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Synopsis
Pendant les années 1930 Marseille ressemble à Chicago pour ses luttes sanglantes entre bandes pour le contrôle des activités illégales et très lucratives. Roch Siffredi a perdu son partenaire, François Capella, lâchement tué par un truand. Il est prêt à tout pour le venger.
Pas vu le premier donc je vais noter seulement ce que j’ai vu, sans esprit de comparaison pour le coup. Ce Borsalino and Co est un film de gangsters typique, classieux, divertissant, qui m’a cependant paru manquer d’un scénario plus riche et structuré.
En effet, le film est agréable à suivre. Fusillade, scènes violentes, poses multiples des acteurs qui en font des tonnes mais pour notre plus grand plaisir, final marquant qui reste le ...
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AMCHI
4 249 abonnés
5 892 critiques
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3,5
Publiée le 9 septembre 2010
Malgré l’absence de Bébel cette suite de Borsalino m’a davantage plu ; l’ambiance est plus sombre, il y a plus d’action (de bonnes séquences de fusillades style western) et même quelque instant cruel. Delon est très bon en vengeur. Le scénario lui aussi est plus réussi que le précédent. Dans la mise en scène on retrouve le style nerveux de Flic Story et Le Gang (2 autres réalisations de Jacques Deray avec Alain Delon).
soniadidierkmurgia
907 abonnés
3 967 critiques
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4,0
Publiée le 10 mai 2015
Delon et Deray avaient une revanche à prendre après l'échec cuisant de "Doucement les basses" (1970). Il faut dire que les deux hommes s'apprécient ayant déjà deux films en commun à leur actif sur les neuf qui les réuniront. Delon à l'époque tourne beaucoup (17 films en trois ans) mais surtout il observe que son concurrent direct Jean-Paul Belmondo cartonne au box-office avec des films d'action où sont mis en avant son humour débridé ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 30 avril 2008
Bien meilleur que le premier, même si on perd un peu en fraicheur. Les moyens sont là, le film est beaucoup plus efficace et crédible, du bon spectacle.
Sorti au printemps 1970, Borsalino remporte un triomphe en salles, avec plus de 4 700 000 entrées. Au sommet de leur gloire, Alain Delon et Jean-Paul Belmondo qui avaient pratiquement débuté ensemble dans Sois belle et tais-toi et qui s'étaient également croisés dans Paris brûle-t-il ?, souhaitaient depuis longtemps trouver un projet suffisamment ambitieux pour tourner ensemble. Après leur succès respectif l'année précédente pour Le Clan des Sic
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Après la brouille
Le triomphe de Borsalino fut à l'époque terni par un conflit juridique qui opposa les deux principaux protagonistes du film, Alain Delon et Jean-Paul Belmondo. Le second reprochant au premier de faire apparaître par deux fois son nom sur l'affiche, comme acteur et comme producteur, et de plus avant le sien. Belmondo porta l'affaire devant les tribunaux et gagna le procès. La presse de l'époque profita naturellement de l'occasion pour broder sur
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Un western à Marseille
Ayant envisagé une suite à Borsalino dès la fin du tournage de celui-ci, Alain Delon organise une coproduction avec l'Italie et l'Allemagne et confie une nouvelle fois les commandes du film à Jacques Deray. C'est l'un des deux fameux interprètes de Sacco et Vanzetti, Riccardo Cucciolla qui campe Volpone, l'adversaire de Siffredi et on retrouve à nouveau le célèbre thème musical composé par Claude Bolling . Borsalino&co est une manière de western
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Scénario simpliste à l’extrême, on n'y croit pas une seconde. Il reste le charisme d'Alain Delon pour sauver l'affaire.
John Spartan vous une amende d
Une bonne suite mais infèrieure au premier . L'absence de Bebel y est pour beaucoup 3.5/5 !!!
L'irrationnel
C’est mal narré disons, histoire mal présentée et trop conçue à la va vite. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
shield
Quelle classe ces costumes.
PierreTwo
le papa de Jason Statham joue le chauffeur rapide et garde-du-corps fidèle de Roch-Siffredi/Alain Delon...et cela se passe à Marseilles...son fils allait jouer dans "Transporter"