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Synopsis
En 1623, dans un village du Danemark, le pasteur Absalon vit avec sa mère, Merete, et sa seconde épouse, Anne, qu'il a recueillie. Celle-ci ignore tout de ses origines et n'a jamais éprouvé les soubresauts de l'amour. L'irruption presque simultanée dans leur demeure de Martin, le fils qu'Absalon a eu d'un premier lit, et de la vieille Marte Herlofs, accusée de sorcellerie, qui a bien connu la mère d'Anne, va bouleverser la vie de la jeune femme.
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5,0
Publiée le 2 janvier 2014
Comment avec si peu de moyens techniques cinématographique, par rapport à nos jours actuels, réaliser un tel chef d’oeuvre ? On a du mal à croire que c'est possible, c’est en le revoyant que les doutes se lèvent. C’est absolument magnifique. Le sujet semble ne pas nous concerner tellement la majorité des français sont loin de tout cela. Aussi faut -il se rappeler que c’est le 17 ième siècle qui a vu nos fanatiques religieux ...
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Newstrum
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4,0
Publiée le 13 juillet 2017
Encore une histoire de sorcière pour Dreyer qui pourfend la religion et filme en une suite de tableaux (on pense parfois aux tableaux de groupe de Rembrandt) une histoire où les personnages se croient cernés par le pêché et où la mort (ici, la croix du Christ est un gibet) est plus forte que l'amour. Sa maitrise formelle est éclatante. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
Anaxagore
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5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Quelle merveille! «Jour de colère» (1943) est une splendeur dont le visionnage ne peut pas laisser le spectateur indemne. Dreyer nous montre comment les représentants d'un luthéranisme puritain et rigoriste, totalement expurgé de l'amour et de la miséricorde évangéliques, accablent une jeune fille, Anne, qui n'a pas commis d'autres fautes que celle de vouloir aimer et de vouloir être aimée. L'action est située au début du XVIIème ...
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weihnachtsmann
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550 abonnés
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4,0
Publiée le 10 décembre 2019
Le diable est le personnage central du film. Et toute la dramaturgie tente de lui échapper. Il y a un refus du bonheur assumé par le pasteur comme s'il fallait maintenait le danger à merci. La jeune femme pourtant va sortir de son ennui et révéler son côté obscur.
"J'ai souhaité 100 fois ta mort".
Le récit est tendu et sobre à l'excès mais on y trouve un moment de grâce dans les champs lorsque la femme se met à rire.
C'est ironique ...
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Encore une histoire de sorcière pour Dreyer qui pourfend la religion et filme en une suite de tableaux (on pense parfois aux tableaux de groupe de Rembrandt) une histoire où les personnages se croient cernés par le pêché et où la mort (ici, la croix du Christ est un gibet) est plus forte que l'amour. Sa maitrise formelle est éclatante. Voir ma critique complète sur mon blog : https://newstrum.wordpress....
SyphX-
"Ce ténébrisme pictural, reflété par cet affrontement du clair et de l’obscur qui cohabite dans l’homme et le déchire, possède une grande influence sur la disposition de notre âme." Vincent ★★★★★★★★★☆ | Lire la critique complète sur LE BLOG DU CINÉMA :