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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Dans un camp de réfugiés palestiniens en Cisjordanie, Chloé, jeune sage femme québécoise accompagne les femmes enceintes. Entre les check points et le mur de séparation, Chloé rencontre la guerre et ceux qui la portent de chaque côté : Rand, une patiente avec qui elle va rapidement se lier d'amitié et Ava, jeune militaire, voisine de palier en Israël. A leur contact, Chloé va progressivement remettre ses repères en question. Certains voyages font voler en éclats toutes certitudes. Pour Chloé, Inch'Allah est de ces voyages-là.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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1 657 abonnés
Lire ses 3 867 critiques
2,5
Publiée le 4 avril 2013
La québécoise Anaïs Barbeau-Lavalette est à l'origine une documentariste réputée dont la connaissance de la question palestinienne lui donne toute légitimité pour aborder le sujet, malgré sa grande complexité, fut-ce dans le cadre d'une fiction. L'héroïne d'Inch'Allah est entre deux, témoin d'une guerre qui n'est pas la sienne. Certes, la neutralité ne peut réellement exister, la réalisatrice le montre sans équivoque. Cependant, ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 21 avril 2013
A VOIR ABSOLUMENT !!!!! c'est incroyable qu'aujourd'hui encore on puisse maltraiter une communautée, au regard de tous. L'argent fait malheureusement taire, ce film est une des œuvres qui permettent de comprendre une des réalités de ce monde. Très émouvant.
velocio
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668 abonnés
Lire ses 2 572 critiques
2,5
Publiée le 10 avril 2013
Comment se situer par rapport à un sujet fort et une réalisation qui ne vous convient pas ? Très bien, cette histoire de Chloé, une jeune canadienne qui travaille comme sage femme dans un dispensaire des Nations Unies d'un camp de réfugiés palestiniens mais qui loge de l'autre côté, en Israël. Elle a tissé des liens avec une famille palestinienne, elle a pour voisine une jeune militaire israélienne qui travaille dans un check-point. ...
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ARIF ERMURATOGLU
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5 abonnés
Lire ses 42 critiques
0,5
Publiée le 10 avril 2013
Dommage. Le sujet était fort mais la réalisation est nulle. Le film est ennuyeux au possible (je l'ai heureusement regardé en vidéo, donc j'ai pu visionner en accéléré les nombreux passages tirés en longueur...). A signaler par ailleurs l'inexpressivité totale de l'actrice principale Evelyne Brochu. Grosse déception donc.
Inch'Allah est le deuxième long métrage d'Anaïs Barbeau-Lavalette, après Le Ring en 2007, récompensé notamment aux festivals de Taïpeï, Madrid ou Vladivostok et sélectionné à la Berlinale. Globe-trotteuse avertie, elle a également réalisé des courts métrages et documentaires relatant ses nombreux voyages dans le monde.
La Palestine au cœur
Anaïs Barbeau-Lavalette a une relation très fusionnelle avec la Palestine, un territoire qu'elle a découvert lors d'un précédent tournage pour un documentaire : "J’ai eu comme un appel, un réel coup de foudre, avec tout ce que ça peut avoir d’ambigu", se remémore la réalisatrice, en poursuivant : "Un mélange d’amour/haine, de fascination et de confrontation. J’ai décidé d’y retourner pour une plus longue période. J’y ai étudié la politique et l’a
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De guerre lasse
Anaïs Barbeau-Lavalette s'intéresse aux conséquences que peut avoir une guerre sur une personne étrangère et a priori non concernée par le conflit : "À quel point un conflit qui ne nous appartient pas peut-il devenir le nôtre ? Au fur et à mesure, Chloé est avalée par la guerre. Elle ne peut pas rester simple témoin. C’est ce que j’avais envie d’exprimer", raconte la réalisatrice. "Dans un tel contexte, nos barrières de protection tombent. Nous n
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Ils auraient put au moins écrire le nom du film correctement! Fallait au moins se renseigner... On écrit In chaa Allâh et pas Inch'Allah.. oui c'est grave car ça change tout le sens et c'est carrément un blasphème envers Dieu ce que veut dire le titre au point où j'ai mm pas envie de le dire...