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Synopsis
Tony Manero a grandi et a mûri. Six ans après s'être déhanché au son du disco, le jeune homme d'origine italienne ambitionne de conquérir Broadway et de devenir une grande star de la danse. En attendant de concrétiser son rêve, Tony partage sa vie entre donner des cours de danse et travailler comme serveur dans une boîte de nuit. Un jour, Jackie, sa compagne, parvient à intégrer une troupe de danse qui se produit à Broadway. Tony va bientôt la rejoindre non sans avoir succombé au charme de Laura, la danseuse étoile du show.
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3,5
Publiée le 8 janvier 2011
La suite moelleuse de la fièvre du samedi soir. Même une suite logique vue l’ampleur de l’événement. Mais ce film reste un très bon film musical.
14caen
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4,0
Publiée le 7 août 2008
Rochy qui passe à la comédie musicale? Heureusement seulement derrière la caméra quoique il fait une toute petite apparition comme passant. "Staying Alive" mérite son déplacement.
Akamaru
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1743 abonnés
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1,5
Publiée le 6 juin 2013
Cette fausse suite de "La fièvre du samedi soir" se contente de reprendre le personnage de Tony Manero mais change tout le reste(contexte,musique,style de danse...). "Staying Alive"(1983) est réalisé par Sylvester Stallone,ceci expliquant beaucoup de choses. On y retrouve son personnage à la Rocky qui vit son rêve américain,les pistes de dancing remplaçant le ring de boxe. On y établit un parallèle avec son culte du corps,Travolta ayant ...
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ER 9395
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46 abonnés
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2,5
Publiée le 10 juin 2013
Cette fausse suite n'arrive pas à la cheville de l'original , à voir quand même pour les très bon numéros de danse .
C'est Frank Stallone, le frère de Sylvester Stallone, qui signe ici la bande originale du film. Il interprète notamment la chanson Far from over sur laquelle danse John Travolta.
Suite de "La Fièvre du samedi soir"
Staying alive est en fait la suite de La Fièvre du samedi soir. Six ans séparent les deux films, ce qui a laissé le temps pour le personnage de Tony Manero de mûrir et de devenir un danseur professionnel.
Entraînement intensif pour Travolta
Pour les scènes de danse, John Travolta a dû se soumettre à un entraînement intensif pouvant aller jusqu'à huit heures de danse par jour. Des séances de musculation et un régime alimentaire très strict étaient également au programme.
Un gros nanar à regarder avec une bonne dose d'alcool dans le sang
Henri Mesquida
La Fièvre du Samedi Soir est un chef d’œuvre incompris, un grand film sur la jeunesse 70’s à Brooklyn, dans un autre genre que les films de Scorsese par exemple, moins centré sur les gangsters et plutôt sous le prisme de la danse.Staying Alive est une suite non logique de ce film, ne faisant revenir que Tony Manero et sa mère, pour broder une toute autre histoire avec de tous autres enjeux, sans forcément trahir le matériau original. Après un dialogue par lequel l’excellent Travolta explique pourquoi on passe un film R-Rated à un film PG-13, le film a les coudées franches pour réinventer son personnage et devenir une simple success story, avec ses amourettes prévisibles mais sympathiques et ses personnages hauts en couleurs. En effet, Laura est bien plus qu’une simple Stephanie 2.0. et Jackie est bien plus intéressante qu’Annette. La principale qualité de Staying Alive, cependant, est aussi son principal défaut : Sylvester Stallone. Réalisateur, scénariste, producteur et même acteur dans un tout petit caméo fugace, son essence transpire à travers tout le film : en effet, Tony Manero¸ c’est Rocky Balboa, c’est Sylvester Stallone… Rien que sur les scènes de danse, là où les danseurs semblait des dieux vivants dans le premier opus, ici ils transpirent abondamment, tels des sportifs. L’acteur s’est approprié le rôle, avec son écriture touchante, mais malheureusement pas très fine et un peu niaise. Ce qu’on perd en critique sociale, on le gagne en émotion réelle et sincère. Là où les gens ont pu s’estimer floués à l’époque, c’est sur le rapport avec le précédent, presque inexistant. Mais si on prend Staying Alive comme un stand-alone, le film se tient.Comme en plus, le film est encore mis en musique par les Bee Gees et que les chansons de Frank Stallone sont plutôt réussies, Staying Alive peut être considéré comme un sympathique divertissement.
Pierre Yves C.
et oui c STALLONE le réalisateur, et ça fait rager plus d'une
greatsayaman
Pas mal cette suite de saturday night fever, meme si on a plus le côté disco de l'ancien...