Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Au milieu du XIXème siècle, seuls les grands voiliers ont la possibilité, avant l'arrivée du chemin de fer, d'assurer la liaison entre le Nord-Est des Etats-Unis et la vallée du Mississipi. Mais il faut tenir compte des récifs de Floride, où échouent les navires. Pilleurs d'épaves et sauveteurs s'affrontent...
Avec Cecil B de Mille nous sommes assurés d'un spectacle de qualité, d'une ou deux histoires d'amour passionnantes, de grands sentiments et d'acteurs toujours mis en valeur. Ce cinéma là, c'est le rêve en permanence, il suffit de se laisser emporter par le scénario toujours de grande qualité et dont le deuxième degré gagne à être discuté avec les spectateurs qui ne le voient pas toujours. Les naufrageurs des mers du Sud est surtout ...
Lire plus
tomPSGcinema
758 abonnés
3 323 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 11 juin 2009
Les Naufrageurs des Mers du Sud est vraiment un très beau film d'aventure.
Réaliser en 1942 par Cecil B. DeMille, il s'agit d'un long métrage particulièrement réussi pour l'époque que ce soit pour les scènes d'actions mais aussi pour ses scènes romantiques.
L'histoire est celle de Loxi Claiborne, propriétaire d'un schooner, qui décide de lancer son voilier dans un ouragan pour secourir un navire en perdition au large de Key ...
Lire plus
chrischambers86
13 804 abonnés
12 441 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 29 mai 2023
Le cinèma est un plaisir rare ; d'autant plus lorsqu'on attend le nom de John Wayne, Ray Milland, Paulette Goddard et Susan Hayward sur une même affiche! Avec "Reap the Wild Wind" (1942), Cecil B. DeMille signe un film d'aventures spectaculaire à gros budget! Au-delà des acteurs qui vivent leur rôle, De Mille a su donner à un triangle amoureux aux rouages fragiles la conviction et l'èmotion nècessaires à la fascination du spectateur! Les ...
Lire plus
Plume231
3 906 abonnés
4 639 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 14 juillet 2010
La quintessence du film d'aventures tournés en studio car au lieu que le film en patisse, au contraire dans les mains de Cecil B. De Mille il en tire au contraire avantage en y utilisant toutes ces possibilités. Le cinéaste tel un grand peintre utilise avec maestria sa caméra, soignant avec une précision d'orfèvre chaque détail de sa mise en scène au niveau des costumes, des décors et bien sûr de la superbe photographie Technicolor de ...
Lire plus