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    Drug War
    Bande-annonce Drug War
    18 juin 2014 en DVD | 1h 51min | Policier, Thriller
    De Johnnie To
    |
    Par Wai Ka-Fai, Nai-Hoi Yau
    Avec Louis Koo, Honglei Sun, Yi Huang
    Titre original Du zhan
    Presse
    3,5 2 critiques
    Spectateurs
    3,3 220 notes, 31 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    Lors d’une enquête, le capitaine de la brigade anti-drogue de Tianjin met sous les verrous un homme accusé d’être à la tête d’une importante fabrique de stupéfiants. Afin d’éviter la peine de mort, ce dernier apporte son aide à la police pour éradiquer le trafic et faire tomber le chef du réseau. Mais alors qu’un raid est lancé, le capitaine et sa brigade se retrouvent pris dans une spirale de violence que rien ne semble pouvoir arrêter... Grand Prix du Festival International du Film Policier de Beaune, la nouvelle production de Johnnie To surpasse ses précédentes réalisations grâce à l’excellence de la mise en scène et à un récit riche en rebondissements, le tout servi par une distribution sans faille portée par Louis Koo dans son meilleur rôle à ce jour.

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    En VOD / Blu-Ray, DVD
    Cinemasalademande
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    Drug War Bande-annonce VO 2:04
    Drug War Bande-annonce VO
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    Drug War Bande-annonce VF 2:04
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    lundi 12 novembre 2012

    Acteurs et actrices

    Louis Koo
    Rôle : Tian Ming
    Honglei Sun
    Rôle : Zhang Lei

    Critique Presse

    • Libération
    • Positif

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    290 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2014
    Johnnie To est définitivement un maître en matière de polars/thrillers, sa carrière en témoigne : "The Big Heat", "Lifeline", "Where a Good Man Goes", "Running Out of Time 1&2", "A Hero Never Dies", "The Mission", "Exilé", "Sparrow", "Fulltime Killer", "PTU 1&2", "Breaking News", "La Vie Sans Principe", Triangle, "Election 1&2". Il n’est donc pas étonnant de voir que son dernier film demeure toujours dans son domaine de ...
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    Truman.
    Truman.

    201 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2013
    Drug War semble au premier coup d'oeil un énième film sur la mafia et le trafic de drogue le tout a la sauce asiatique, alors oui le scénario n'est pas super original, ça a deja été vu beaucoup de fois surtout dans le cinéma Asiatique mais pourtant comme pour "New World" c'est une excellente surprise . Un trafiquant de drogue va se faire choper par les flics et pour éviter la peine de mort il va négocier avec eux pour faire tomber les ...
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    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    141 abonnés 2 722 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2021
    Le maître métronome Johnny To reprend du service. L'orchestration est somptueuse autant visuelle que sonore. Sobre, contrôlé, judicieux, équilibré.
    NeoLain
    NeoLain

    4 111 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2014
    Johnnie To l'infatigable, Drug War est un énième film policier/thriller du réal et pourtant il à toujours une ressource incroyable de mettre en scène une histoire captivante. Autre point fort, il tourne cette fois le tout en chine, alors que d'habitude son terrain est Hong-Kong. A ne pas rater donc, vous y verrez également une grande scène parmi tant d'autre comme celle avec de nombreux bateaux dans un port qui partent tous en même temps. ...
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    Photos

    Infos techniques

    Nationalités Chine, Hong-Kong
    Distributeur -
    Récompenses 1 prix et 1 nomination
    Année de production 2012
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray 18/06/2014
    Date de sortie VOD 27/04/2016
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage -
    Budget 100 000 000 CNY
    Langues Mandarin
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa -

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    Commentaires

    • Bronson 29
      Bon film policier même s'il n'y a aucune surprise dans le scénario Les acteurs et les scènes d'action sont excellents
    • gregbutton
      Un bon film du genre, qui change un peu, de par son environnement, les deux acteurs principaux sont trés trés bons. Point de longueur ni de mollesse mais des scènes qui montent bien en intensité.
    • Djack le Flemmard
      La virtuosité de Johnnie To et l’interprétation exemplaire de ses deux acteurs ne comble pas la longueur et la mollesse de l’ensemble. NOTE : 2,5/5http://lecinedesflemmards.word...
    • mulder67
      mauvais
    • Jean-philippe N.
      Bien entendu je comprends ton avis mais pour avoir rencontré des gens qui prenait leurs pensées fumeuses pour des idées géniales et pour aimer le ciné pour son côté hédonistement plaisant, il y a des barrières que je n'arrive pas à franchir. Ou que je ne souhaite pas dépasser. question de limites. De par mes origines paysannes quoique incertaines, j'ai tjrs cru qu'il fallait de la terre, des graines et de l'eau pour que "çà pousse". Si il manque un ingrédient, çà foire. Un film nécessite un scénario crédible, des acteurs convaincants et une mise en scène correcte pour être réussi. Je n'ai pas vocation à faire avancer le "schimilibili". J'avoue être incapable de double vue et de repérer certaines formes de talents supposés. Apprendre en s'amusant, oui. Souffrir pour apprendre, non. Tu m'étonnes de ne pas avoir fait d'études! lol. Il y a donc des films qui me sont définitivement et irrémédiablement hermétiques. Ma seule excuse est que j'en suis conscient. Et puis bon: le ridicule ne tue pas!-Trois blockbusters qui m'ont bien amusés: le 1er est chinois "Saving general Yang" (2013) un wu-xia pian genre "300" en plus drôle (c'est pas dur!) le 2ème "Defender" (2013) sorte de Superman indien. On est bien loin de la poésie et de la finesse de "The lunchbox" mais avec un p'tit coup dans le nez (liquide, poudreux ou fumeux au choix) c'est hilarant. Difficile de faire plus kitch, pourtant une spécialité indienne. Enfin, le turc "Canakkale Yolun Sonu" (2013) le version nationaliste de la bataille des Dardanelles. On ne leur en voudra pas trop, après tout c'est eux qui ont gagnés. A mon sens, historiquement meilleur que le "Gallipoli" (1981) de Peter Weir (encore lui) avec Mel Gibson encore tout minot. Malgré tout, en cette année commémorative du centenaire de la WW1, les deux sont à voir. -Ah! Les western! Vaste sujet puisqu'on trouve ceux de pur divertissement le plus souvent récents (donc d'un intérêt forcément limité) et ceux à messages, fatalement, anciens. En vrac, Dieu reconnaitra les siens, "3h10 pour Yuma" (2007) le remake avec Russell Crowe, "Seraphim falls" (2006) avec P. Brosnan et L. Neeson, "Appaloosa" (2008) "Sherif Jackson" (2013) les 2 avec Ed Harris, "Little big man" (1970) avec D. Hoffman, "For greater glory" (Christiada") (2012) avec A. Garcia, le satirique "La blonde et le sherif" (1958) de Raoul Walsh, "Johnny Guitar" (1953) de Nicholas Ray (1er western féministe, culte pour les goudous) "hombre" (1967) de Martin Ritt (perso, culte) "True grit" (1969) de henry Hathaway (à préférer au remake des frères Coen) et mon préféré parmi tous "The outlaw Josey Wales" (1976) de et avec Clint Eastwood, presque un catalogue des thèmes du genre. J'en ai d'autres, mais commence par digérer ceux là...
    • michmonde
      J'ai bien vu ce que tu penses de "Under the skin", aussi, s'il n'est pas essentiel d'en discuter, je peux peut-être me permettre d'émettre quelques pensées car je ne suis pas spécialement contre ce que tu en dis sans, toutefois, en être vraiment d'accord, tu t'en doutes.Tu sais que je ne suis pas non plus contre cette frange de films réservés à un certains public que l'on dit "expérimentaux", ou "élitistes" bien que le second terme soit inadapté car ça n'est pas parce que l'on emploie des expressions complexes voire malsaines (la grandeur ne résiderait-elle que dans le positif?) qu'il y a là une volonté absolue de se rendre hermétique dans le but d'être considéré comme un génie obscur.Je pense que certains artistes ont un besoin viscéral de se démarquer de l'académisme ou du consensuel pour retrouver une certaine cohésion avec leur être profond et qu'ils savent très bien que leur manière de rendre les choses ne sera pas comprise ou appréciée par le plus grand nombre.J'ai toujours eu une pointe d'admiration pour ceux qui osaient une démarche profonde dictée par leur intériorité car eux seuls font évoluer les arts et les sentiments qu'ils suscitent en apportant du renouveau aux règles établies ou en s'en démarquant.Ils sont d'ailleurs les premiers à pâtir (matériellement et/ou psychologiquement) de l'impopularité de leur démarche, si elle est totale, avant qu'elle ne soit admise comme révolutionnaire et ce, souvent, bien injustement après leur trépas.Il n'y a qu'a voir le nombre d'artistes considérés aujourd'hui comme des génies ayant été conspués de leur vivant par tous les bien-pensants de leur époque refusant l'universalité aux expressions personnelles.Un éminent critique avait écris sur "Les demoiselles d'Avignon" que Picasso finirait pendu derrière son tableau tant il jugeait son entreprise audacieuse. Que l'on aime ou pas le rendu de sa démarche n'empêche pas le fait qu'elle ait révolutionné l'art pictural, ait inspiré des tas d'autres peintres et créé un courant qui apparait aujourd'hui tout à fait essentiel puisque nombre de graphistes modernes s'en inspirent encore.J'en conviens, cela a peu à voir avec le film de Jonathan Glazer qui ne m'a pas semblé transpirer le génie révolutionnaire mais qui est inspiré par la discipline dite "expérimentale"(terme qui fait se gausser certains) et qui a comme but de privilégier la forme plus que le fond pour tenter de faire naitre des sensations, sinon nouvelles, du moins particulières que chacun est libre de ressentir à sa manière. Trouver cela ennuyeux et/ou décevant est légitime mais, pour ma part, je préfère m'abstenir de dire trop de bien ou de mal sur ce genre de film pour ne pas sombrer dans des analyses de parti-pris.Mes bonnes ondes à l'égard de "Under the Skin" ne concernent que moi mais je ne peux être d'accord avec ceux qui le juge vide de sens car ils opposent, peut-être, les œuvres intimistes à l'opacité volontaire mais réfléchie avec celles explicites, faites pour un plus large public et, pour ma part, si je n'ai pas spécialement de préférence pour les unes au détriment des autres, j'essaie seulement de trouver des explications aux choses qui m'échappe, lorsque je pense qu'elles en sont digne, en partant du principe que tout a une explication.Son point le plus discutable étant, effectivement, le choix d'une actrice œuvrant habituellement dans le cinéma populaire mais alors, qu'est ce que ça aurait été avec Megan Fox également pressentie pour le rôle...(?)Scarlett Johansson a, elle au moins, un peu de talent...Enfin... on peut être client ou pas de certains styles mais comment imaginer qu'un réalisateur puisse penser : "tiens, je vais faire un film creux et ennuyeux rien que pour me faire déchiqueter par la critique et faire chier les gens..."Bref, j'espère que tu considèreras tout cela comme un simple point de vue et non pas comme une tentative de t'influencer en quoi que ce soit sur... quoi que ce soit car j'ai toujours trouvé légitime tes déceptions ou détestations argumentées, de plus, de belle manière et tu sais, j'espère, que je pense de toi que tu as une capacité d'analyse très élevée et que, donc, nos différents ne relèvent, en fait, que de nos tendances, de temps à autres, à chercher des raisons d'excuser des démarches ou des figures de styles douteuses, donc, sur des questions d'affinités difficilement transmissibles...Pour ce qui est de l'unanime, j'ai regardé quelque films que tu m'avais conseillé, ces temps-ci à commencer par "Tracks" que l'on ne peut qu'aimer pour ce formidable exemple de la pugnacité de cette femme à réaliser un désir que la plupart estimait insensé ou suicidaire et, dans la forme, en plus des belles rencontres et de l'aventure en elle même, ces superbes images de l'immensité australienne et la prestation de la renversante Mia Wakowska, que je n'avais plus vu depuis... "Alice au pays des merveilles"... oui, bon...Entre deux, je suis tombé sur un film turc "The Impeccables", peut-être un peu mou mais que j'ai beaucoup aimé pour la relation tour à tour fusionnelle et antagoniste de deux sœurs dans une station balnéaire fleurant bon les vacances estivales, ce qui m'a fait penser à "The Lunchbox", par association d'idée exotique puisqu'il se déroule en Inde (même s'il est indo-franco-allemand, rien que ça), et, là encore, très belle histoire dont on ne peut qu'être ému ainsi que celle de "Philomena" encore plus émouvante, traitée de belle façon, à la fois triste et drôle et qui permet de prendre connaissance d'un fait réel assez révoltant.En attendant de voir principalement "Les chemins de la liberté" qui me tente également beaucoup et d'autres toujours en attente... ce qui fait que, d'ici peu, il n'est pas impossible que je te demande de m'en conseiller d'autres, notamment dans le western que nous n'avons guère abordé car il me semble t'avoir dis que je n'en étais guère adepte, mais je ne peux passer à coté des chef-d'œuvres du genre qui m'auraient échappé."Le jardin du diable" vu récemment, ne m'a pas déplu pour les images et le tandem Cooper/Widmarck que j'ai beaucoup apprécié dans l'excellent film noir "Les forbans de la nuit", qui doit être le rôle de sa vie, après avoir été rendu populaire trois ans plus tôt avec le pas trop mal "Carrefour de la mort" dans un rôle de jeune brigand cynique.Quand aux films asiatiques que tu as cités dernièrement, j'ai bien tenté "The sword identity" mais il ne m'a pas plus branché que ça, hélas... les bruitages, il est vrai : carrément too much.Par contre, je ne sais pas si cela vaut la peine que je t'en parle mais "Cold Fish" de Sion Sono m'a mis une sacrée claque ! J'ai écris un com' sur sa page qui devrait plus te dissuader définitivement d'en faire l'expérience que de t'y inciter mais conseiller ce style de film est délicat pour les non adeptes d'un cinéma versant dans l'horreur. Même "Strange Circus" peut paraître soft, en comparaison.Sion Sono est résolument mon meilleur réalisateur japonais dans le domaine de l'outrance mais je ne peux forcer la main qu'a très peu de gens pour qu'ils y viennent. Une explication de ces débordements peut se trouver dans le fait que le cinéma fut durement touché par la récession économique au Japon et que les producteurs cherchaient alors des cinéastes capables de faire revenir le public dans les salles avec des films enfreignant les règles de bienséances habituelles. on pourrait alors considérer que c'est un peu flouer une certaine conception de l'art que de chercher à choquer pour faire de l'argent mais bon, personnellement, le résultat me convient...Bien, j'espère que ton prochain com' ne sera pas censuré, ce qui est quand même assez bizarre car tu n'as pas pu être aussi virulent que ne l'ont été certains autres dont les critiques acerbes ou vénéneuses résident encore sur la page de "Under the Skin" presque comme une incitation à la haine voire au meurtre de Jonathan Glazer pour avoir osé faire un film qui les a ennuyé...
    • Jean-philippe N.
      En revenant par hasard sur cette page, je constate que mon com a été censuré et a donc disparu. Mes réflexions peu amènes sur "Under the skin" et surtout sur Scarlett Johanson en sont elles la raison? peu importe. Pour résumer, je disais que j'étais d'accord avec toi sur le reste de ton com, je te suggérais deux films qui m'ont bien plu: l'australien "Tracks" (2013) avec la sublime Mia Wakowska et "The way back" (2010) (super casting dont la diaphane Saoirse Ronan) le dernier Peter Weir lui aussi assez poignant. Depuis j'ai aussi regardé le Sud-Coréen "Shadowless sword" (2005) un quasi nanard et "The sword identity" (2011) qui lui m'a impressionné pour deux raisons: pas l'histoire qui est aussi quelconque que bon nombre de wu-xia pian, mais le grand esthétisme de la photo, le super cadrage, bref une image sublime proche des meilleurs films japonais du genre et la BO dont la richesse des bruitages (certes parfois à la limite du ridicule) est quasi hallucinante. Pour un 1er film d'un réal de chine populaire, ce film est à découvrir. J'arrête là pour l'instant, de peur d'être de nouveau atteint par le code Hayes de la pensée unique...
    • michmonde
      Oui, déjà, je suis d'accord avec ton quota et puis je pense que tous les "cinéphages" se blasent d'un certain type de films qui, au départ, faisaient leur bonheur. Heureusement que dans le lot des divertissements de tout type, on trouve, ne serait-ce qu'une fois par mois, une œuvre qui réveille plus ou moins notre enthousiasme. Après, je ne sais pas si on se blase vraiment de tout, je préfère penser que la motivation est cyclique et ce, dans tous les domaines, mais si je commence à donner des exemples, je vais encore m'enfoncer dans des analyses interminables qui n'auront, au final, plus rien à voir avec le sujet Drug War/ ciné asiatique qui nous concerne principalement ici.Bref, je ne sais pas si tu as vu mais Jivago a enfin fini par voir "Love Exposure" et, à ce qu'il en dit, j'ai bien fait d'insister. Vraiment dommage qu'il te soit inaccessible car voilà un film asiatique qui n'aurait pas manqué de t'impressionner, sinon par l'histoire, du moins par sa conception. Je sais que j'ai été un peu lourd là dessus, en en parlant à tout bout de champs, mais à qui d'autres conseiller un des films qui m'a le plus enthousiasmé qu'à des passionnés de cinéma, ouverts sur tout genre et style, y compris les plus particuliers, comme je pense que tu l'es ?Et puis les longs films me font revivre plus ou moins le plaisir que je prend à m'adonner de temps à autres aux bonnes séries modernes, format que j'estime être une corde supplémentaire à mon arc pour alimenter mon éclectisme cinématographique avec, je peux le dire, les jeux vidéos que je vis aussi comme des films dans lesquels on peut, en plus, agir. Néanmoins, l'attrait différent de tous ces divertissements, aussi addictifs soient-ils, n'empêchent pas non plus une certaine forme de lassitude mais comme j'ai eu toute ma vie des périodes de grandes et moindres motivations pour tout cela, je pense qu'il n'y a aucune raison que je renonce un jour définitivement à l'un d'eux.Il y a assez de genres comme ça, dans chaque domaine, pour que, une fois atteint le trop plein dans l'un, l'on puisse passer tout simplement à un autre...Pour "The Raid 2", j'avais assez apprécié l'atmosphère générale du 1 et bien que le reste, truffé de lourdeurs, ne m'aie guère emballé, ça ne m'empêchera pas de m'y mettre 1 de ces 4 n'étant point réfractaire aux films de bastons. Un de ceux que j'ai préféré et que je n'ai pas encore cité, je crois, étant "SPL" avec Donnie Yen, qui contient des combats plutôt rares et brefs mais très violents et réalistes. La plupart des films d'arts martiaux ne valant avant tout que par la qualité, justement, de leurs combats...Cette nuit, je me suis fait "Jack et la mécanique du cœur", inégal mais très plaisant et j'aime également beaucoup la voix sensuelle d'Olivia Ruiz ainsi que le timbre particulier de Grand Corps Malade. Sympa aussi les voix de Arthur H, Jean Rochefort et Alain Bashung : belle réunion d'artistes et technique d'animation originale.Après, pèle mêle : J'ai enregistré le dernier Miyazaki, que je regarderais sous peu étant un inconditionnel; pour "The Four 2", j'aurais bien aimé voir le premier d'abord mais je n'ai trouvé qu'un streaming en vo seulement; "La 14ème lame" et "La légende de suriyaki", je ne connais pas mais pourquoi pas et je ne savais pas qu'il y avait une suite à "Detective Dee" que j'avais trouvé aussi très sympa.Mais je suis plus à la recherche d'œuvres particulières comme peuvent en pondre tous les pays du monde... de celles qui ne nous inspirent jamais, au départ, car elles misent sur d'autres recettes que celles communément admises et qui s'avèrent bien plus fascinantes que la plupart des films fait pour plaire. Le dernier en date, dans ce style, à m'avoir interpellé étant "Under the Skin", austère et énigmatique, de prime-abord, mais parfaitement envoutant avec sa forme contemplative aux aspects surréalistes et son fond à plusieurs sens... sans épiloguer sur les scènes de nudité totale de Scarlett Johansson qui possède, sinon un corps tout à fait harmonieux, du moins un sex-appeal indéniable.
    • Jean-philippe N.
      Peut-être que çà te le fait aussi mais perso, plus je regarde de films (et j'en vois beaucoup!) plus j'ai du mal à être favorablement impressionné. Il faut dire qu'on se blase de tout et que si la prod mondiale augmente d'année en année, le nombre de vrais bons films reste stable: qques dizaines sur plusieurs centaines, voire milliers. Parmi les derniers asiatiques que j'ai vu, il y en a trois qui ne m'ont pas déplus: "The raid 2" (2013) pour l'action (il n'y a que çà!), "The four 2" (2013) et "La 14ème lame" (2010) deux wu-xia potables, sans plus. Je cherche "Youg detective Dee" de Tsui Hark car le 1er m'avait bien botté mais il semble ne pas être encore dispo...Une curiosité, un film historique indonésien: "La légende de Suriyaki" (2001). Pas top mais rare. C'est un critère! lolDans les anim' le dernier Miyasaki bien sûr, quoique je l'aurais préféré en film plutôt qu'en manga vu le thème et le français "Jack et la mécanique du cœur" assez mignon. Et puis je craque pour la voix d'Olivia Ruiz...
    • michmonde
      C'est à dire que le film est tellement bien foutu que, probablement, j'en attendais plus et mieux. Que j'en aie été déçu ne signifie certes pas qu'il soit réellement décevant mais je trouve quand même qu'il souffre d'un manque assez indéfinissable, dans le fond, qui, perso, m'a fait décrocher au bout d'un moment. Après, je ne suis pas spécialement adepte des films de gangsters, quelque soit leur spécialité, mais dans le thème, avec deux styles assez différents, j'ai pris beaucoup plus de plaisir avec "Nameless Gangster" et "Hwayi", plus psychologiques et plus basés sur des luttes de pouvoir internes que sur la "guerre" avec la police. Mais, bon... je suis peut-être trop un inconditionnel de ce que font les sud-coréens, en général... en oubliant pas, toutefois, de lorgner, çà et là, ce qui se trame du coté de la Chine et du Japon...
    • zvock083
      Réalisé par le grand Johnnie To ce film nous plonge dans une enquête d'une brigade anti-drogue qui cherche à démanteler un réseau important. Un film qui démarre fort l’enquête est bien menée, c'est très bien rythmé sans aucun temps mort et surtout il n'y a pas d'histoire parallèle comme souvent pour gonfler le scénario. Les acteurs sont très bons et on a droit à 2/3 scènes excellentes comme la fusillade dans l’entrepôt avec les muets ou la longue scène de fin. Malgré ces points positifs je suis resté un peu sur ma faim ça manque de rebondissements et d'intensité et surtout c'est le genre de film qu'on a vu des centaines de fois. 2,5/5
    • Jean-philippe N.
      Depuis le temps que çà existe, les films de gangsters sont devenus de moins en moins passionnants. La faute aux stéréotypes US et dans une moindre mesure, français. Celui-ci a au moins le mérite d'être dépaysant: La "China-connection" en dehors de Hong-Kong est un contexte quasiment jamais vu au ciné. Evidemment, ce n'est pas à proprement parler un film d'action, ce qui peut déplaire...
    • jereffuse
      trè bon film dans l'ensemble mais la scène finale est juste ridicule à mourir 0,5
    • neo576
      La critique Watzhttp://www.watz-up.fr/direct-t...
    • michmonde
      Pour talentueuse qu'est la réalisation, Johnnie To nous fait, hélas, trop languir avec ce film où tout se met en place subrepticement dans le dos des trafiquants; de trop rares gunfight efficaces et réalistes mais sans réelle intensité et une fin prévisible finissant de plomber le tout.Plutôt dans le style pas désagréable mais vite oublié...
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