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Synopsis
Un journaliste britannique, violemment choqué par les affrontements à Sarajevo, prend fait et cause pour une adolescente bosniaque et tente de la sauver en la ramenant chez lui.
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3,5
Publiée le 8 octobre 2012
"Matin et soir le nez dans la télé, c'est encore plus vrai...", bon, peut-être pas à ce point mais l'effet est là. Suivre ces reporters de guerre filmer eux-mêmes le drame ambiant sur place nous donne comme l'impression d'un documentaire sur ces journalistes hors pair. Réussi. Un des premiers rôles de Goran Visnjic.
Demogorgon
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2,5
Publiée le 15 janvier 2012
L'idée de scénario est superbe et le contexte inquiétant, mais il me semble que le réalisateur s'est loupé dans sa façon de raconter quelque peu ennuyeuse...
Gonnard
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4,0
Publiée le 5 décembre 2009
L'idée de mêler images d'archives et fictionnelles est indéniablement bonne. Grâce à cela, le film est vivant, réaliste, dynamique, impression accentuée par la technique de la camé
ra à l'épaule. Je suis malgré tout bien déçu. Le film ne nous apprend rien sur le conflit yougoslave. On a beau voir défiler les tronches de Karadzic, Mitterrand et compagnie, c'est le désert absolu en matière d'explication ou d'analyse. J'en viens ...
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Caine78
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3,0
Publiée le 3 octobre 2010
Un sujet fort et très intéressant, mis en scène de manière plutot intelligente, certains moments faisant penser à un documentaire ou des images que l'on diffuse à la télévision. C'est incontestable, Welcome to Sarajevo est un film qui impose le respect, d'autant plus que l'ensemble ne souffre d'aucun pathos et l'interprétation est convaincante. Et pourtant, l'ensemble ne s'avère pas entièrement convaincant, l'ensemble manquant ...
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je le prendrais pour marisa et seulement pour elle
Gordana P.
Il faut faire plus de films comme celui-ci ou les initiateurs de la guerre envoient leurs observateurs regarder le malheur de leurs victimes et jouer les héros (ce dernier évidemment que dans les films). Pour eux, ainsi que pour les hommes politiques, affamer et tuer des enfants et des innocents, détruire des familles, n’était qu’un dommage collatéral.