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Synopsis
Oleg quitte la Lettonie pour Bruxelles, où il espère travailler contre un salaire décent. Trahi par un collègue, son expérience tourne court. Oleg est alors recueilli par un criminel polonais, avant de tomber sous son emprise mafieuse.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Bien qu’ayant été présenté dans un très grand nombre de festivals et y avoir obtenu de nombreuses récompenses, "Modris", le premier long métrage du réalisateur letton Juris Kursietis, n’a connu aucune sortie dans notre pays. Il n’en est pas de même pour "Oleg", le deuxième, grâce, sans doute, au fait qu’il a fait partie de la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2019. Bien qu’étant parfois un peu confus ...
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norman06
229 abonnés
1 502 critiques
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3,5
Publiée le 5 novembre 2019
Entre les Dardenne et Cassavetes, du très bon cinéma social, oppressant sans être doloriste, qui interpelle avec finesse. À voir !
Cinéphiles 44
875 abonnés
3 810 critiques
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4,0
Publiée le 6 novembre 2019
“Oleg” quitte la Lettonie pour Bruxelles dans l’espoir de trouver un salaire décent. Alors qu’un collègue le trahi, “Oleg” est hébergé par un criminel polonais. C’est le début d’une descente aux enfers et la fin d’une expérience rêvée. Juris Kursietis filme le parcours violent d’un immigré en Europe qui se fait manipuler jusqu’à outrance. Un film visuellement beau dans une ambiance triste mais où les larmes ne ...
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traversay1
2 246 abonnés
4 272 critiques
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3,0
Publiée le 5 novembre 2019
Comment peut-on être letton dans l'Europe d'aujourd'hui ? Autant dire personne ou presque, boucher anonyme dans une usine belge, comme Oleg dans le deuxième long-métrage éponyme de Juris Kursietis. Le migrant dont parle le cinéaste letton ne vient pas d'un autre continent mais bien de l'autre bout de l'Europe et sa situation n'en est pas moins précaire et ses capacités d'évolution proches de zéro pour peu qu'il tombe dans certains ...
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Oleg s'inspire d'une histoire vraie. En 2013, alors que Juris Kursietis tournait son premier film Modris, un ami journaliste lui a parlé d’un article qu’il écrivait sur les étrangers qui venaient travailler en Europe de l’Ouest. Le metteur en scène se rappelle : "Son enquête s’appuyait sur la vie de l’un d’entre eux. Mon film s’inspire donc d’une histoire vraie. Cet ami, qui a finalement co-scénarisé Oleg, m’a fait lire tout l’entretien mené avec
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Pourquoi la Belgique ?
Lorsqu'on parle de travailleurs exploités, originaires des pays de l’Est, la Belgique ne vient pas immédiatement à l’esprit. Mais à mesure que Juris Kursietis se documentait sur son sujet, cette destination s’est imposée. Le réalisateur précise : "En janvier 2015, nous sommes partis en repérages avec mon chef opérateur. Avant notre départ, j’avais essayé de cibler des ouvriers de l’Est qui travaillaient dans des usines sur place. On m’a répondu q
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Le choix du rôle-titre
Pour choisir le rôle-titre, Juris Kursietis voulait initialement un acteur russe pour faire écho à la situation des « non-citoyens » en Lettonie, qui ne possèdent ni la nationalité russe ni la nationalité lettone et sont stigmatisés (Oleg est ainsi doublement isolé en Belgique). Le cinéaste confie : "Pour trouver notre acteur principal, nous avons fait des castings en Russie et en Ukraine. Je donnais deux scènes à jouer aux acteurs et quand j’ai
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