Jonas

mwouarf.Un pétard mouillé, j'ai pas tenu longtemps.Je passe

Écoute, ils font ce qui peuvent

Beau film , dommage pour les invraisemblances des âges (trop vieux pour être en 3ème ) et sur la transformation physique de Jonas ...

La tension monte crescendo jusqu'à vous retourner l'estomac. Je ne suis pas adepte des fins ouvertes mais le reste du scénario est bien construit, dramatique et bouleversant. Jonas adolescent est très juste et une chose est sûre, cette chanson t'en va pas va me bouleverser longtemps...

Aucune fausse note, très bien joué, avec un montage prenant alternant présent et flashback. Ca vaut le coup d'oeil!

Très beau film, la fin m’a bouleversé

Découvert sur Netflix, très beau film. Un peu de temps à se mettre en place, mais finalement on se laisse prendre dans l'histoire de cet homme tourmenté par son passé qui nous est présentée entre sa vie actuelle, fort troublée et son adolescence à l'innocence perdue... La tension monte petit à petit, et on sent que Jonas en a lourd s le coeur. Et ayant vécu cette période game boy, premier portable et trouble avec les garçons, je me suis attaché encore plus aux personnages. Jonas adulte est très bien interprété; Nathan est bon, et son frère Léonard aussi. Et leur mère parfaite. Bon visionnage !

Très beau film!!des acteurs au top en particulier Félix Maritaud (Jonas adulte) et Tommy Lee Baïk (Nathan).mais petit bémol sur les acteurs qui jouent les parents de Jonas.Une belle bande son avec le plaisir coupable de ré-entendre T'en vas pas d'Elsa ... ah nostalgie de l'adolescence ... il ne me manquait que la voix sucrée de Vanessa Paradis chantant Joe le Taxi ou Maxou et j'y étais et le film aurait été parfait.Jolie fin en point d'interrogation.

Pris au bide du début à la fin. Bon scénario loin des clichés LGBT, je parle des personnages. Ça fait plaisir. Il manque cependant une bonne montée de larmes pour mettre 5. J’ai adoré la photographie. On aurait envie que ça continue pour aller plus loin dans le mal qui le ronge jusqu’à un dénouement pour Nathan. Ce qui aurait mériter à couper quelques scènes un poil longuettes.

Juste déçue par un film un peu brouillon et une fin bâclée. Nicolas Bauwens est excellent

Une vie de dérives qui met beaucoup de temps à se dévoiler. Une approche scénaristique à la fois originale et un peu brouillonne, sur un rythme lent : des séquences où le temps se suspend puis de nombreux flashbacks comme si deux histoires nous étaient contées pour mieux ne faire qu'une. La continuité par le physique de Jonas ado et adulte ne prend guère tout comme la concordance des époques et des âges. lorsque l'on veut faire un film réaliste, il faut être précis! mélancolie, culpabilité, mystère, un drame surestimé.

Complètement d’accord. Un beau premier film qui ne souffre pas du manque de moyens, mais d’un peu de consistance. Jolie fin , ouf ! Abus de flashbacks , on aurait pu se passer de quelques uns ;) Jonas jeune a plus de charisme que le comédien principal, une belle découverte de casting . Les parents un peu trop caricaturaux, 1997 ce n’est pas si loin ! Parfaite Laure A. Réalisateur à suivre, 🙂

#Jonas avec la note de 2,5/5.Un téléfilm léché aux personnages tragiques et impeccablement joués. Une réserve sur la révélation de toute cette histoire qui s'avère finalement sans surprise 😶.Tout ça pour ça.J'aurais plutôt imaginé Jonas en serial killer manipulateur avec tout le monde, mais c'est mon côté sombre qui veut ça 🤣.

Beau comme un astre, doux comme un fils, Jonas traîne sa carcasse. Il se bat en boîte de nuit et s’ébat dans pléthore de lits. Un mal le ronge, dont il faut chercher l’origine dans les scènes de sa vie adolescente vers lesquelles le téléfilm revient sans cesse. Quelle faute irréparable ce jeune homme timide a-t-il commise pour qu’il continue, dix-huit ans plus tard, d’en porter le fardeau ? Tout en couleurs fauves, ce premier film de Christophe Charrier, remarquable de maîtrise, met au jour la douleur intime de son personnage avec une délicatesse et une bienveillance qui baignent chaque scène d’une touchante mélancolie. Avec les notes justes et tendres d’Alex Beaupain (telerama avec lequel je suis bien d'accord)..