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Synopsis
Cocteau joue ici son propre rôle, celui du poète qui traverse le temps et abolit les distances, celui qui mêle rêve et réalité dans un monde où règne l'esthétique.
Les rêves et les cauchemars de Jean Cocteau! Questions philosophiques et métaphysique qui touchent à tous les domaines de l'artiste! La musique, la poésie, la peinture, le cinéma... Une oeuvre universelle, intemporelle où chaque plan regorge de trouvailles lyriques et ou visuelles!
benoitparis
86 abonnés
1 277 critiques
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3,5
Publiée le 5 août 2011
Prendre le titre au pied de la lettre. Plus qu’une fiction, c’est une variation et un manifeste poético-cinématographiques. C’est du coup au plus près des qualité et des défauts de l’art du réalisateur. Un peu complaisant et mondain (« un cocktail, des Cocteau »…), et décousu dans la forme, mais avec aussi une liberté magistrale, un talent enchanteur dans l’utilisation du pouvoir proprement magique du cinéma. Le propos, ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 16 décembre 2006
Le mérite de l'oeuvre cinématographique de Cocteau, c'est qu'elle est la continuité de sa réflexion sur la poésie, prenant ici comme support la poésie cinématographique; "le Testament d'Orphée" reprend certes des motifs coctéliens, mais n'est pas la répétition de son oeuvre écrite, elle est une nouvelle étape, celle du testament. On découvre dans ce film un talent moins connu de Cocteau, celui d'acteur: sa voix éraillée, sa ...
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Camusduverseau
37 abonnés
778 critiques
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5,0
Publiée le 28 janvier 2007
Film terrible qui parle de la mort non pas comme quelque chose d'horrible en soi, mais comme un transition entre un monde et l'autre. C'est un film très spécial et génial à la fois. A voir absolument.
Il s'agit du dernier film réalisé par Jean Cocteau, qui mourra en 1963, trois ans après la sortie du film.
La fin d'une trilogie
Ce film clôt une trilogie débutée en 1930 avec Le Sang d'un poete, et poursuivie en 1950 avec Orphee (1949). En raison de l'échec de ce deuxième volet, le cinéaste attendra dix ans avant de pouvoir réaliser Le Testament d'Orphée.
Cocteau, Truffaut et Léaud
En mai 1959, Jean Cocteau préside le jury du Festival de Cannes. Il décerne à François Truffaut le Prix de la Mise en scène pour Les Quatre cents coups . Avec l'argent récolté par son film en salles, le chef de file de la Nouvelle vague, grand admirateur du poète, participe au financement du Testament d'Orphée. Jean Cocteau engage pour ce film le jeune héros des Quatre cents coups, Jean-Pierre Léaud. Ultime clin d'oeil, dans La Peau douce de Fran
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De beaux morceaux , parfois élégant parfois presque ridicule Cocteau autobiographie, et donc parle beaucoup de ce qu'il a créé, aimé et de lui même. Intéressant