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Synopsis
Koistinen, gardien de nuit, arpente le pavé à la recherche d'une petite place au soleil, mais l'indifférence générale et la mécanique sans visage de la société se liguent pour briser ses modestes espoirs les uns après les autres. Un groupe de bandits exploite sa soif d'amour et son poste de veilleur de nuit avec l'aide d'une femme calculatrice. Ils organisent un cambriolage dont Koistinen est rendu seul responsable. Et voilà celui-ci privé de son travail, de sa liberté et de ses rêves.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un jour, bientôt, Aki Kaurismaki finira par être récompensé par une belle palme d'or, à l'ancienneté, un peu comme Ken Loach cette année. En fait, il aurait déjà dû l'avoir pour "l'homme sans passé", sans doute le plus beau film de ces 5 dernières années cannoises. Même si "les lumières du faubourg" se situent un chouia en dessous de ce chef-d'oeuvre du 7ème art, il n'y aurait pas eu à crier au scandale s'il l'avait eu cette ...
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Ti Nou
310 abonnés
3 165 critiques
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2,0
Publiée le 6 mai 2018
Heureusement que le film est court car son ambiance dépressive est pesante. On y suit un personnage inexpressif qui subit ses pertes (liberté, emploi, rêve…) sans jamais montrer la moindre émotion (il est visiblement interprété par un robot). Difficile alors d’avoir un quelconque intérêt pour son sort, juste une infinie pitié et une irrépressible envie que cela se termine au plus vite.
brandao666
4 abonnés
228 critiques
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5,0
Publiée le 17 janvier 2008
Tres beau poétique et kaurismaki nous plonge comme il sait si bien le faire en moins d'1 heure 20 dans son oeuvre, magistral .
Youmna C
36 abonnés
351 critiques
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1,0
Publiée le 27 novembre 2006
Kaurismäki veut tellement traiter la "paumitude" qu'il finit par faire un film trop paumé. L'image est plate, l'acteur est plat et l'évolution aussi. On n'est que très peu ému par cette tristesse ambiante. Comme quoi faut pas en faire trop pour faire passer les sentiments
Les Lumières du faubourg a été présenté en compétition au festival de Cannes 2006.
Dernier volet d'une trilogie
Les Lumières du faubourg clôt la trilogie commencée avec Au loin s'en vont les nuages et L'Homme sans passé. Elle a été définie comme la "trilogie des perdants". Le premier film aborde le thème du chômage, le second parle des sans-abris, quant à ce nouveau film, il traite de la solitude. Des thèmes difficiles qui n'ont pas empêché Aki Kaurismäki de réussir à chaque fois des films singuliers et passionnants.
Sur un air de tango
Le bande son du film est exceptionnelle, avec la voix de deux grands rois du tango : l'Argentin Carlos Gardel, connu de tous, et le Finlandais Olavi Virta, connu de quelques rares finlandais, mais qui mériterait une plus grande reconnaissance. Le film est également bercé par la musique de l'Ensemble Mastango, composé d'Antero Jakoila à la guitare, Mikko Helenius au bandonéon, piano, chant, et de Mauri Saarikoski au violon. Leur répertoire regroup
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