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Synopsis
Dans la cour d’école d’un paisible village japonais, quatre fillettes sont témoins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se souvenir de l’assassin. Asako, la mère d’Emili, désespérée de savoir le coupable en liberté, convie les quatre enfants chez elle pour les mettre en garde : si elles ne se rappellent pas du visage du tueur, elles devront faire pénitence toute leur vie. Quinze ans après, que sont-elles devenues ? Sae et Maki veulent se souvenir.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Très beau et tout en finesse, le réalisateur qui m était a ce jour inconnu signe une œuvre poétique possédant une grande force d attraction et qui en dépit d une certaine lenteur pas nécessairement gênante parvient à nous garder sur nos sièges. Très bon scénario malsain sans pour autant dépasser la ligne de la grande violence, le réal parvient a nous emporter deux heures durant dans son univers étrange mais extrêmement intéressant.
lhomme-grenouille
2 796 abonnés
3 170 critiques
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1,0
Publiée le 8 juin 2013
Bon... Je pense pouvoir dire sans trop me tromper que les dialogues et la direction d’acteur de ce film sont surement les plus mauvais que j’ai vu cette année. Plus téléguidés et rigides que ça, tu meurs. Ça peut paraître con de commencer une critique comme ça, mais à mes yeux, c’est vraiment l’élément fondamental qui m’a fait prendre ce film pour un petit bousin. Jamais je n’ai pu me mettre dedans. Certes, il y a une jolie ...
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Robin M
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283 critiques
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3,5
Publiée le 28 mai 2013
Projeté lors du 15e Festival de Deauville
Le documentariste français Oliver Meyrou ironisait sur la place de la télévision dans l’art en disant « Le cinéma est un art, la télévision est un meuble ». Il met alors en place une frontière nette entre les deux supports oubliant les passerelles qui les lient : les Séries. Les réalisateurs sont de plus en plus nombreux à tenter l’aventure télévisuelle comme Scorsese (Broadwalk ...
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tixou0
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1 953 critiques
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3,5
Publiée le 12 juin 2013
Ce "Pénitence" ("Shokuzai) est dans cette 1ère partie (2 h) très "japonais". Je veux dire par là que le contexte, les caractères, les postures, la morale.... tout est déconcertant pour le non-nippon (surtout occidental). Cela étant, ce drame par tableaux (ici, un prologue et deux histoires) a tout d'un drame à l'antique, même si les obsessions et codes traditionnels sont bien celles de certains Japonais, et ceux qui perdurent dans le ...
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Shokuzai est l'adaptation d'un best-seller écrit par la romancière Minato Kanae, ce qui a constitué un véritable défi pour le réalisateur Kiyoshi Kurosawa, qui a dû apprendre à composer avec une histoire déjà écrite : "J’ai surtout découvert, avec une certaine appréhension, le devoir de fidélité au contenu du best-seller que j’adaptais. Je n’étais pas sûr de savoir ni d’aimer le faire", explique-t-il, en poursuivant : "Il s’avère qu’autant en ter
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Rôles à contre-emploi
Les cinq comédiennes héroïnes de Shokuzai sont toutes très populaires au Japon grâce à leurs rôles dans des films ou séries télévisées ; quant à Kyôko Koizumi, elle est une chanteuse pop extrêmement médiatisée depuis son enfance. Kiyoshi Kurosawa leur a offert des rôles à contre-emploi qui pouvaient surprendre les fans : "Toutes ont été très enthousiastes à cette proposition. Peut-être parce que ces rôles leur permettaient de dépasser une frustra
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Question de titre
Shokuzai signifiant "pénitence" en japonais, Kiyoshi Kurosawa aurait volontiers changé de titre s'il en avait eu la possibilité. Il confie : "Ce titre original m’a en quelque sorte été imposé, puisque c’est celui du roman. Mais je ne l’ai pas du tout interprété sous l’angle de la religion. Plutôt comme quelque chose qui a effectivement à voir avec l’idée de destin". Le réalisateur avait en tête un autre titre, plus évocateur du sentiment de ses h
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Entre étude de mœurs et thriller ce film inégal (la première partie est très supérieure à la seconde) réussi à toucher malgré quelques longueurs.Une réussite. 3.5/5
Szerelem
Et puis dans le premier épisode, on découvre l'univers et les personnages, il est objet de curiosité! alors que le deuxième est long, long, long... :(
Szerelem
sur ARTE? je l'ai vu en VOSTFR :O
L'Otaku Sensei
ma critique du premier film de Shokuzai "Celles qui voulaient se souvenir" :http://www.allocine.fr/membre-...
L'Otaku Sensei
personnellement j'ai été un peu déçu que ce soit en VF mais ça ne m'a pas gâché le film pour autant, ça a été une chouette découverte :)
cad2507
je l'ai malheureusement vu en VF : les voix des gamines sont insupportables...
L'Otaku Sensei
c'est vrai, le premier épisode, c'est un peu long mais on n'a pas le temps de s'ennuyer par contre dans le 2è il y a des moment ou c'est très très long.
Szerelem
Assez d'accord avec les commentaires du dessous. La qualité de la réalisation est incontestable, la mise en scène est tranchante et implacable, la photographie magnifique. Les interprètes sont impeccables. Ce premier volet contient des longueurs, mais rien de bien méchant comparé à l'épisode deux, interminable!
L'Otaku Sensei
Assez bon film dramatique avec un peu de trhiller, l'intrigue est bien menée et les mystères de plus en plus nombreux viennent compléter l'histoire, on arrive bien a entrer dans la psychologie des personnages et le film arrive parfois à être un peu stressant, l'ambiance est un peu glauque quelque fois. Par contre y a pas mal de moments longs, trop longs du coup ça crée des temps mort. Les deux épisodes ensemble= 3/5
tedsifflera3fois
Présenté sous la forme d’une mini-série de 5 épisodes au Japon, Shokuzai a été découpé en deux films pour l’exploitation en salles. Dommage car le premier opus semble bien incomplet, et la coupe ne fait pas vraiment sens. Les 2 histoires qui nous sont présentées ici, orphelines des 3 suivantes, arrivent à nous captiver par moments, sans pour autant nous convaincre vraiment. Ma critique en googlant : "Shokuzai celles qui voulaient se souvenir Ted sifflera 3 fois".
brouceli
Rien à dire sur les acteurs ou l'esthétique soignée du film. Cette première partie peut convaincre, même si déjà le manque de profondeur, de cohérence et de sens est patent. Cela dit, je me suis pas mal ennuyé. C'est très lent, mais le pire c'est que la lenteur ne me dérange habituellement pas, pourvu que le film soit vraiment intelligent. Ici, on a l'impression que ce cinéma est dans la posture, qu'au fond c'est creux. La deuxième partie vient valider cette impression. Dans celle-ci, la pauvreté de l'écriture, et l'absurdité du dénouement qui n'en finit pas, est assez affligeant, et l'on a de quoi s'interroger sur la pénétration d'esprit de nos critiques qui ne tarissent pas d'éloges pour ce très mauvais film. Je veux bien que le cinéma soit aussi affaire d'humeur, de subjectivité, mais quand c'est mal écrit, c'est mal écrit. Comment nos critiques ne le voient-elles pas ? Désolant...
Crooner
Sauf que ça n'a pas été pensé comme un film mais comme une série de cinq épisodes, et heureusement vu la longueur du truc. Le format cinéma n'est là que pour permettre une exploitation à l'étranger, ce qu'une série n'aurait jamais pu avoir.
Blaste
"Je ne sais pas si les deux parties à la suite ne seraient pas un peu indigeste." : je peux te dire, je viens de voir les 2 l'un à la suite de l'autre, le cinéma de ma ville offrant cette possibilité dans sa grille horaire. après ça dépend de la conception qu'on a de l'art : pour moi ça n'aurait pas fait sens de voir les 2 avec plusieurs heures de décalage, à partir du moment où c'est pensé comme un seul film, que le découpage est, c'est vulgairement visible, arbitraire (le titre du 2d film qui apparaît comme ça sur l'image sans aucune justification ?!? complique pas...) et n'est fait que pour plaire à nous autres petits crétins occidentaux qui ne supportons pas un petit film de plus de 4h20... sinon, je sais pas trop quoi penser de ce film : d'un côté, la "philosophie" japonaise (qui fait la lenteur, la relative absurdité des comportements, etc.) m'emporte tellement que je n'arrive pas à avoir un avis tranché et arrêté sur le film. quand même, au final, je trouve que c'est un ensemble à la complémentarité assez hallucinante, chaque "épisode" rattrapant les défauts de l'autre. si je reste un peu déçu par l'extrême classicisme du projet (le chapitrage non chronologique à la Kill Bill, la mise en scène belle mais un peu gratuite, l'histoire un peu plate...), ça m'a aussi rappelé l'excellent souvenir de la série papier et animée Monster. à la fin de ce 1e film, je me suis surpris à penser que j'avais hâte de voir la suite : pour moi c'est le genre de film qui, sous des airs un peu innocents et gentillets de feuilleton qui se laisse aimablement regarder, vous saisit avec une poigne non-négligeable. après, y a des bémols : le manque de point de vue sur ce qui se passe ne permet pas vraiment, à mon sens, de réaliser une œuvre aussi longue, j'ai toujours trouvé que c'était un peu de contresens de prétendre pouvoir montrer sans dire... le reste est plutôt sympathique (les décors, le montage, les lumières...), encore une fois ça se laisse regarder, mais rien de foncièrement original ni transcendant.
Anna undefined.
La première partie est magnifique, très impressionnant portrait de la société japonaise. C'est une immersion incroyable, j'ai vraiment très envie de voir la suite.Par ailleurs, Shokuzai ne veut pas dire "Pénitence", mais expiation.
alastor78
Je ne sais pas si les deux parties à la suite ne seraient pas un peu indigeste. Je sais que je ne me serais pas enchainer les cinqs épisodes d'un coup si je l'avais vu en série. Ceci étant dit Cette première partie est plutôt réussi. Mise à part les dialogues parfois un peu trop lourd ou trop didactique (notamment dans le second chapitre) les histoires sont intriguantes et on sent l'influence des films de genre, auquel Kurosawa a beaucoup touché, dans ce film. Sa capacité à changer brusquement de registre parfois par de simple modification dans l'éclairage ou dans les cadrages pour faire basculer son récit dans l'horreur ou, au contraire, dans le comique (ou en tout cas dans l'absurde) est fascinante.
SarahConnor ?
Oh quelle chance, je vois que certains ont pû visionner les deux parties à la suite ! Pas encore vu pour ma part, mais certainement dans les jours prochains ! Je tenterai les deux films dans la même journée. Vivement !@ Pardon, mais quelqu'un pourrait-il me dire ce que signifie Shokuzai ? Merci d'avance.P.S. : bon, j'ai trouvé. Apparemment, ça signifie : "pénitence". Evidemment...
sophie1234
Grave moi aussi, pas le temps d'attendre mercredi prochain !!!!!!!!!!!!
tireparlescheveux
Vivement la suite !J'irais au Mk2 beaubourg dès samedi soir où ya une avant-première;
Samsha4
A force que tout le monde en parle, je vais aller le voir, c'est devenu LE film du moment, c'est dingue.
DROOPY SPEEDY
Enorme .... c'était une avp surprise à Pessac, je ne m'attendais pas du tout à ce qu'ils aient choisi SHOKUZAI !!! On a pu voir les 2 films en une soirée, la salle était bourrée à craquer ! A la fin du premier volet, tout le monde etait scotché, on s'est tous précipités à nouveau sur notre siège pour voir la suite !