Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Pourquoi les uns écrivent et pourquoi d’autres les éditent ? Qu’est-ce qui pousse les uns à confier le plus cher d’eux-mêmes, le plus intime, à d’autres qui vont s’en emparer au prétexte de le faire connaître ? Qu’est-ce que ça veut dire, éditer des livres ? Ou en refuser ? Comment et pourquoi devient-on éditeur ? Parce qu’on est un philanthrope, un pervers ? Pour attacher son nom a plus grand que soi ? Parce qu’on est un enfant qui n’a pas grandi ?
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
823 abonnés
Lire ses 2 615 critiques
1,0
Publiée le 2 décembre 2017
Paul Otchakovsky-Laurens a fondé en 1983 la maison d'éditions qui porte son nom. Il revient sur son parcours et sur son métier.
La façon dont je viens d'introduire "Éditeur" a causé le malentendu sur la foi duquel je suis allé voir ce documentaire. J'imaginais qu'il serait fortement autobiographique, qu'il raconterait comment Otchakovsky-Laurens avait créé sa maison d'édition et y avait attiré quelques uns des plus stimulants auteurs ...
Lire plus
Serge R.
Suivre son activité
54 abonnés
Lire ses 21 critiques
4,5
Publiée le 4 décembre 2017
Quand je vais au cinéma je n’imagine pas d’avance ce que je vais voir ni ne pense que le titre du film contient exactement ce à quoi je m’attends ; quand je vois un documentaire dans une salle de cinéma, je n’attends pas une fiche Wikipédia ou un film du genre France télévision ; quand j’ai vu le film « Editeur » je me suis laissé porter par la voix – si rare, d’ailleurs - de Paul Otchakovsky-Laurens, par ses pensées et ...
Lire plus
Daniel C.
Suivre son activité
115 abonnés
Lire ses 711 critiques
3,5
Publiée le 26 février 2018
Publier et éditer. Donner à lire. Ecrire, mais pour qui ? "Pour toi", répondit après un long silence quelqu'un que l'on interrogeait à ce sujet. Quel est donc cette étrange mission, que celle qui consiste à éditer des auteurs ? C'est la question que souhaitait déplier le regretté POL, Paul Otchakovsky-Laurens. Il est aussi question de Sablé sur sarthe, une ville, qui a fait l'objet d'un premier film. A 13 ans, il a subi un abus ...
Lire plus
Gfa Cro
Suivre son activité
36 abonnés
Lire ses 573 critiques
3,0
Publiée le 27 janvier 2018
Vu et avis le 20180126
Je suis passé à côté.
J'étais trop fatigué, je me suis un peu ennuyé, un peu assoupi, un peu interrogé : est-ce moi ou le film y est-il pour quelque chose. Une demi heure après ce film, j ai vu the greatest showman sans souci. Je pense donc que c est bien éditeur qui a une part de responsabilité en plus de ma fatigue.
Je n'ai pas été totalement convaincu par le dispositif. La poupée pour l éditeur, la ...
Lire plus
Paul Otchakovsky-Laurens explique pourquoi il est revenu au cinéma dix ans après son premier film documentaire Sablé-sur-Sarthe, Sarthe : "Tout de suite après « Sablé... », content d’avoir réussi à boucler ce premier film, j’ai voulu en faire un autre, dans la foulée. Mais c’était artificiel, une idée, pas plus, il n’y avait pas de nécessité. J’ai vite laissé tomber. Et je me suis dit que j’avais à peu près fait ce que je voulais f
Lire plus
Une idée d'écrire
Paul Otchakovsky-Laurens n'est pas écrivain mais à force de lire, de côtoyer et d’entendre les écrivains en parler, le réalisateur a fini par avoir une petite idée de ce que c’est qu’écrire : une idée évolutive, qui se modifie à chaque rencontre, à chaque confrontation avec une nouvelle écriture. Il explique : "Il y a cependant des fondamentaux – la composition, le rythme, les ruptures, les syncopes – que j’ai retrouvés, particulièrement au
Lire plus
Voix-off
Comme Paul Otchakovsky-Laurens se raconte et se dévoile dans le film, le cinéaste a eu recours à l'usage d'une voix-off. Il confie : "Et même au départ, j’y intervenais à la manière d’Avi Mograbi (d’ailleurs, pour ma première apparition, à l’image, afin que les choses soient bien claires, j’avais prévu des sous-titres en hébreu...). Il y avait donc un mélange de direct et de voix off. Mais comme il est apparu très vite que j’étais un très ma
Lire plus