Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Maria et Marco, deux ados italiens, décident d'aller passer une partie de l'été à San Francisco où ils sont accueillis chez un couple gay à peine plus âgé qu'eux. Au cours de ces quelques jours, ces quatre jeunes gens issus d'univers différents remettent en question leurs certitudes et se lient d'une profonde amitié...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
A la vision de certains long-métrages, et ils sont assez rares, on rêverait d’être à la place des protagonistes ou mieux, avec eux. Vivre ce qu’ils vivent, partager leurs moments et faire partie intégrante de leur aventure humaine. Ce sont surtout des films qui s’inscrivent dans la réalité, faits d’instants volés, des films qui croquent la vie et qui nous permettent de nous en évader. « Summertime » est clairement de ceux-là. ...
Lire plus
dominique P.
752 abonnés
2 027 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 19 août 2017
Je recommande tout spécialement cette excellente comédie dramatique italienne qui se passe entre Rome, San Francisco, Cuba et New York. L'histoire cependant se passe en très grande partie à San Francisco. C'est un petit bijou ce film. C'est à la fois frais, léger, sérieux, romantique et dramatique. Cette histoire est bien croquée, bien traitée et nous enchante.
Pop Culture .
8 abonnés
267 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 17 août 2017
J'ai bien aimé. Un film qui se regarde gentiment, sans prétention, et qui donne envie de voyager et de vivre des choses. Une histoire simple mais qui peut toucher, parfois drôle. Bons acteurs aussi, et aussi bien l'italien que l'anglais en VOST est dépaysant. Bon moment !
Demooniac
3 abonnés
13 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 31 août 2017
Summertime est un doux voyage, qui nous emmène de Rome à San Francisco, Cuba et New York. Matilda Lutz, dont la beauté n'est pas sans rappeler son aînée Monica Bellucci, se révèle peu à peu pour devenir irrésistible. On se prend d'amitié pour cette joyeuse bande, qui a décidé de vivre pleinement l'instant présent, le temps d'une saison, dans une ville où tous les rêves sont permis. Ce film est une ode à la jeunesse et à l'été, ...
Lire plus
Après avoir tourné plusieurs documentaires, Gabriele Muccino tourne son premier long métrage, Ecco Fatto, salué au festival de Turin. En 1999, il connaît son premier grand succès avec Comme toi, puis, deux ans plus tard, Juste un baiser génère 13 millions d’Euros de recettes en Italie. Réflexion cynique et désenchantée sur la difficulté de sa génération à s’engager en amour, le film l’impose parmi les figures majeures du cinéma italien. Il reste
Lire plus
Une héroïne italienne
Matilda Lutz (Maria dans Summertime) s’est fait connaître sur la scène internationale grâce à Le Cercle - Rings. Elle est devenue très populaire en Italie avec la série Fuoriclasse de Riccardo Donna.
Un héros italien
Acteur italien, Brando Pacitto (Marco dans Summertime) s’est surtout fait connaître pour son interprétation de Vale dans la série Braccialetti Rossi (2014). À l’âge de 10 ans, il fait ses débuts dans la série La sagra familia où il donne la réplique à Alessandro Gassmann. En 2007, il tourne avec Pierfrancesco Favino et Isabella Ferrari dans Liberi di giocare de Francesco Micciché. En 2009, il se produit dans la série Al di la de lago de Raffaele
Lire plus
honteux que le film n'est pas eu d'etiditon blurayo u dvd en france
tulipe13
joli petit film sucré...çà me rappelle ma jeunesse et les vacances entre potes...un plaisir pour cette amitié et cette virée initiatique...la musique sympa...et la langue italienne un bonheur...je recommande!!
Fa F
summertime est un peu comme un film de vacances où tout est facile, frais, léger et où l'on apprend à mieux se connaître. d'ailleurs et notamment dans sa 1ère partie, le film distille des messages positifs d'amour, d'amitié, de liberté et de sincérité. certains moments sonnent un peu faux, impudiques, la relation entre Maria (capable d'un tel changement comportemental au bout de quelques jours!) et Marco s'avère un peu alambiquée. mais le côté insouciant, heureux du récit ainsi que la carte postale ensoleillée de San Francisco à Cuba permettent de passer un moment finalement agréable.
Henri Mesquida
A la vision de certains long-métrages, et ils sont assez rares, on rêverait d’être à la place des protagonistes ou mieux, avec eux. Vivre ce qu’ils vivent, partager leurs moments et faire partie intégrante de leur aventure humaine. Ce sont surtout des films qui s’inscrivent dans la réalité, faits d’instants volés, des films qui croquent la vie et qui nous permettent de nous en évader. « Summertime » est clairement de ceux-là. A la sortie de la projection, on a l’agréable sentiment d’avoir passé des vacances avec les personnages, d’avoir vécu le temps d’un film un mois de moments en apesanteur et que le temps s’est arrêté une fraction de seconde pour que l’on puisse vivre un doux songe. Quand les lumières se rallument on a envie que ça continue et on se retrouve face à la réalité, agrémentée d’un léger sentiment de nostalgie qui nous rend cafardeux. Comme au lendemain d’une belle fête en quelque sorte ! Ici, la production est italienne mais le film se situe en grande partie aux Etats-Unis, ce film permettant au cinéaste un pont entre les deux pays. On y suit deux adolescents partis passer leur été à San Fransisco et accueilli par un couple de jeunes gays. Une fille, trois garçons, autant de possibilités… On n’est pas vraiment dans une bluette sentimentale trop sucrée au point d’être écoeurante mais plutôt dans la chronique pleine de justesse d’un été pas comme les autres.Le film passe à une vitesse folle et on redemanderait. La caméra de Muccino sait se faire aérienne et se situe bien loin de fictions romantiques platement filmées. On a même droit à un long flash-back qui éclaire bien la psychologie de deux des personnages et les emmène loin des clichés inhérents aux gays. Un quatuor auquel on s’attache véritablement, en essayant de deviner ce qui va se passer entre eux et avec quelle combinaison. Mais on apprécie que tout cela reste réaliste et terre à terre, juste une période magique, une parenthèse enchantée pour quatre personnes qui vont s’apprivoiser et apprendre à s’aimer. On aime aussi que la conclusion soit plus amère que prévue mais au final bien plus perspicace qu’à l’accoutumée. Les acteurs sont épatants de naturel et en symbiose parfaite. Ce n’est peut-être pas un chef-d’œuvre mais certainement un film doux et rafraîchissant . Une véritable bulle de bonheur qui ne demande qu’à être consommée.
Josselin A.
honteux que mars ne prévoit pas une édition dvd ou bluray de ce film quel gachis
Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
Non mais le film joue sur une caricature à la base, je n'ai pas besoin d'une explication sur comment le film va se dérouler voire même se terminer vu que c'est catégoriquement prévisible.Et puis je n'ai jamais dit qu'il fallait jeter l'enfant né dans la mauvaise famille. Vous ne me connaissez pas, donc pourquoi tenter de deviner ce pour quoi je serais partisan ?Et les crimes homophobes existaient bien avant les nazis et existent toujours. Les nazis n'ont aucune place ici, je pense (ce n'est pas parce que j'ai écrit décimés que je pensais aux nazis. Je connais la réaction de quelques de ces personnes (les homophobes donc) quand on leur annonce notre véritable nous, et certains passent à l'acte. Peu, certes, mais certains).
trineor
Toute personne homophobe n'étant pas nécessairement pour autant nazie, nous avons de la chance : il n'y a généralement pas besoin d'en arriver à cette extrémité.En l'occurrence, le film parle d'une gamine pleine de préjugés qui ne sont que le produit de son éducation catholique, au moment où elle se retrouve face à une réalité qu'elle ne connaît pas et qui l'effraie. Tout le propos étant de montrer que, en fréquentant cette réalité, ses préjugés vont fondre comme peau de chagrin.Vous seriez partisan de quoi, au juste : qu'on jette aux gémonies tous les gamins issus d'une famille traditionaliste intolérante, en les considérant perdus d'avance ?
Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
Et rarement non plus vers des personnes qui voudraient nous voir décimés, oui, nous sommes d'accord.
trineor
On a rarement besoin de jeter des passerelles vers ceux avec qui on s'entend déjà.
Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
Essayer de jeter des passerelles à ces mêmes personnes qui dressent des murs ? Vous voyez le paradoxe, la tâche impossible ?
Marla-Jane
Un film charment à ne pas rater : http://bit.ly/2xdceug
trineor
Ce qu'on voyait arriver gros comme une maison ?Tu veux dire du polyamour ? Ou un plan à quatre ? Au moins, j'aurais trouvé que l'accomplissement de leur attirance les uns pour les autres dans un point culminant donnerait une direction au film, qui à mon sens n'en a pas vraiment, et s'étend de façon un peu vaine et pudibonde dans sa deuxième moitié pour ne plus rien raconter ni rien dire.Comme toi, visiblement, j'ai beaucoup aimé la première moitié du film : douce, drôle, tendre, simple, sincère. Puis j'ai trouvé, comme je disais, que la deuxième s'enlisait dans son absence de propos. Une fois installée sa situation, le film ne semble plus savoir qu'en faire.
trineor
Bah oui, voyons !Pourquoi essayer de jeter des passerelles, quand on peut dresser des murs ?
RichyG
La 1ère partie ressemble à du Woody Allen. Le film est agréable à regarder bien aidé par le site de San Francisco puis de Cuba.Heureusement que nous avons été épargnés de ce qu'on voyait arriver gros comme une maison.
Netsuko T.
C'est sur, alors qu'on sait tous que les homophobes sortent la nuit pour dévorer les petits enfants.
jereffuse
Ben, je vais certainement pas allez voir un film qui veux nous faire croire que les homophobes sont des gens biens !!!!!!