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Synopsis
Lost in la mancha dévoile les coulisses d'un film inachevé, intitulé L'Homme qui tua Don Quichotte. Pendant plusieurs semaines, Keith Fulton et Louis Pepe ont suivi le réalisteur Terry Gilliam dans son combat désespéré pour sauver un projet qu'il développait depuis plus de dix ans.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Je ne peux m’empêcher de me dire qu’heureusement que ce film existe pour nous consoler de l’abandon du projet initial de Terry Gilliam. Il n’empêche que ce « Lost In La Mancha » devient pour le coup une source d’intérêt énorme à lui seul car il se fait une remarquable peinture de ce qu’est le terrible et parfois dramatique travail de réalisateur…
reymi586
337 abonnés
2 444 critiques
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4,0
Publiée le 2 août 2010
Un making of très intéressant sur un film que l'on regrette de ne pas avoir vu le jour. On voit comment un réalisateur (et quel réalisateur!) dirige et s'occupe de tous sur le plateau. C'est très bien réalisé avec de belles animations. A voir
shmifmuf
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3,0
Publiée le 27 septembre 2012
Récit d'un tournage catastrophe qui permet de voir à quel point un film est une entreprise périlleuse et fragile.
chrischambers86
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11 652 critiques
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4,0
Publiée le 18 février 2016
Don Quichotte, c'est avant tout un homme qui se bat contre des moulins! Un vieil homme qui se nourrit de littèrature romanesque, de lègendes de la grande chevalerie! Un personnage qui dècide de prendre la route et de vivre lui-même ces aventures hèroïques en se fabriquant une armure avec tout ce qui traîne chez lui! Son cèlèbre casque est un plat à barbe avec la dècoupe pour le cou! il selle sa jument Rossinante, un canasson qui ne ...
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L'homme qui tua Don Quichotte n'est évidemment pas le premier film inachevé de l'histoire du cinéma, mais la présence de témoins pour filmer le désastre qui a accompagné ses cinq uniques journées de tournage confère à Lost in la mancha un statut particulier. Abordant de manière inédite la dure réalité de la réalisation d' un film, cet "un-making of" ( ou "non-making of" selon l'expression même des auteurs) est ainsi un documentaire réellement exc
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Don Quichotte de la malchance
Jean Rochefort grimaçant de douleur en montant à cheval, un assistant courant après les caisses contenant la caméra, emportées par un torrent, ou bien encore le producteur René Cleitman annonçant prématurément à l'équipe la fin du tournage, telles sont les images de Lost in la mancha, making of révélant par le menu comment un film particulièrement attendu a pâti d'une succession de malchances invraisemblables pour finalement s'autodétruire avant
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Nouveau regard en coulisse
Keith Fulton et Louis Pepe n'en sont pas à leur première collaboration avec Terry Gilliam puisqu'ils ont déjà produit Hamster Factor and Other Tales of Twelves Monkeys, un documentaire en forme de chronique en coulisse sur l'étrange mariage de l'art et du commerce dans le cinéma Hollywoodien, autour de l'élaboration du précédent film de Gilliam, L'Armée des 12 singes.
Un film culte jamais réalisé. Qu'est ce que j'aimerais le voir.
je vous conseil d'aller voir sur YouTube la chaîne du Fossoyeurs de Films pour ses chroniques.
Moagik
Je l'ai vu il y a quelques années, ça reste pour moi une sortie scolaire au cinéma traumatisante. XD
Manol
Wah!! Quand je regarde mes commentaires et mes fautes de 2010, il y a eu un changement depuis :eek:
B-Lyndon
Mon avis (fin) : Sur le fin - aussi intelligente que le film tout entier - , en revanche, se greffe un bouleversant soupçon de mélancolie. L'on voit alors un Terry Gilliam immensément déçu, tentant encore une fois de trahir sa déception par ses traditionnels sourires. L'on voit également, en gros plans sur un de ses dessins, son Don Quichotte idéal, logue moustache effilé et maigreur affolante, fuyant les moulins comme Gilliam la réalité, et sa tête pleine de rêves, bourré d'extraits tous montés, tous tournés, de ce film qu'il vu, qu'il vécu, qu'il sentit, et enfin, par-dessus tout : qu'il espéra…17/20.
B-Lyndon
Mon avis (suite) : Aussi bouleversant soit-il, Lost in La Mancha reste jouissif jusqu'au bout. Il nous fait rire, passe par de petites crises de paniques à de grosses crises de nerfs, d'une péripétie à l'autre, d'une catastrophe naturelle à une catastrophe financière... Maladie de Rochefort, Coulée de boue, problèmes financiers, budget restreints, absence de Vanessa Paradis, avion survolant le tournage, plateau semblable à un entrepôt...Et il y a l'équipe, l'équipe que l'on suit, cette équipe décomposée et dégoûtée ; et surtout, ce suspense. Ce suspense permanent, frustrant déboussolant..."Est-ce que Jean reviendra ?" "Allons-nous arrêter le tournage où continuer ?" Ce sont des questions comme cela, que se posent sans arrêt tout ce beau monde, tournant en rond, sans énergie et pourtant si agités...Certains se découragent, d'autres non, combatifs jusqu'au bout. Car se film n'est-il pas le symbole du perpétuel combat opposant les rêves contre la réalité ? L'immensité de ce qu'est l'industrie cinématographique Américaine contre celle qu'est l'Europe ? La simplicité contre la difficulté ? Les deux réalisateurs, par un hasardeux concours de circonstances, délivrent leur message : dans la vie, comme sur les tournages, tout n'est qu'enjeux, contrats, problèmes...
B-Lyndon
Mon avis : Nous sommes probablement en Espagne, et au début. Au tout début. Il fait nuit noire, et, pendant que des bruits de fêtes courent de partout, des individus déguisés surviennent sur une place, torches embrasées à la main. Allures grotesques, ils commencent leur parade ; la cape tournoyante, tenant le feu presque entre leurs doigts. Des petits cris de foules. Des pas de danses, des galipettes. Tous sautillent dans tout les sens, enthousiastes, font la ronde, déjantés, insouciants...Sans doute moins que cet homme, assis en tailleur, caméra fixé à l’œil, filmant, visiblement inspiré, en tapant dans ses mains et souriant ; comme un enfant découvrant le monde...Car, tel que l'on nous le montre naïvement, Terry Gilliam est comme un enfant dans ce désastre inévitable. Impuissant. Sourire de hamster, contredit par un visage douloureux ; cette nuit festive où il fut encore plein de rêves et d'énergie. Dans le domaine des making of, ce film bouleversant passe pour un chef-d’œuvre. Il en n'a l'ambition, il en n'a l'émotion. Et l'histoire, surtout : "The Man Who Killed Don Quichotte", ce film inachevé, devenu peu après son annulation le fantasme officiel de bons nombres de cinéphiles.
B-Lyndon
Quand j'ai appris il y a peu que Terry Gilliam devait normalement réaliser son Don Quichotte avec Rochefort, Depp et Paradis, et toutes les catastrophes qui s'étaient abattues sur e projet, j'ai su directement que je tenais mon fantasme de cinéphile !! Je vais essayer de me procurer ce film...
Manol
ouais docu pour moi c'est un film
Olmo
Ce n'est pas un film mais un documentaire (enfin tu as du le remarqué :crazy: )
Manol
putain je suis un très grand fan de terry gilliam et j'ai eu se film pour noel et je vait le regarder. j'ai également eu brazil que je verrais avec plaisir