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Synopsis
Tout va pour le mieux pour le couple Jill et Larry Baker, hormis des crises de hoquet constantes pour Jill. Elle se décide à consulter un psychanalyste qui la persuade que son mari est la cause de cette étrange maladie...
Si le rire dans ce film peut venir de manière plus laborieuse que dans les autres films du réalisateur de la même époque, il est indéniablement présent. En effet, aujourd'hui "Illusions perdues" paraît mineur surtout lorsqu'on sait qu'il a été tourné entre deux chefs d'oeuvres du maître ("The Shop Around The Corner" et "To Be or Not To Be"), mais à sa vision on se dit qu'un petit Ernst Lubitsch en vaut bien un grand chez les autres ...
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Un visiteur
4,5
Publiée le 22 juin 2014
une très bonne comédie en noir et blanc comme on les aimes, bref du bonheur à savouré sans plus attendre.
Pascal
76 abonnés
1 115 critiques
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4,5
Publiée le 19 juillet 2023
Réalisé dans la dernière partie de sa carrière, " illusions perdues" n'a pas la même réputation auprès de la critique que les chefs d'oeuvre du cinéaste ( " to be or not to be" ou " the shop around the corner"...).
Pourtant, cet opus de Lubitsch est vraiment excellent. La première partie est formidable et s'il est vrai que la seconde est moins alléchante, " the uncertain feeling" développe un scénario et des dialogues d'une ...
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Caine78
5 259 abonnés
7 396 critiques
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4,0
Publiée le 2 mars 2008
Du Lubitsch pur souche, et c'est un bonheur : à nouveau, le maitre de la comédei nous offre un grand moment de comédie, ou il exploite aussi bien le physique que la joute verbale afin de rendre son récit particulièrement savoureux et drôle. Car il est nous est quasiment impossible de résister au charme des trois comédiens, qui s'en donnent à coeur joie afin de rendre leur personnage sincère et surtout particulièrement juste. Surtout ...
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Ernst Lubitsch et Sol Lesser, l'autre producteur du film mais non-crédité au générique, avaient formé une association, Ernst Lubitsch Productions, Inc., mais celle-ci a été dissoute après l'échec du film au box-office américain.
Adaptation de pièce
Ce film du réalisateur allemand s'inspire d'une pièce de théâtre écrite par deux auteurs français, Victorien Sardou et Emile Najac, Divorcons. Cette pièce, qui raille les lois du divorce, a été joué pour la première fois au Palais Royal, le 6 décembre 1880.
Problèmes de peaux
Merle Oberon qui tient le haut de l'affiche a connu quelques soucis durant le tournage. Dans ce film, on constate qu'il y a très peu de gros plans de l'actrice principale. La raison : elle se remettait de sa deuxième infection cosmétique. Elle avait causé des fosses et des plaies sur son visage, qui ne pouvaient être recouvertes par du maquillage. Ernst Lubitsch du donc s'adapter à cette contrainte.