Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis et détails
Quelque part au milieu des steppes sans fin d'Asie Centrale se trouve un trésor. Un homme en a la clef, un fragment de carte antique. Dans sa quête sans répit, Charles ne cherche ni fortune ni gloire, seulement à sauver son âme. Ulzhan l'a compris dès qu'elle a posé les yeux sur lui...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
39 abonnés
Lire ses 1 347 critiques
3,5
Publiée le 20 septembre 2010
C'est un bon film, certes un peu longuet. Par contre l'homme à la recherche de nul part rencontre sur son chemin tous les troubadours qui parlent français. Quel chance; le Kazastan francophone.
Kubrick's Club
Suivre son activité
18 abonnés
Lire ses 682 critiques
1,0
Publiée le 20 juillet 2008
L'histoire est superbe, celle d'un homme qui part à l'est, pour mourir au milieu des Steppes où les gens ont tout pour être malheureux. Un homme qui ne cherche qu'une chose, être seul, pour mourir dans l'anonymat le plus complet, mais quelques hommes ou femmes essayent de l'aider, en vain. Malheureusement la réalisation est on ne peut plus soporifique, ce qui montre tout simplement les limites du cinéma lorsqu'il s'agit de nous plonger dans ...
Lire plus
kibruk
Suivre son activité
51 abonnés
Lire ses 1 874 critiques
3,0
Publiée le 11 juin 2011
Le synopsis laisse présager un film d'aventure, mais si aventure il y a, elle est spirituelle. "Ulzhan" est un lent voyage dans les steppes fait de quelques rares rencontres pittoresques. Le personnage surréaliste de Shakuni est la seule originalité d'un film au scénario simple et connu qui séduit plus par la beauté de ses paysages que par l'originalité ou la profondeur de son propos.
porkylekid
Suivre son activité
3 abonnés
Lire ses 38 critiques
1,0
Publiée le 4 mai 2008
Un film qui pour moi sonne faux, de la vingtième minute à la fin. La jeune actrice jouant Ulzhan tente bien de sauver les meubles, mais la nullité des dialogues est trop forte. Entre l'écervelé de service et ses dialogues confondant de bêtise, et qui a l'air de se croire intelligent, et le désenchantement exagéré du héros, la pauvre a trop à faire. Reste de beaux paysages, et une jeune actrice prometteuse, qui malheureusement n'a pas ...
Lire plus
Ulzhan a été présenté au Festival de Cannes 2007, dans la section "Les Hommages du 60e anniversaire".
Hommage à l'Inde
L'un des personnages du film, Shakuni, incarné par David Bennent à l'écran, est en fait un personnage littéraire tout droit sorti du Mahabarata, une oeuvre fleuve qui raconte rien de moins que la génèse du monde chez les hindouïstes. Pour la petite histoire, Jean-Claude Carrière, qui a écrit le scénario de Ulzhan, a également écrit celui du film fleuve Le Mahabharata, réalisé en 1991 par Peter Brook.
Un acteur très physique
Pour Volker Schlöndorff, la quête d'un sens ultime, la volonté de fuir et de disparaître face à un deuil trop grand et lourd à supporter, pouvaient paraître grandiloquents s'il n'y avait pas un acteur très pragmatique. "J'ai immédiatemment pensé à Philippe Torreton qui est très terre à terre" explique le cinéaste. Et d'ajouter : "Ce n'est pas un acteur qui souffre. Il est très physique, sans états d'âme, et têtu comme une mule. Il...
Lire plus
Ce film traine en longueur, n'est pas trop vraisemblable, et finit par être irritant !Quelle but peut à ce point avoir un homme à parcourir sans fin les steppes de l'Asie Centrale, à pied puis à cheval ? Un désespoir secret que l'on finit par comprendre, à moins que ce ne soit la recherche de je ne sais quelle trace de civilisation, on ne sait pas trop ??? Et puis la gueule sombre de l'acteur principal finit par peser, d'autant qu'une pauvre fille va malgré tout s'attacher à ce sinistre individu !?!! Les femmes sont-elles bêtes au point de trouver un attrait ( on ne sera même pas si c'est le cas ) à de tel macho ???Mais, j'ai quand même aimé le début, l'arrivée en Azerbaïdjan, les paysages désertiques ou pollués de machines ou de camions, les grands moments de silence...