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Synopsis
Parce qu’il est différent, Davide, adolescent androgyne de 14 ans, est persécuté par son père. Il décide de quitter le foyer familial pour trouver refuge à la Villa Bellini, un parc de Catane. Ce parc est un monde en soi, habité par des marginalisés que la ville préfère ignorer. Au moment où son passé le rattrape, Davide va devoir prendre seul la décision la plus dure de sa vie, sans aucune échappatoire.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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838 abonnés
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1,5
Publiée le 25 juin 2015
La Semaine de la Critique du Festival de Cannes aurait-elle un ressentiment quelconque envers la Sicile ? 2013 : "Salvo", tourné du côté de Palerme, film ennuyeux et prétentieux. 2014 : "Mezzanotte", tourné à Catane, film ennuyeux et sans grand intérêt. 2 films présentés à la Semaine de la Critique, 2 films dont les scenarii étaient plutôt prometteurs mais qui s’enlisent dans l’ennui par manque de souffle dans la réalisation. ...
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traversay1
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2 026 abonnés
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2,0
Publiée le 26 juin 2015
Davide, 14 ans, l'allure androgyne, quitte sa famille pour une autre, d'adoption. Du moins, l'espère t-il. C'est celle de marginaux, travestis, homosexuels, cantonnés dans un parc de la ville de Catane et ostracisés par la population. Mezzanotte aurait pu être le portrait touchant de la quête identitaire d'un adolescent maltraité par son père et trop aimé par sa mère et qui a fui pour essayer de se trouver. Mais ce premier film de ...
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Guiciné
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75 abonnés
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1,5
Publiée le 27 juin 2015
Un film qui ne m'a pas du tout convaincu, que se soit par sa forme ou son propos, qui d'ailleurs est inexistant. A aucun moment l'émotion n'est palpable et l'ennui s'installe vite. Très décevant.
Loïck G.
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218 abonnés
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2,5
Publiée le 24 juin 2015
De la froideur ou du respect, je ne sais, mais le premier film de Sebastiano Riso ne se risque pas à transcender le sujet délicat des amours adolescentes, quand le héros se retrouve envahi par des sentiments complexes. Davide, 14 ans, androgyne va à la rencontre de personnes qui dans la marginalité et la petite délinquance tentent d’assumer leurs différences. Mais à trop les suivre, les filmer sans travers, jamais complaisant, le film ...
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Ce film est présenté en compétition à la Semaine de la critique au Festival de Cannes 2014.
Premier long
Mezzanotte est le premier long métrage de Sebastiano Riso. Un film à la "tonalité pasolinienne douce et poétique" selon Charles Tesson, sélectionneur de la Semaine de la critique de Cannes. Le film raconte le parcours initiatique d’un jeune garçon en fugue aspirant à devenir chanteur...
Inspirations diverses
Sebastiano Riso a été inspiré par de nombreux réalisateurs avant de débuter sa carrière. Parmi eux : Gus Van Sant, François Truffaut ou encore Roberto Rossellini : "LES 400 COUPS, de François Truffaut, pour son héros, Antoine Doinel. ALLEMAGNE ANNÉE ZÉRO, de Roberto Rossellini, pour son héros, Edmund. Ce sont deux films fondamentaux pour moi : par leur honnêteté, leur force. Leur façon d'éviter tout baroque, de
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Ce film m'a beaucoup touché ! Le thème est sensible et malheureusement toujours d'actualité... Davide Capone m'hypnotise de son magnétisme d'ange déchu, cette histoire vous emporte jusqu'à la fin. Poignant et Emouvant !!
Cinematraque
" Le sujet, hautement sensible et volontiers casse-gueule, brasse plusieurs influences majeures de l’histoire du cinéma italien : le désœuvrement social du néoréalisme d’après-guerre, un sens de la cruauté tout pasolinien mais aussi des fulgurances flamboyantes à la Fellini. Les nouveaux amis de Davide portent des minijupes en jean, des fausses poitrines, des perruques ; ils s’appellent Wonder ou Rettore, en hommage à une chanteuse assez populaire en Italie dont l’apparence masculine aurait inspiré David Bowie. Ils traînent dans les parcs de Catane, se regroupent dans des ruelles louches à la tombée de la nuit pour que les automobilistes fassent leur « marché ». Ils volent à l’étalage de quoi s’habiller, dorment sous les arbres . Et surtout, ils essaient d’échapper à leur famille qui, quand elle ne les a pas simplement abandonnés, essaie à tout prix de les remettre « dans le droit chemin » , y compris par la force. La réalité dépeinte par le film pèse comme une chape de plomb au-dessus de ces gens qui ne font pas grand chose de leur vie que vendre leur corps. Et elle étouffe la moindre lueur d’espoir à laquelle ils espèrent parfois se raccrocher. Vous l’aurez compris, sur son volet social, Piu Buio di Mezzanotte n’y va pas avec le dos de la cuillère. C’est d’ailleurs son principal défaut : très (trop ?) appliqué, Sebastiano Riso donne parfois l’impression de dérouler un cahier des charges qui rend son film sinon fade, du moins souvent prévisible. "http://www.cinematraque.com/20...