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Synopsis
Bruxelles, été 42. Le jeune Simon voit avec horreur son père arrêté et déporté par les nazis. Il réussit à fuir en Angleterre où il rejoint son grand-père Abraham, personnage austère et distant. Dans cet exil, Simon ne trouve aucun réconfort auprès d’Abraham. Ce vieil homme érudit attaché aux valeurs de la tradition juive, méprise l’éducation laïque de Simon. Tout les oppose dans leur conception de la religion et de la vie. Quand ils découvrent l’horreur de l’holocauste et la disparition probable de leurs proches, c’est la jeunesse de Simon qui va donner au vieil homme la force d’affronter une réalité insupportable…
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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3,5
Publiée le 28 mars 2012
Rondo est un film intelligent, un questionnement sur la foi et sur la présence de dieu lorsque des évènements atroces se produisent. Malheureusement l’emballage n’est pas suffisamment attrayant pour en faire un film indispensable. Reste des idées pertinentes et un jeu d’acteurs inspiré. [Critique complète à lire sur Critique-flm.fr]
Muriel Dejardin
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4,0
Publiée le 6 octobre 2011
quel film émouvant...on ne sort pas de la salle indemne!
Le jeune comédien Julien Frison se souvient des difficultés rencontrées sur le tournage : "J'ai dû apprendre à gérer un personnage à des âges différents, me concentrer afin de trouver la maturité adéquate en fonction des différentes scènes", déclare-t-il. L'acteur lui-même avoue avoir mûri tout au long de l'aventure et ajoute : "Je n'ai pas compris la même chose entre ma première lecture du scénario à 13 ans et la deuxième juste avant le tournage...
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Le cinéma comme thérapie ?
Optimiste, le cinéaste Olivier Van Malderghem voue un amour sans borne au cinéma, qu'il voit comme un moyen éventuel de régler "les questions affectives liées au problème du deuil et les questions morales liées à la responsabilité". C'est l'une des raisons qui l'a poussé à réaliser Rondo.
La colère, mais pas seulement
Rondo constitue un moyen pour le metteur en scène d'exprimer sa colère face à l'atrocité et l'abomination de la Shoah. Ceci étant, pour donner une dimension plus "profonde" et "épique" à son histoire, Olivier Van Malderghem a fait entrer Dieu en scène...