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Synopsis
Tout va pour le mieux pour le couple Jill et Larry Baker, hormis des crises de hoquet constantes pour Jill. Elle se décide à consulter un psychanalyste qui la persuade que son mari est la cause de cette étrange maladie...
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4,0
Publiée le 20 octobre 2009
Si le rire dans ce film peut venir de manière plus laborieuse que dans les autres films du réalisateur de la même époque, il est indéniablement présent. En effet, aujourd'hui "Illusions perdues" paraît mineur surtout lorsqu'on sait qu'il a été tourné entre deux chefs d'oeuvres du maître ("The Shop Around The Corner" et "To Be or Not To Be"), mais à sa vision on se dit qu'un petit Ernst Lubitsch en vaut bien un grand chez les autres ...
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nekourouh
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2,5
Publiée le 10 avril 2012
Un film intéressant. La première partie est brillante, profonde et passionnante. A l'inverse, la seconde moitié révèle quelques faiblesses dans le scénario. La fin est également moyenne.
Un visiteur
4,5
Publiée le 22 juin 2014
une très bonne comédie en noir et blanc comme on les aimes, bref du bonheur à savouré sans plus attendre.
TTNOUGAT
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3,0
Publiée le 21 avril 2013
Le type même de la ‘’Lubitsch touch’’ avec de la finesse à tous moments, il n’y a que ce cinéaste pour filmer pareillement . Il arrive à faire de cette lourde pièce de théâtre de boulevard un film léger. Les ellipses y sont nombreuses ainsi que les sous entendus. Il est bien aidé par Merle Oberon, belle comme tout et portant la toilette à ravir, et surtout par Melvyn Douglas qui est un acteur lui convenant à merveille. Les ...
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Ernst Lubitsch et Sol Lesser, l'autre producteur du film mais non-crédité au générique, avaient formé une association, Ernst Lubitsch Productions, Inc., mais celle-ci a été dissoute après l'échec du film au box-office américain.
Adaptation de pièce
Ce film du réalisateur allemand s'inspire d'une pièce de théâtre écrite par deux auteurs français, Victorien Sardou et Emile Najac, Divorcons. Cette pièce, qui raille les lois du divorce, a été joué pour la première fois au Palais Royal, le 6 décembre 1880.
Problèmes de peaux
Merle Oberon qui tient le haut de l'affiche a connu quelques soucis durant le tournage. Dans ce film, on constate qu'il y a très peu de gros plans de l'actrice principale. La raison : elle se remettait de sa deuxième infection cosmétique. Elle avait causé des fosses et des plaies sur son visage, qui ne pouvaient être recouvertes par du maquillage. Ernst Lubitsch du donc s'adapter à cette contrainte.