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Synopsis
Gérant d'une vidéothèque, François Maréchal mène avec Blanche et leur fils une existence paisible et sans éclat, jusqu'au jour où dans son magasin, il met en rayon le DVD de Chantons sous la pluie. Il décide de regarder quelques images du film et découvre le monde de la comédie musicale. Cette révélation va bouleverser sa vie car, dès lors, François n'a plus qu'une obsession : devenir danseur de claquettes. Tournant le dos à son bonheur tranquille, il délaisse peu à peu femme, enfant et travail, pour vivre pleinement sa soudaine et secrète passion. François va alors être rejoint par le passé familial, marchant sans le savoir sur les traces de son père qu'il croyait disparu...
Jeanne Balibar Interview 2: A l'âge d'Ellen, Dieu seul me voit (Versailles-chantiers), J'aurais voulu être un danseur, Jeanne et le garçon formidable, Ne change rien
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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244 abonnés
Lire ses 1 280 critiques
1,0
Publiée le 2 septembre 2007
Alain Berliner déçoit avec ce film aux allures de téléfilm, après son superbe Ma vie en rose dont on retrouve en guest Georges du Fresne. Les acteurs semblent perdus, le scénario n’en finit pas de se traîner. C’est un échec, d’autant plus frustrant que le coeur y est.
defleppard
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207 abonnés
Lire ses 2 957 critiques
5,0
Publiée le 4 décembre 2008
Excellent film avec un Elbaz étonnant , vraiment bien !
Caine78
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4 591 abonnés
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1,5
Publiée le 30 septembre 2010
Certes sympathique, il n'y a hélas pas à chercher bien loin pour trouver les énormes carences dont souffre ce "J'aurais voulu être un danseur". Car hormis un hommage des plus agréables aux grandes comédies musicales d'antan et quelques numéros pas trop mal ( bien que peu aidés il est vrai par des chansons franchement médiocres), il nous est vraiment difficile de nous intéresser ne serait-ce qu'un peu à ce scénario boursouflé et ...
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al111
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18 abonnés
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1,0
Publiée le 1 septembre 2007
De père en fils, ils veulent tous être danseurs de comédie musicale. Le scénario qui aborde trois époques en tissant des liens historicos-sentimentaux, aurait probablement plu à Lelouch, avec la même histoire répétée à chaque génération. Mais la mise en scène manque cruellement de légèreté, sans imagination dans les séquences dansées, et à la limite du ridicule pour tout ce qui est fantasmé. Le scénario ne laisse planer ...
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J'aurais voulu être un danseur n'était pas le titre auquel le réalisateur Alain Berliner avait pensé au départ. Au commencement, il désirait l'intituler Gene Astaire, mais la veuve de Fred Astaire n'a pas souhaité que le nom de son mari soit utilisé dans le titre. Ensuite, le réalisateur a penché pour Broadway, mais cette idée a aussi été abandonnée : "Si Broadway signifie quelque chose dans les pays anglo-saxons, c'est beaucoup moins éviden
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L'un des derniers films de Jean-Pierre Cassel...
J'aurais voulu être un danseur est l'un des derniers films que Jean-Pierre Cassel ait tournés, avant de décéder des suites d'un cancer le 19 avril 2007. "La disparition brutale de Jean-Pierre m'a surprise car il n'aimait pas inquiéter et ne parlait pas de la gravité de son état. J'ai eu tellement de plaisir à travailler avec lui. J'aurais aimé continuer", confie Alain Berliner.
Un hommage involontaire
Jean-Pierre Cassel était un passionné de comédies musicales américaines. Véritable danseur de claquettes, il s'exerçait régulièrement au Club Saint-Germain. C'est d'ailleurs là qu'il rencontra Gene Kelly, qui se trouvait à Paris à la fin des années 50. Les deux hommes sympathisèrent immédiatement et Kelly lui enseigna même des pas de claquettes, avant de lui offrir une petite apparition dans son film The Happy road (1958). Il n'est donc pas étonn
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