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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Pour surmonter les problèmes que traverse leur couple, Elin et Tobias partent camper au coeur de la forêt suédoise. Mais des fantômes de leur passé resurgissent et, plus que jamais, les mettent à l'épreuve.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
On parle beaucoup de David Lynch dans les critiques presse. Bah non, Johannes Nyholm n'a aucunement son talent. Aucune musique, aucune mise en scène propre, aucune qualité visuelle, et pour couronner le tout, incrustations de longs dessins animés totalement ennuyeux et qui n'apportent rien à l'histoire. Alors ok, on comprend très bien tout de suite le coup de la boîte à musique et des 3 personnages de la comptine. C'est original et ça ...
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traversay1
2 256 abonnés
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3,0
Publiée le 19 novembre 2019
Le premier film du suédois Johannes Nyholm, The Giant, était déjà fort étrange : l'histoire d'un champion de pétanque dont le physique n'était pas sans rappeler celui d'Elephant Man. Mais Koko-di Koko-da pousse le bouchon encore plus loin dans la bizarrerie avec cette sorte de Jour sans fin qui a des allures de cauchemar horrifique revisité façon Alice au pays des merveilles. Il est difficile de savoir où le metteur en scène veut en ...
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Cinéphiles 44
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3,5
Publiée le 7 décembre 2019
Nous avions découvert le réalisateur Johannes Nyholm en festival avec son époustouflant “The Giant”, qui étonnamment ne sera jamais sorti dans les salles françaises. Son nouveau long-métrage “Koko-Di Koko-Da” ose de nouveau le multi-genre. En partant d’une histoire simple, un couple part camper pour oublier et surmonter leurs problèmes de couple, le réalisateur y insuffle des statuts de film dramatique, film d’épouvante, ...
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Terreurvision
176 abonnés
505 critiques
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4,5
Publiée le 21 mars 2020
Après s'être fait les dents dans le monde du clip et du court-métrage, Johannes Nyholm livre son premier long-métrage. Une proposition artistique saisissante et gonflée comme l'on aimerait en voir plus souvent... Notre critique complète est en ligne ici : http://www.terreurvision.com/2019/11/koko-di-koko-da-2019-de-johannes-nyholm.html
Koko-di Koko-da a mis plus de 10 ans à voir le jour. Johannes Nyholm en a commencé l'écriture avant de réaliser son premier film, The Giant. Le tournage a commencé en 2011 avec une équipe restreinte : "Je voulais financer Koko-Di Koko-Da moi-même via ma boîte de production mais il m'a été difficile de convaincre des partenaires financiers et je ne pouvais pas assumer seul de produire une fiction. Donc il m'a fallu faire preuve d'imagination pour
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Inspiration
Le réalisateur s'est inspiré des relations amoureuses qu'il a observées autour de lui ou qu'il a vécues mais aussi d'un rêve qu'il a fait. Il était alors, à l'instar des personnages, dans une tente en train de faire du camping. Il a commencé à écrire le scénario au milieu de la nuit.
Mélange des genres
Si Koko-di Koko-da est un film d'horreur, il compte des éléments atypiques de slapstick et de drame sentimental. Le réalisateur ne souhaitait pas se limiter au film de genre car il le trouve très codifié et donc prévisible. Il a ainsi exploré les relations personnelles sous toutes les coutures : "Je voulais montrer la communication passive-agressive et comment deux personnes poussent dans des directions opposées et ne vont nulle part".
Savez-vous que le film devrait initialement sortir aux USA le 27 mars 2020 ? Et ben il est repoussé à une date ultérieur à cause du confinement et de la pandémie du COVID-19.
Ebony Maw
Koko-di Koko-da de Johannes Nyholm est un conte fantastico-horrifique et dramatique débordant d'onirisme via ses expérimentations visuelles et la structure de son récit (similaire à Edge of tomorrow ou encore Un jour sans fin), ce dernier est une allégorie tantôt touchante tantôt perturbante mêlée à une certaine poésie et bercée par une mise en scène qui pour sûr est inventive et rafraîchissante. Il est impossible de faire une critique sur ce film sans souligner l'excellent travail sonore et visuel du métrage qui n'est pas sans rappeler les longs et courts métrages de l'excellent et incontournable David Lynch (et ça c'est du compliment !), l'immersion est donc par conséquent décuplée et rend notre investissement physique par nos sens moins difficiles que d'habitude, mais n'est-ce pas l'objectif d'un conte ? D'aisément nous bercer dans l'imaginaire et la rêverie ? Allez au cinéma, trouvez la place qui vous convient et abandonnez-vous, Koko-di Koko-da vous attend.