après-midi après le gigot de mamie.
    Perrine P
    Perrine P

    22 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2022
    Un polar très lent où on s'ennuie rapidement.
    Les quelques bonnes répliques écrites par Michel Audiard n'arrivent pas à remonter le niveau.
    La mise en scène est vieillotte et mise à part le bon jeu de Michel Serrault, les autres acteurs jouent mal. spoiler: Malgré la touche d'humour, le thème du film (l'inseste) est glauque mais pas très crédible et le scénariste s'est permis quelques facilités : le commissaire s'installe dans l'appartement de la victime, il couche avec la suspecte sans être inquiété au niveau du déroulement de l'enquête...

    Un film pas très réussi qui a mal vieilli.
    pietro bucca
    pietro bucca

    53 abonnés 1 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 août 2019
    Malgré un grand Michel Serrault, le manque de rythme de l'enquete, a tendance a prendre le dessus. Ca ronnronne un peu trop.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    217 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2019
    Ambiance feutrée et irréelle dans ce polar de Jacques Deray, bien aidé par ses acteurs principaux Serrault et Rampling (un peu moins par les autres). L'ensemble ne manque pas de charme mais un peu de nerf n'eût pas été du luxe, sans compter que par moments le récit semble fabriqué de bric et de broc ( spoiler: le flic qui occupe l'appartement de la victime, parmi d'autres idées curieuses...
    ). Le cinéma français a déjà produit mieux dans le genre, mais aussi bien pire: dans le cas présent et en dépit de quelques longueurs, le procédé reste efficace.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    917 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2019
    Deray crée l'ambiance. Serrault habite le personnage désabusé qui s'acclimate parfaitement au décor.
    L'enquête ne cherche pas loin les coupables mais on s'attache davantage au déroulement et à la noirceur jazzy et très stylée
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2018
    "On ne meurt que deux fois" sera le dernier film écrit par Michel Audiard qui à la fin de sa carrière avait choisi de mettre sa plume au service de sujets plus complexes qui renvoyaient peut-être à ses angoisses personnelles. Avec Michel Serrault il met sur pied une trilogie qui a encore aujourd'hui fière allure, composée de "Garde à vue" (1981) et "Mortelle randonnée" (1983) tous deux réalisés par Claude Miller mais aussi de "On ne meurt que deux fois" (1985) adapté de Robin Cook qui voit Jacques Deray prendre le relai. Si "Mortelle randonnée" sans aucun doute un peu vain et vaniteux avait déçu, on ne peut en dire autant de ce polar qui se veut lui aussi sulfureux en ayant comme atout à son casting la très vénéneuse Charlotte Rampling et derrière la caméra un Jacques Deray beaucoup plus rompu au genre noir que Claude Miller qui s'était un peu perdu dans une sophistication qui avait complètement détourné de son esprit le scénario d'Audiard père et fils. L'inspecteur Robert Staniland (Michel Serrault) blanchi sous le harnais s'est spécialisé dans les enquêtes trop vite conclues parce qu'elles n'intéressent personne. Quand le corps de Charly Berliner, un ancien pianiste de renom devenu clochard est retrouvé sur un terrain vague, Staniland remontant le fil de la vie du défunt arrive jusqu'à une mystérieuse jeune femme irlandaise (Charlotte Rampling) au charme incandescent pour laquelle Berliner avait quitté carrière et foyer. Fasciné à son tour, Staniland ne quitte plus l'appartement de la victime où il écoute en boucle les enregistrements des confidences de Berliner quant à sa dépendance toxique à une relation empreinte de sadomasochisme. Lui aussi à la croisée des chemins, l'inspecteur prend progressivement la place de l'amant défunt. L'enquête pourra-t-elle survivre à ce jeu trouble ? Jacques Deray s'appuie tout à la fois sur la complémentarité inattendue de ses deux acteurs principaux et sur les dialogues ciselés d'Audiard pour embarquer le spectateur dans un voyage que chacun peut redouter mais auquel il semble difficile d'échapper quand l'invitation est lancée par Miss Rampling en personne. Tenu en haleine par ce jeu du chat et de la souris où chacun prend tour à tour la place de la proie et du chasseur, on suit avec intérêt et délectation cette lente entrée d'un homme ordinaire dans un univers qui n'est pas le sien et où à chaque instant il peut perdre pied. Michel Audiard qui aura tout de même vu le film achevé pouvait peu après avec le sentiment du devoir accompli, rejoindre Jean Gabin pour continuer à échanger dans la langue fleurie des faubourgs qui les avait si souvent réunis.
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