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Synopsis
Le 18 février 1952, l’une des pires tempêtes qu’ait jamais connues la côte Est des États-Unis s’abat sur la Nouvelle-Angleterre. Elle ravage les villes du littoral et détruit tout sur son passage, y compris deux pétroliers de 150 mètres. Le SS Pendleton et le SS Fort Mercer, en route respectivement pour Boston (Massachusetts) et Portland (Maine), sont littéralement brisés en deux. Les équipages restent piégés à l’intérieur des navires voués à sombrer rapidement. Le premier assistant mécanicien Ray Sybert, officier responsable à la poupe du Pendleton, réalise très vite qu’il lui appartient de prendre en charge des marins terrifiés et de les amener à travailler ensemble pour maintenir le navire à flot le plus longtemps possible.
Alors que les garde-côtes de Chatham (Massachusetts) font de leur mieux pour aider les pêcheurs à protéger leurs bateaux de la tempête, ils apprennent que les deux pétroliers en détresse dérivent au large du cap Cod. Le premier maître Daniel Cluff, récemment nommé à la tête du poste de secours, envoie immédiatement à la rescousse le bateau de sauvetage CG 36500, sous le commandement du capitaine Bernie Webber. Ce dernier et son équipage de trois hommes se lancent dans une périlleuse mission à bord de leur embarcation sous-dimensionnée au regard des éléments déchaînés, un canot de bois de 11 mètres. Avant même qu’ils soient sortis du port, ils perdent le pare-brise et le compas de navigation. Pourtant, les quatre hommes persévèrent, et malgré des vents de la force d’un ouragan, des vagues de 20 mètres de haut, des températures glaciales et une visibilité quasi nulle, ils parviennent miraculeusement à localiser le Pendleton. Au prix d’efforts inouïs, ils vont réussir à sauver 32 hommes sur les 33 que compte l’équipage.
Affrontant la colère destructrice de l’océan, 36 hommes, réfugiés sur un bateau prévu pour 12, vont tout faire pour rentrer chez eux.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Ah, ça ! C'est sûr que c'est du cinéma à l'ancienne comme on en fait quasiment plus ! Personnellement, j'y suis plutôt sensible, même si ce n'est pas sans quelques loupés : niveau musique pompière, Carter Burwell s'est bien lâché (non sans une certaine efficacité, d'ailleurs!), tandis qu'on échappe pas à certaines situations forcées et autres personnages stéréotypés, à l'image de dialogues pas toujours d'une grande justesse. ...
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cylon86
1 872 abonnés
4 430 critiques
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3,0
Publiée le 24 février 2016
Basé sur une histoire vraie et produit par Disney, "The Finest Hours" nous conte le périple de gardes-côtes pour sauver les membres de l'équipage d'un pétrolier coupé en deux par une immense tempête en février 1952. Évidemment c'est spectaculaire et les effets numériques d'aujourd'hui permettent de nous immerger au cœur de la tempête et de nous scotcher à notre siège. Dommage que le fond ne suive pas la forme car cette histoire ...
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Rudy M
51 abonnés
851 critiques
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3,5
Publiée le 25 février 2016
Un film catastrophe sympathique qui n'atteint pas des sommets en terme d'émotions mais que l'on prend plaisir tout de même à voir
titicaca120
312 abonnés
2 179 critiques
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4,0
Publiée le 28 février 2016
un film basé sur une histoire vraie qui nous fait découvrir le courage et l'héroïsme
d'un jeune garçon bien sous tous rapport.
un mélange de antartica prisonniers du froid et en pleine tempête pour
les conditions météo exécrables par rapport dans the revenant il fait beau!!!!!
les scènes en mer sont bien réalisées et si comme moi vous ne lisez rien avant d'aller voir un film
le suspens est entier jusqu'au dénouement.
je suis bien ...
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The Finest Hours raconte la façon dont des gardes côtes ont risqué leur vie, en 1952, pour porter secours à un équipage du bateau pétrolier SS Pendleton, pris au piège par une terrible tempête. Leur détermination a permis de sauver 33 personnes. Les sauveteurs ont reçu la Gold Life Saving Medal pour avoir mené à bien ce sauvetage dans des conditions climatiques désastreuses. Les scénaristes du film, Paul Tamasy et Eric Johnson, se sont basés sur
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Retrouvailles
Chris Pine et Eric Bana se sont précédemment donné la réplique et même affrontés dans le Star Trek de J.J. Abrams sorti en 2009. Bana avait également déjà côtoyé Ben Foster dans Du sang et des larmes qui est aussi tiré d'une histoire vraie. Ils campaient chacun un marine dans ce film d'action de Peter Berg. Et ce n'est pas tout du côté des retrouvailles puisque Foster avait joué avec Casey Affleck dans l'envoûtant Les Amants du Texas.
Changement de réalisateur
En 2013, un certain Robert Schwentke a été engagé pour être aux commandes de la réalisation de The Finest Hours mais il quitta finalement le projet pour se consacrer au blockbuster Divergente 2 : l’insurrection. Il fut remplacé par l'Australien Craig Gillespie.
THE FINEST HOURS.Les séquences sur le SS Pendleton sont les meilleures : on y ressent toute la rage de la tempête et l'instinct de survie de l'équipage restant. Tout le reste (Chris Pine et sa fiancée) n'est que drama qui alourdit considérablement un scénario déjà très mince, noyer dans les écrans verts et la musique patriotique. A vouloir trop en faire dans le genre guimauve, Disney ridiculise une belle histoire de courage.Mauvais : 1,5/5.D'autres avis ici : http://www.allocine.fr/memb...
pitof-pitof
CRITIQUE AVEC RISQUE DE SPOIL.The finest hours , une histoire de bravoure .D'après une histoire vraie , The finest hours raconte les faits qui ont abouti a un récit des plus héroïque de l'histoire des garde-côtes à petite embarcation maritime des États-Unis . Avec un bateau (le CG 36500) de 11 mètres de long qui est sensé supporter pas plus de 12 hommes , le garde-côtes Bernie Webber ( interprété par Chris Pine ) et ses 3 compagnons (Ben Foster , Kyle Gallner et John Magaro dans les rôles réspectif de Richard Livesey , Andy Fitzgerald et Ervin Maske) vont tenter de sauver 33 naufragés qui sont sur le morceau du pétrolier SS Pendleton . Cette histoire s'est déroulé précisément au large de Cap cod en 1952 dans des conditions météorologiques extrêmes ( tempête avec vent de niveau 7 et pluie de neige abondantes )Après Millon dollar arm Craig Gillespie réalise ici son premier blockbuster avec 85 millions de dollars de budget . Le casting est superbe tant ils sont talentueux autant ils sont remarquables dans leurs prestations (aussi limités le sont-ils par leurs temps de présence) , soulignons tout de même la charmante Holliday Grainger (dans le rôle de Miriam , la fiancée de Bernie W) qui apporte le ratio d'émotion romanesques avec sa petite histoire d'amour qui selon certains ne laissera pas indifférent un public sensible .L'ambiance de l'époque 1952 est très réussi grâce aux décors et aussi grâce à la psychologie des personnages . La photographie est d'une contraste faible qui reflète d'une manière (disons) fade la lumière et qui s'allie parfaitement à la météo pluvieuse et neigeuse du scénario . Les effets spéciaux dans l'ensemble sont réussis (avec quelques CGI lors des séquences maritimes surtout) . Niveau rythme on est loin d'un blockbusters classique c'est plutôt un film d'auteur qui ne contient aucune longueur mais qui prend le temp juste de raconté son histoire .Et quelle histoire incroyable ! À part si on aime pas les petites histoires d'amour , on ne s'ennuie pas une seconde . Le suspens avec les naufragés sur le morceau du SS pendleton est suffisant pour tenir le coup jusqu'à la fin , sans parler de la chevauchée maritime suicidaire de Bernie W et ses 3 camarades sur le CG 36500 . En plus de ceux-là , c'est une histoire qui dans le fond traite plusieurs thèmes universel comme la bravoure , le courage , principe et sacrifice le tout sous une bonne dose hollywoodienne . L'émotion est aussi au rendez-vous comme dans la séquence finale ou les habitants de Cap Cod se réunissent au port , laissant les phares de leur voiture allumés pour un éventuel retour des gardes côte .Et pourtant ce film plein de qualité avec une vraie proposition de cinéma n'a pas réussi a amassé ses frais de production . Ce qui est dommage car pour 85 millions (budget marketing inconnu) seulement 40 millions (environ) ont été amassés dans les salles obscures dans le monde . Mais ne vous fiez pas au résultat du box office pour jugé un film . The finest hours est une belle réalisation rien qu'avec ses images charmantes .
FanAvatar09
Un Disney intriguant au vu du trailer. Impatient de le découvrir en salles.
Heisenberg...
Trailer :https://www.youtube.com/watch?...Beau cast (en dehors de Pine, Affleck ou Bana, il y a aussi Kyle Gallner que j'aime bien ou Josh Stewart), a voir.