Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
1953. Londres panse encore ses plaies après la Seconde Guerre mondiale. Williams, fonctionnaire chevronné, est un rouage impuissant dans le système administratif de la ville qui doit se reconstruire. Il mène une vie morne et sans intérêt, mais tout change lorsqu’on lui diagnostique une maladie grave qui l’oblige à faire le point sur son existence. Rejetant son quotidien banal et routinier, Williams va alors se dépasser et enfin vivre pleinement sa vie.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Suivre son activité
28 abonnés
Lire ses 95 critiques
4,5
Publiée le 29 décembre 2022
Éblouissant, subtil, émotionnellement très juste, ce film traite de l'archétype de toutes nos vies : avons-nous vécu ? Qu'est ce que vivre ? Que ferions-nous si nous connaissions l'échéance de notre mort ? Sans doute chacune des petites actions, chacun des moments qu'aborde M. williams interprété à la perfection par Bill Nighy !
Si comme l'écrit M. Williams à son collègue (et à nous tous) dans une lettre post-mortem, même si les ...
Lire plus
Coric Bernard
Suivre son activité
166 abonnés
Lire ses 334 critiques
4,0
Publiée le 15 décembre 2022
J’ai beaucoup apprécié ce film anglais adapté du film « IKURU » d’Akira KUROSAWA. Le réalisateur a su reconstituer parfaitement le LONDRES des années 50. La mise en scène est soignée et délicate. On a vraiment plaisir à découvrir ce film et suivre le destin de cet homme qui va complètement changer le cours des derniers mois de sa vie. L’interprétation de ce Monsieur WILLIAMS est magnifiquement incarnée par Bill NIGHY. Ce film ...
Lire plus
velocio
Suivre son activité
837 abonnés
Lire ses 2 736 critiques
3,0
Publiée le 29 décembre 2022
En 1952, le japonais Akira Kurosawa avait réalisé "Ikiru", sorti en France avec le titre "vivre", traduction en français du titre japonais, l'histoire d'un homme qui se métamorphose lorsqu'il apprend qu'il est atteint d'un cancer, un scénario plus ou moins inspiré par "La mort d'Ivan Ilitch" de Léon Tolstoï, une charge contre le conservatisme de la société japonaise minée par un enchevêtrement administratif, une réalisation lorgnant ...
Lire plus
Simon Bernard
Suivre son activité
23 abonnés
Lire ses 210 critiques
3,0
Publiée le 2 janvier 2023
Un peu déçu par Vivre, dont la bande-annonce présentait un questionnement intéressant sur le fait de vivre pleinement sa vie. Le film ne montre pas beaucoup d'actions, peu d'interactions entre personnages et surtout offre une morale "bête" sur l'accomplissement de soi et de que faire de ses 6 derniers mois de vie.
Un soir, alors que l’écrivain Kazuo Ishiguro et le producteur Stephen Woolley dinaient ensemble, Bill Nighy a débarqué à l’improviste. Ce dernier se rappelle : "Ils s’amusent à évoquer des cinéastes majeurs dont les films, pour la plupart en noir et blanc, ont été tournés entre 1930 et 1957." "Ils organisent des quizz entre eux pour voir s’ils sont capables de citer le nom du chef-décorateur, du réalisateur et de l’acteur qui joue
Lire plus
Le choix du réalisateur
Stephen Woolley souhaitait d’emblée engager un metteur en scène qui ne soit pas britannique. Le producteur développe : "On a décidé – et j’y tenais particulièrement – de faire appel à un réalisateur qui n’ait pas un point de vue stéréotypé sur l’Angleterre. J’étais également convaincu qu’il nous fallait un metteur en scène très cinéphile.""Kurosawa et Ishiguro ont en commun une véritable passion pour le cinéma". Le producteur avait vu M
Lire plus
County Hall
L’équipe a non seulement pu tourner dans le célèbre bâtiment londonien County Hall, mais aussi y installer ses bureaux de production. Oliver Hermanus se souvient : "Cela a changé la donne. Quand un film se déroule dans un endroit bien précis, il n’est jamais évident qu’on pourra y tourner. On pense toujours qu’il va falloir amalgamer des milliers de lieux différents. Mais dans ce cas-ci, pour l’essentiel, notre chef décoratrice n’a eu qu’à a
Lire plus