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Synopsis
Interdit aux moins de 16 ans
François se déteste. Convaincu que sa vie est gâchée, il est pris de court quand une rencontre fortuite bouleverse son existence propre et rangée. Christian, 23 ans, est le fils d'un vieil ami. De l’avis de tous, il est l'incarnation parfaite du beau jeune homme dans la fleur de l'âge. François s’en trouve secrètement désarmé, consumé par une passion dévorante et une convoitise malvenue. S’étant toujours appliqué à se complaire dans le dégoût de lui-même, le voilà qui laisse sortir des émotions contenues depuis toujours, tentant désespérément d'obtenir de la vie ce qu'il a toujours désiré : le bonheur.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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30 abonnés
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3,0
Publiée le 29 octobre 2011
Loyauté, n, f : attachement dévoué à une cause.
Et se perdre tout au fond, en dedans.
Hastur64
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3,5
Publiée le 4 juin 2013
Dans les films traitant de l’homosexualité et plus particulièrement de la difficulté d’accepter cette orientation sexuelle, les protagonistes sont souvent coulés dans le même moule : un jeune homme (ado, la vingtaine ou à la limite la trentaine), souvent pas désagréable physiquement et plutôt sympathique ou en tout cas qui emporte l’empathie du spectateur. Ici le réalisateur a laissé de côté ces stéréotypes pour se tourner ...
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Lascap7537
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0,5
Publiée le 16 octobre 2011
Je ne m'attendais pas à une pareille horreur! Tabassage , viol , scènes pornos gays : Merci pour cette usine à ccauchemars! Ce n'est pas une pub pour l'Afrique du sud!
ffred
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2,0
Publiée le 17 octobre 2011
Second film de Oliver Hermanus Beauty est reparti de Cannes (Un certain regard) avec la Queer Palm. Moi j’en suis reparti avec un certain malaise et un brin de perplexité. Voilà un long métrage qui rentre dans ma catégorie des films « qui se méritent ». Il brasse énormément de thèmes très intimes (identité sexuelle, homosexualité non assumée, vieillesse, banalité du quotidien, habitudes) et plus universels (racisme, dictat de la ...
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Beauty a été sélectionné en compétition officielle du festival de Cannes 2011, dans la section "Un Certain Regard". C'était la première fois qu'un film en Afrikaans recevait les honneurs de ce festival. Il est finalement reparti avec la Queer Palm, la deuxième depuis la création de ce prix récompensant les films aux thématiques LGBT. Le producteur Didier Costet est d'ailleurs un habitué de la Croisette, qu'il avait déjà eu l'occasion de visiter e
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Une question de minorité
Le personnage de François est l'incarnation même de la minorité, et pas seulement pour des raisons sexuelles. En effet, sa couleur de peau, sa ville, son pays et la langue qu'il parle, concourent à l'isoler de la majorité. Dans l'Afrique du Sud post-Apartheid, François, blanc parlant l'Afrikaans et résidant dans la capitale bâtie par les colons, représente l'ennemi. Le mal-être et l'isolement du personnage principal se joue donc à deux échelles :
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Dans la peau d'un voyeur
La vue et le regard possèdent une importance cruciale dans le film. En effet, François est présenté comme un voyeur, un homme qui aime observer ses semblables sans pouvoir être observé en retour car gardant ses émotions et pensées pour lui. Aussi le réalisateur a-t-il choisi de le filmer de manière subjective, afin de donner aux spectateurs l'impression de voir les choses "comme s’il était François". Le cinéaste souhaite ainsi que ces derniers pe
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D'entrée de jeu on se trouve dans les yeux du prédateur François. Il vient de rencontrer le fils d'un vieil ami, Christian. Alors que François mène une vie tranquille avec sa femme et ses deux filles en Afrique du sud, cette rencontre met en évidence son homosexualité refoulée. Dès lors, l'existence de cette homme semble régit par les faits et gestes de Christian. Il le suit partout.Olivier Hermanus parvient dans son film à rendre le spectateur témoin et complice des agissements de François (alors que ceux-ci sont loin d'être cautionnés par l'assemblée). Il y parvient grâce à une habile utilisation de la caméra. En effet, dans ce film, les yeux de François et la caméra ne font qu'un. Il n'y a qu'à voir la scène de la plage, François observe Christian de loin. Le spectateur n'a pas le choix, il est complice du voyeur. Ainsi, on se place automatiquement du côté de François, c'est le seul personnage sur lequel on peut se reposer tout au long du film.En quoi ce film est donc bouleversant me direz-vous ? François est un homo refoulé qui, éprit d'une passion dévorante, devient violent. Cette violence est très présente dans le film. A l'image elle se fait par de brusques changements de décors et d'environnements : On passe de quatre hommes dans une cuisine (bière à la main), à une chambre dans laquelle ses quatre hommes sont en pleins ébats.Et ce n'est pas de l'érotisme!La violence à la fin du film est telle que certaines personnes sortaient de la salle ne pouvant supporter de telles images. Sans le dénouement, j'aurais sûrement haï ce film car il n'y avait rien de bon, et semblait plutôt dé-servir la communauté homosexuelle en la qualifiant de violente et sans cœur (le film étant dénué d'amour). Néanmoins la fin montre François observant un couple gay attablé, discutant. Ce long plan séquence est une sorte d'appel à assumer son homosexualité, et a ne pas la refouler comme François car celle-ci amène a une certaine violence (physique ou intérieur). Le dernier plan du film, un parking en spirale montre bien l'état d'esprit de François qui, refoulant son homosexualité tourne en rond.A voir.
Captain fantastic
Film très lent et assez spécial mais très dur et choquant !! Certaines scènes sont hyper crues et même s'il ne se passe pas grand chose on se prend à vouloir suivre jusqu'au bout !! La scène finale est très éprouvante !! A voir une fois mais pour public averti !
Francoise C.
super le plan fixe dans la chambre d'hôtel du mec qui vide sa valise et qui dure, et qui dure......Mais qui ça intéresse??????La scène des mecs ensemble est inutile (on dirait une bande 'ahahaha) annonce d'un simili film de Q.....quand à la scène du viol de Christian: no comment! présenté à Cannes dans la section: un certain regard! celui des voyeurs, oui! Quand au jeu de Deon Lotz, aussi expressif qu'un poisson rouge dans un bocal.....presque sa valise joue mieux que lui!!Quand à l'Afrique du sud, on en voit pas la couleur (ahahaha!) ça aurait pu être tourné n'importe où et je ne comprends pas le concept des pseudos intellectuels de porter aux nues ce somnifère comme dirait Brago88.....
Jeremy Jakubowicz
Existe t il en dvd ? Je ne le trouve nul par ... La bande annonce m'a vraiment donné envie de le voir.
cinephilu
Une idée mais un ratage au niveau de la réalisation pataude et une prise de vues cata, dommage... manque total de finesse, destiné à un public de films américains où chaque élément est martelé trois fois histoire d'être certain que le spectateur a bien compris le message!
Christopher Ramon?
En même temps il n'a pas tort ;) C'est un film ennuyeux et qui paraissait pourtant génial sur le papier. Pas de concrétisation au final...
Ma critique complète :
fredio1
Quel commentaire inutile .... ! Moi je n'ai pas vu le film, je ne sais pas si je le verrai mais la bande annonce donne envie par ses non-dits, l'histoire originale et troublante, le jeu des acteurs qui semblent juste.