Tower Block

3/5 pour ma part pour l'originalité du scénario et la certaine tension tout le long. Ne sont pas au rendez-vous : l'émotion, la panique attendue (attitudes) et les prestations. On excusera les incohérences utiles pour le film. Reste la créativité à saluer.

Bon petit thriller à huis clos meme si la fin me laisse un peu sur ma faim. 3/5

Si on laisse de coté les quelques incohérences vis à vis du sniper, ce film est bon. Le réalisateur arrive à nous surprendre, à nous transmettre l'angoisse des habitants. L'histoire est original. Seul hic, l'alibi du tueur qui selon moi n'est pas du tout crédible. 2,5/5

2/5 ce huis clos au tout petit budget sans prétention arrive malgré tout à être un minimum interessant et prenant !! même si on peut douter de la rapidité, de la précision du sniper !! c'est un peu gros quand même

Un huit clos qui change !J'aime beaucoup l'effet de surprise car le résumé ne résume rien.Le stress est là, la tension aussi.J'aime.

Ca aurait franchement être un bon film car au final l'idée est pas mal, mais franchement les dialogues et le scénar sont à chier !!! Les incohérences sont légions ... Spoiler : Le sniper qui arrive à tuer les gens en une fraction de seconde mais oui biensur !! A quadriller des appart' à 360° à lui seul balaise le mec ! bref plein d'incohérence de ce genre ce qui rend le film inintéressant car pas crédible 3 secondes. 1/5

Un film super-nul, sombre... (quasi dans le noir), une bête wonder woman, qui essaie de casser des gros cons comme en en fait de plus en plus à notre époque de débile et pas besoin de faire les beaux-arts pour ces rôles-là, un scénario aussi débile, enfin il ne reste rien, oh si pousser sur stop et vous gagnerez du temps. = Je note 0,5 sur 5, soit rien.

Assez bon suspense si on fait l'impasse sur toutes les incohérences qui jalonnent le film.Se laisse voir et puis s'oublie.

Tower Block n'est pas tres surprenant et prend une bonne vingtaine de minutes pour l introduction Le scenario est également un problème, les différents moyens par lesquels les habitants sont pris au piège sont à la fois involontairement drôle et ridiculement peu convaincante, alors que la discussion du motif devrait être inhérente à une telle situation. Les personnages agissent souvent avec stupidité , et ce qui rend difficile de s'investir dans ce qui se passe, notamment, une femme qui a déjà été tiré retourne dans sa chambre pour prendre son bébé, et, bien sûr, abattu et tués. Le dernier tiers devient un peu plus intéressant quand les personnages arrivent à une décision stratégique qu' ils auraient dû prendre il ya des heures et qui aurait probablement sauvé beaucoup plus de vies, mais la révélation paroxystique ultérieure de l'antagoniste avec leurs motifs se sent incroyablement absurde forcé et borderline. Ce qui avec le caractère antisocial , Kurtis (Jack O'Connell), prouvant à la fois que le caractère plus drôle est le plus héroïque, la franchise fade du script fonctionne contre son admirable effort à donner au film une certaine saveur bien nécessaire. La prémisse intéressante est compromise à chaque sequence par des personnages stupides et écrasants d'artifice.

Balaise le tireur qui détecte et tire dés qu'un oreiller bouge, il est aux aguets à chaques mouvements.Et pour le reste difficile de s'intéresser à des personnages justement inintéressants, tans pis s'ils se prennent un balle puisqu'on s'en fout !Rien qu'un truc par exemple : y'a un branleur de D'Jeuns qui rackette les locataires, le style qui pullule en Angleterre, et bien la fille ne trouve rien d'autre que de faire du porte à porte pour voir si ce connard se porte bien, vous auriez fait pareil, n'est-ce pas ?Généralement j'adore le cinéma British mais là j'ai coupé aprés 30 Mn...

Belle surprise que ce film de "couloir" qui partant d'une seule et unique idée (donc un film de scénariste à la Larry Cohen), tient parfaitement la route jusqu'au bout. Pas prétentieux mais pas une seconde d'ennui non plus.

Une cité condamnée à l'implosion, reste les locataires du dernier étage. Un meurtre est commis sous leur porte, derriére leur oeil de boeuf. Trois mois plus tard, la cité est bloquée et les locataires restants sont assassinés par un sniper invisible. Rien à voir avec la horde, ou le raid, même si l'immeuble reste un personnage à part entiére (pas de zombie tout pourris, ni de baston au marteau). Ici la critique est frontalement sociale, la barre d'immeuble comme métaphore de son propre repli. Vivons heureux, vivons caché, vivons lâche, vivons tout court... On pense à Assault pour le tireur invisible, la menace est "ubuesque"... sinon c'est un petit film, je crois sans prétention...

lol, la photo de Jack O'Connell.

"Une trame simpliste (...) une multitude de rebondissements (...) un petit thriller sans prétention.." ★★★☆ .sc/WPJcXn