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    Les Damnés
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    Serge K
    Serge K

    11 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juin 2023
    Long, ennuyeux, scénario compliqué, le film est sauvé par des décors et des costumes superbes et une photographie excellente, excellente prestation de tous les acteurs,
    Orno13
    Orno13

    5 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2023
    Un très bon film qui retrace l histoire et surtout la descente en enfer d une famille d d'industriel allemand les eissenbenk.
    A l Aube de la seconde guerre mondiale le patriarche va subitement mourir, cette tragédie va précipiter la fin d un règne et nous voyons peu à peu les membres de cette famille se déchirer car dysfonctionnelle en amont
    Cette bourgeoisie qui va sans cesse être dénigré et attaqué à chaque film de visconti, va atteindre son paroxysme,.en effet possédant de nombreuses usines les nazis vont manipuler cette famille pour acquérir ces trésors et a la fin vont être complice du diable en quelque sorte un très bon film mention spéciale à la scène de reconstitution de la nuit des longs couteaux
    Hotinhere
    Hotinhere

    443 abonnés 4 780 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2023
    La peinture décadente et autodestructrice d'une riche famille industrielle allemande qui se retrouve damnée par les griffes sordides du nazisme.
    mazou31
    mazou31

    82 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2023
    Très grand film du très grand Visconti, tragédie grecque dans l’histoire tragique de l’Allemagne nazie, grande fresque sur une famille de marchands de canons qui fera toujours primer ses intérêts devant ses (faibles) convictions… quand elle en a.
    Tout y est remarquable : la mise en scène somptueuse, le montage fluide, les cadrages, la photographie, les dialogues, la direction d’acteurs magnifiques, tout particulièrement Helmut Berger et Ingrid Thulin.
    Le genre de film qui démontre pourquoi le cinéma est devenu le 7e art.
    VOSTTL
    VOSTTL

    72 abonnés 1 812 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 avril 2023
    Enfin vu ce film qui doit faire partie des 100 films à voir avant de mourir.
    Ou qu’un cinéphile doit voir.

    Malheureusement, mon rendez-vous avec « Les Damnés » a été décevant.
    Moi qui signe pratiquement mes réflexions par « A voir en V.O si possible », j’ai vu ce Visconti en V.F.
    Je n’ai pas pu faire autrement, la version proposée était italienne ! Et comme la plupart des productions italiennes de ces années-là, avec des acteurs étrangers, le doublage est navrant. Les voix ne sont pas seules en cause, la post-synchronisation donne la sensation d’un doublage extérieur et plaqué sur les personnages.

    La version française sonne un peu mieux, car il y a des voix qui me rappellent mon enfance dans des films ou séries ; si si des séries comme « Amicalement Vôtre », « Les Envahisseurs », « Les Mystères de l’Ouest », «Mannix », « Colombo » et j’en passe. Seulement là aussi, comme la version italienne, l’enregistrement sonore des voix est une catastrophe.
    Sans compter une bande son par moments dissonante.
    A croire que la copie proposée était endommagée.
    Bref, étant sensible au jeu des acteurs, j’ai visionné « Les Damnés » dans de très mauvaises conditions.
    A cela s’ajoute un jeu très théâtral dont les expressions me renvoient au cinéma muet et le doublage renforce encore plus ce jeu d’un autre temps !
    Une torture pour mes oreilles.
    Puis il y avait une incohérence dans cette copie proposée, la longue scène de la nuit des Longs Couteaux se déroule en version originale. Ainsi, l’acteur qui interprète Konstantin s’exprime soudainement dans la langue allemande !
    Plus de version française !

    J’ai bien tenté de me concentrer que sur le récit, j’ai bien tenté d’oublier la version française, j’ai excusé le jeu des acteurs malmenés par la V.F… en vain.

    Grand industriel dans l’acier, et patriarche de la famille von Essenbeck, Joahim de son prénom, refuse de servir les intérêts d’Hitler. Pourtant, il lui faut trouver une solution car son empire bat de l’aile. Cet assassinat mystérieux permet d’élaguer les têtes ambitieuses et fait surtout le jeu d’Aschenbach, un cousin de la famille inféodé au parti nazi.
    La manipulation d’Aschenbach (Helmut Griem) pour amener l’entreprise à servir le régime nazi était intéressante. Combines, intrigues, compromis, tout était bien amené.
    Le récit souffre quand même de quelques longueurs à mon goût comme cette fameuse nuit des Longs Couteaux.
    Evidemment le film a vieilli par moment, en partie à cause de la direction d’acteurs et de quelques lignes de dialogues que j’ai trouvées naïves ou malvenues.
    Certainement la faute à cette satanée version française !

    Je n’ai aucune envie de mal noter « Les Damnés », je lui réserve tout juste la moyenne.

    Plus que jamais, à voir en V.O, mais quelle V.O ?!
    Sur le plateau parlait-on une seule langue ?
    Je n’en suis pas certain.
    Et c’est bien dommageable…
    Roub E.
    Roub E.

    769 abonnés 4 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2023
    Ayant adoré le Guépard grande fresque sur toile de fond historique j’attendais beaucoup « des damnés » qui allait raconter la montée et la chute du nazisme au travers de l’histoire d’une riche famille industrielle. Visconti y dresse le portrait de la décadence d’une famille, qui s’écroule et se déchire pour conserver son pouvoir. Car la puissance économique est montrée comme une source de pouvoir sans la moindre équivoque et les arrangements et agréments de la famille Von Essenbeck envers les nazis sont un moyen de conserver et d’assoir leur position dominante. Si une nouvelle fois chez Visconti le décorum est utilisé à merveille, j’ai trouvé l’histoire trop vaste pour tenir sur les deux heures et demie, j’ai souvent eu l’impression que des raccourcis étaient employés ce qui est toujours gênant avec ce type de sujet. Les damnés est un film baroque par moment théâtral sur une autodestruction de groupe et sur les chemins qui mènent à l’horreur.
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    17 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2023
    Film a grosse réputation, comme nombre de films de Visconti, le récit Politico historique est intéressant, mais la forme du film qui est un gros téléfilm bavard en costume, manque de lumière, de légèreté et d'aération et est un peu indigeste sur le plan esthétique. On préfère Louis 2. A comparer avec le fabuleux "Les 4 Cavaliers de l'Apocalypse" de Minelli ou apparait aussi ingrid Thulin, beaucoup plus récréatif et plaisant
    dagrey1
    dagrey1

    88 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2020
    En 1933, l'avènement des Nazis est diversement accueilli par les membres de la riche entreprise familiale Von Essenbeck. A partir de l'incendie du Reichstag, l'Histoire va s'accélérer et la famille Von Essenbeck imploser...

    Les Damnés est un drame Germano-Italien de Luchino Visconti de 1969.
    Il s'agit d'une fresque historique et familiale remarquable qui montre comment le destin de cette famille va se retrouver étroitement associé à celui de l'Allemagne dans une fuite en avant pour aboutir à un règne qui devait durer Mille ans. Ce sont les Femmes et les Hommes qui font l'Histoire, Visconti le démontre très bien avec les damnés.

    Une famille divisée
    Chez les Von Essenbeck, chacun joue une partition différente. Joachim Von Essenbeck (Albrecht Schonals), le père riche industriel, est un homme âgé qui n'apprécie pas les Nazis. Il est assassiné et celui qui est accusé n'est autre que son beau fils, Herbert Thalmann (Umberto Orsini), opposant déclaré aux Nazis. Constantin Von Essenbeck (René Koldehoff), implanté chez les SA d'Ernst Rohm se voit nommé directeur mais il perd rapidement le poste au profit de Friedrich Bruckmann (Dirk Bogarde), le directeur falot de l'usine, fiancé à la fille (Ingrid Thulin) de Joachim Von Essenbeck. Et puis, il y a Martin (Helmut Berger), le petit fils, que personne ne prend au sérieux, surtout lorsqu'il se travestit en Lily Marlène...
    Toute cette famille va s'affronter sous le regard d'un cousin, Aschenbach (Helmut Griem). Celui ci est membre des SS.

    Les damnés est une chronique familiale qui serait inspirée de celle des Krupp, industriels implantés dans la RUHR. Le film met parallèle le destin des membres de la famille et les épisodes historiques (Nuit de cristal, Nuit des longs couteaux...) qui parachevèrent l'avènement du régime Nazi et la prise de pouvoir totale par Adolf Hitler. Manipulations et jalousies sont les moteurs de cette fresque familiale contrariée brillamment mise en scène par Luchino Visconti.
    Les damnés alterne les scènes intimistes et celles d'actions, ce qui le rend moins statique que certaines autres oeuvres de Visconti.

    Aschenbach, l'Ange de la perdition de la famille Von Essenbeck
    Aschenbach , remarquablement interprété par Helmut Griem, est le "grain de sable" qui va monter les membres de cette famille les uns contre les autres pour arriver à ses fins. Historiquement, le régime Nazi va s'entourer continuellement d'un semblant de légalité. Face à l'opposition entre l'armée allemande et les SA, les SS vont parier sur l'armée, indispensable pour leurs projets d'expansion à venir. Les SS élimineront les oppositions (SA et Libéraux) durant la nuit des longs couteaux.

    La réalisation "au cordeau" et l'interprétation magistrale de l'ensemble du casting concourent à la qualité du film.
    La bande originale est de Maurice Jarre.

    J'ai vu ce film pour la première fois alors que j'étais adolescent et il m'avait marqué. Les damnés est mon film préféré de Luchino Visconti.
    A v
    A v

    3 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2019
    "Les Damnés" de Visconti est pour moi l'un des meilleurs film du réalisateur Italien avec dans un registre différent "Mort à Venise". Ce chef d'oeuvre sur fond de nazisme nous comtes l'histoire d'un jeune homme dominé par sa mère et hanté de désirs incestueux, une femme ambitieuse et son amant meurtrier, un S.S. fanatique : voici l'orgueilleuse famille sur laquelle règne un patriarche tout puissant. Des destins liés à l'histoire de l'Allemagne, au cours de cette période fatale qui vit la monté du nazisme et l'avènement d' Hitler. La démence et la mort rôde dans cette fresque magistralement réalisé par Luchino Visconti.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 037 abonnés 4 099 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2017
    Avec "Les damnés", Visconti inaugure sa trilogie allemande qui devait en fait être une tétralogie. Visconti s'est énormément documenté pour réaliser son film, notamment en se référant au livre de William Shirer sorti en 1961 ("Le troisième Reich de la naissance à la mort") et qui proposait la première tentative d'analyse de ce phénomène qui a stupéfié le monde de son avènement à sa chute après que l'horreur des camps de la mort a été révélée suite au débarquement des troupes américaines. Pour autant, le génial réalisateur n'entend pas livrer un film historique mais plutôt une métaphore baroque tentant d'expliquer par le biais de la décadence d'une des grandes familles d'industriels allemands comment la survenue d'une telle barbarie organisée n'aurait été possible sans la collaboration active ou passive des principaux acteurs économiques du pays toujours plus avides d'intérêts. Afin qu'il n'y ait pas d'équivoque sur le contour exact de son propos, Visconti entame et conclut son film par des plans incandescents des aciéries tournant à plein régime. La famille Von Essenbeck (en vérité les Krupp) qui a toujours fait en sorte de tirer le meilleur parti des changements politiques en pratiquant un jeu subtil d'influence se trouve brutalement fragmentée par l'arrivée au pouvoir des nazis. Le vieux baron qui fête son anniversaire n'a jusqu'alors pas su trancher entre ceux des siens partisans de la collaboration franche et les autres y voyant une rapide dépossession de leur pouvoir de décision sur la marche de l'empire familial. spoiler: Dans le huis clos du château familial, les salons feutrés se transforment en une jungle hostile où le danger se cache derrière portes et tentures, chacun essayant de profiter des faiblesses de l'autre pour pousser ses avantages suite à la découverte du cadavre ensanglanté du baron dans son lit.
    A dessein, Visconti entremêle la tragédie familiale avec les coups de force successifs d'Hitler nouvellement élu chancelier pour annihiler toute opposition. La gauche tout d'abord avec "La nuit de cristal", Röhm le compagnon de la première heure et ses SA ensuite avec "La nuit des longs couteaux" prétexte à une scène tout à la fois lyrique et signifiante sur l'absence totale de sens moral et de culpabilité du troisième Reich naissant. Les membres de la famille Essenbeck peuvent donc laisser libre cours à toutes leurs perversions et s'écharper, le survivant du massacre sera immanquablement entre les mains du régime qui a déjà l'esprit tourné vers son rêve fou de conquérir le monde. Ce parallèle constant dressé par Visconti rend fatalement dérisoire le jeu de massacre que s'inflige les pantins désarticulés que sont devenus les Essenbeck. Néanmoins, le réalisateur du "Guépard" au sommet de son art transforme cette déliquescence pathétique en un opéra funeste somptueux où Helmut Berger, jeune éphèbe inquiétant et pervers, fait une irruption fulgurante dans le cinéma du maitre, entouré des acteurs chevronnés que sont Dick Bogarde, René Kolldehoff , Helmut Riem et Ingrid Thulin. Avec "Les damnés", seulement six ans après "Le Guépard" Visconti prend violemment à revers la maxime prononcée par le prince Fabrizio Corbera de Salina (Burt Lancaster) à propos des révolutions : "Il faut que tout change afin que rien ne change". Il est parfois des maladies de l'homme qui emportent tout avec eux. Le nazisme était sans aucun doute la pire d'entre elles. Un chef d'oeuvre dérangeant, glaçant et difficile d'accès mais qui apporte sa contribution à la compréhension de cette perversion ultime de l'homme social.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 411 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2017
    Je m'attendais à un film plus violent et plus cru pour être honnête. Quelque chose qui marque les esprits. Hors ce film est assez aseptisé. C'est un film à grand spectacle, avec des décors et des costumes soignés comme d'habitude avec Visconti, mais aussi avec des dialogues et des personnages très travaillés.
    Ce film nous raconté la montée du nazisme vu par les yeux d'une famille de très riches industriels actifs dans l'acier et donc l'armement. L'arrivée d'une nouvelle Allemagne et d'une guerre prochaine potentielle est pour eux un sujet très important. C'est une affaire de famille et la famille va se déchirer jusqu'à la fin fatale. Les enjeux sont tellement importants que tous les coups sont permis. Ce n'est pas un film d'action mais un film qui analyse et retranscrit cette période de l'histoire.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    166 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2017
    Sans doute l'un des meilleurs films de Visconti.
    Le film est une véritable tragédie. L'histoire est magnifiquement écrit. Le contexte géopolitique est raconté avec beaucoup de justesses.
    Les acteurs m'ont semblé plutôt bons.
    En revanche le film est beaucoup trop long et on n'échappe pas à quelques longueurs.
    Très beau drame familiale.
    Eselce
    Eselce

    1 231 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Costumes et décors d'époque sont réussis. Film lent et peu instructif sur la montée du nazisme, ses ambitions et la destruction d’œuvres de grands auteurs. Je n'ai pas du tout accroché aux personnages, surtout les quelques détraqués que l'on y perçoit. Il y a des plans explicites dont je ne vois qu'un intérêt commercial de voyeurisme, notamment les quelques scènes d'érotisme et l'étrangeté quasi pédophile de l'un des personnages. Je n'ai pas du tout aimé le film et m'y suis clairement ennuyé. On assiste à quelques orgies des SA avec quelques travestis dans le lot... Le réalisateur a sans doute voulu montrer la décadence qu'il y régnait, notamment à travers "la nuit des longs couteaux" et l'assassinat de Ernst Röhm et de ses troupes. La famille allemande n'offre aucune empathie pour ses membres spoiler: Pédophile et incestueux et haineux, merci pour ce final à vomir
    . J'ai envie de vous dire, si vous n'accrochez pas aux 15 ou 30 premières minutes, il est inutile d'aller plus loin, c'est une perte de temps.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    952 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2016
    Comme il filmait la décadence d'un roi avec Ludwig, Visconti filme ici la décadence d'un peuple, représenté par une famille plutôt malsaine dans un pays habité par le fléau du nazisme. Un film mi-historique, mi-drame baroque assez brutal dans son message, immoral même mais fascinant sur son style.
    Acidus
    Acidus

    640 abonnés 3 665 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juin 2014
    Moyennement convaincu par ce drame shakespearien aux accents de "Dallas". Le scénario tient la route mais se trouve plombé par plusieurs longueurs ainsi qu'une réalisation bien trop plate et sobre. Sna sparler d'ennuie, "Les Damnés" ne m'a guère captivé.
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