Ce monde à part

Une bonne surprise "The Young Philadelphians" traduit en "Ce Monde à Part" ce qui est faux, mais bon passons. Le film est vraiment captivant de bout en bout, et malgré un dénouement classique et un peu prévisible, on trouve quand même de bons rebondissements. Il y a bien quelques défauts et en premier ce scénario, c'est mitigé car il y a de très bonnes idées, mais certaines relations ne sont pas du tout approfondis alors qu'elles sont ...
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wouahou, je m'attendais pas à un si bon film, la forme reste classique mais tout est parfaitement en place. Le scénario se compose d'un enchainement de dilemmes pour le héros qui ne laisse pas de temps mort. Newman assure une performance intéressante en en faisant, ni trop, ni trop peu, avec des acteurs solides à ses cotés. Un seul petit défaut le fait de retrouver toujours les mêmes personnages, c'est vraiment des happy few pour le coup.

En 1959, Paul Newman s’il n’est plus un débutant n’est pas encore totalement sur le devant de la scène. Il s’est fait remarquer dans « Le gaucher » (1958) d’Arthur Penn mais surtout dans « La chatte sur un toit brûlant » (1958) de Richard Brooks où il ferraille avec Elizabeth Taylor qui est déjà une star. Newman est tout simplement un acteur très prometteur pour les studios à la recherche d’émules de Marlon Brando. ...
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paul newman nous offre encore ici,une de ces plus belle
prestation,apres luke la main froide,personnage plus
enigmatique que le reste de sa carriere,avec tjs cette
puissance,et ce jeu que seuls les meilleurs acquierent
aux fils des annees,perso je suis fan