Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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2,5
Publiée le 27 janvier 2015
S’il n’y avait qu’un seul mot pour décrire UNE HISTOIRE AMÉRICAINE, ce serait celui-là. Les yeux rivés sur le grand écran, le spectateur se sent impuissant. Ce film a cette force, celle d’impliquer le spectateur dans le récit, en véritable personnage témoin. Et puisque l’on ne peut changer le cours de l’histoire, nous devenons vite prisonniers d’une farce tragique, où le personnage principal fait les mauvais choix. Où ...
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L'Info Tout Court
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357 abonnés
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3,0
Publiée le 11 février 2015
Il y autre chose dans cette Histoire Américaine qu'une énième variation du romantique brisé incarné à merveille par Vincent Macaigne. Composé de deux parties aux tonalités éminemment différentes, le nouveau film d'Armel Hostiou convainc davantage par son allégresse et son souffle libertaire typiquement new-yorkais que par une gueule de bois mutique un poil trop pesante. Pour en savoir plus, lisez la critique complète en cliquant sur ...
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gandalf001
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12 abonnés
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1,0
Publiée le 17 octobre 2015
Le personnage joué par Vincent Macaigne ne laisse certes pas indifférent mais il franchit la limite du supportable et du crédible. Les dialogues sont pauvres et vides. Le scénario est complètement vide. Le film est très lent et souvent agaçant. Les plans sont parfois beaux mais souvent aléatoires. Les seuls points positifs sont le jeu des lumière et la qualité de l'image.
AM11
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2,0
Publiée le 18 juillet 2015
Ce n'est pas le film le plus palpitant que j'ai pu regarder, car voir un homme déambuler comme un zombie dans les rues de New-York n'a rien d'exaltant. En plus, Vincent Macaigne, que j'aime beaucoup habituellement avec son style nonchalant et son air de chien battu, est ici vraiment énervant et très très lourd, on a envie de lui mettre des baffes et lui dire de se réveiller, ça m'étonne d'ailleurs que son ex ou son copain ne l'ont pas ...
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Désireux de retravailler avec Vincent Macaigne, Armel Hostiou a profité que l’acteur soit libre au moment où il devait aller à New York pour lui proposer de tourner avec lui. Le cinéaste a alors rejoint Vincent Macaigne à Grenoble où une ébauche de scénario a été travaillée. Mais c’est dans l’avion, puis sur place, que le film s’est petit à petit construit. Ainsi, Vincent Macaigne s’est lancé dans l’aventure sans réellement savoir de quoi il
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Tournage éclair
Le tournage d’Une histoire américaine a duré vingt jours, grâce à l’efficacité d’une petite équipe.
A l'arrachée
Si beaucoup de scènes ont été écrites à l’avance, l’équipe du film a tourné plusieurs fois "à l’arrachée", avec un appareil photo, directement dans les rues et le métro de New-York, sollicitant des personnes dans la rue.
Ce n'est pas le film le plus palpitant que j'ai pu regarder, car voir un homme déambuler comme un zombie dans les rues de New-York n'a rien d'exaltant. En plus, Vincent Macaigne, que j'aime beaucoup habituellement avec son style nonchalant et son air de chien battu, est ici vraiment énervant et très très lourd, on a envie de lui mettre des baffes et lui dire de se réveiller, ça m'étonne d'ailleurs que son ex ou son copain ne l'ont pas fait.. Après ce n'est pas un mauvais film, mais le scénario est bien trop léger pour tenir dans un long-métrage, la réalisatrice aurait dû rester avec son court-métrage. 2/5
haroun le zonard
au debut je bandais quoi. non parce que voila quoi. mais apres le film est tellement beau et subtil dans la romance que mon zizi est devenu subtil et j'ai débandé.5/5 pour ceux qui veulent débander
luxe
Dans ce film on se demande parfois s'il y a bien un scénario ou si les acteurs improvisent... Bref, sinon on comprend pourquoi Barbara a quitté Vincent, il est pénible, ne comprend rien, et fait aux autres ce qu'on aime pas qu'on lui fasse (quand il envoie balader Louise...). mais on a envie de suivre son aventure jusqu'à la fin. 2,5/5
Cellardoor.fr
Avec ses airs de chien battu malheureux, Vincent traîne dans New York et va faire la rencontre de la charmante Sofie, une danoise, elle aussi expatriée. C’est à partir de là que le film m’a surprise. Je ne vais pas vous dévoiler toute l’histoire mais je m’attendais à ce qu’une nouvelle love story remplace la première. Que l’amour revienne après la rupture. Mais non. Une histoire américaine raconte l’obsession maladive d’un homme pour une femme. Point. Un homme qui n’a plus rien à faire à New York mais qui va quand même rester dans ce pays étranger, juste pour habiter la même ville que son ex.Pour en lire plus : http://cellardoor.fr/critique-...
angelabassompierre
Hâte de le voir, déjà j'adorais le personnage de Vincent Macaigne en train de fondre pour Chloé / Marie que jouait Ludivine Sagnier dans "tristesse Club" ultime et dernière séance de passage, si c'est bouleversant, je suis curieuse, ok je me propulserai pour aller le découvrir.
B?atrice D.
Film bouleversant. Vincent Macaigne en autiste chimique rongé par son amour....
M the Mighty
Une histoire américaine fait passer des rires aux larmes en un quart de fraction de seconde. Armel Hostiou réalise ici un Grand Film dans la langue de Shakespeare, sur le thème de la quête amoureuse, qui redonne foi en l'avenir du Cinéma Français. D'une justesse inédite, sensible et humain, ce long-métrage sur le fil, fait partager l'errance de Vincent (merveilleux Vincent Macaigne) dans un New York polymorphe.
Olivier L.
Un film qui réussit à être à la fois drôle et triste, tout simplement. Et ce n'est pas si fréquent! Le film est porté par un Vincent Macaigne expressif mais nuancé qui campe un personnage de plus en plus attachant mais complexe au fur et à mesure que le film progresse.
Randomhero
Le film bobo du mois, avec en prime un Vincent Macaigne moins expressif encore que le poussif et trop long 2 automnes 3 hivers (et pourtant le film est court). Quant a Armel Hostiou il nous avait déjà montré l’ampleur du dégât avec le très mauvais Rives, mais la il parvient a nous faire comprendre que le principe de la photographie dans un film lui est totalement inconnu. Reste un scénario ou le spectateur se sentira piégé sur son siège, parce que quitté une salle de cinéma en plein film, c'est mal. 0+0 égal la note final de ce film chiant, pas tourné, pas joué, pas photographié, et avec une lumière dégueulasse.
Laetitia L.
Trop hâte de découvrir cette histoire américaine :-)
MGM-ranger
ça sera sans moi. :/
LBDC
DÉROUTANT !S’il n’y avait qu’un seul mot pour décrire UNE HISTOIRE AMÉRICAINE, ce serait celui-là. Les yeux rivés sur le grand écran, le spectateur se sent impuissant. Ce film a cette force, celle d’impliquer le spectateur dans le récit, en véritable personnage témoin. Et puisque l’on ne peut changer le cours de l’histoire, nous devenons vite prisonniers d’une farce tragique, où le personnage principal fait les mauvais choix. Où l’on aimerait pouvoir lui glisser quelques mots à l’oreille.Philip Roth disait : « L’amour, la seule obsession que tout le monde désire. » L’écrivain américain avait vu juste. Une histoire américaine est une chronique de la vie désolante d’un français à New-York. Pourtant, UNE HISTOIRE AMÉRICAINE n’a rien du rêve américain. Rien de la belle et trépidante vie new-yorkaise. On pense plutôt volontiers au cauchemar, celui qui met dans un état de détresse, celui qui parle de désespoir (...)Pareil à un oiseau, la caméra survole New-York, ses ponts grandioses, ses buildings majestueux, pour s’y poser pour un bon moment. Le paysage urbain est découvert à travers de longs travellings, qui montent, qui descendent. L’objectif suit les courbes de l’architecture, et comme si nous étions dans une attraction, la vivacité des plans procure une douce peur, un malaise délicieux.Armel Hostiou organise notre première rencontre avec Vincent dans le métro. Et déjà, il y a cette tristesse ambiante, comme si autour de lui s’était construit une aura de désolation. Lorsqu’un vendeur lui demande pourquoi il veut à tout prix la récupérer, il répond « mais elle est très belle ». Est-il vraiment amoureux ? Connaît-il ce sentiment nébuleux ? Tout au long du film, Vincent ne trouve que cette raison pour se raccrocher à son amour, brandissant à tout bout de champ le portrait de sa belle. Quand vient la rencontre avec Barbara, c’est son dos en amorce que l’on voit en premier. Elle apparait comme une énigme. Ce n’est pas bon signe.(...) une chose que manie habilement Une histoire américaine : la moquerie légère. Et heureusement ! Autrement, nous serions tous en dépression. Le film parvient à faire esquisser de temps en temps quelques sourires imprevus. L’obsession alterne entre comédie et tragédie avec aux platines, une bande originale pop-rock mélancolique et harmonieuse. Vincent souffre d’une « folie amoureuse » et Vincent Macaigne donne à son personnage une dimension burlesque, créant un rapport poétique avec la société. Finalement, trouve-t-il un plaisir dans la souffrance ? Peut être (...)L'intégralité de notre avis à propos d' UNE HISTOIRE AMÉRICAINE, sur Le Blog du Cinéma