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Synopsis et détails
"La loi" est celle d'un village d'Italie du Sud, permettant au vainqueur d'un affrontement d'humilier son adversaire. Marietta la met en oeuvre pour mesurer ses prétendants...
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5820 abonnés
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0,5
Publiée le 1 mai 2013
Atmosphère ètrange, envoûtante, que Jules Dassin distille pèniblement dans ce film grotesque inspirè du roman de Roger Vailland, Prix Goncourt! Le cinèaste du merveilleux "Night and the City" nous donne ici son plus mauvais mètrage! il y a dans cette oeuvre, grandeur et familiaritè, cruautè et tendresse, le sens tragique du quotidien, qui aurait mèritè d'être mieux exploitè. "La loi" est un dèsastre que même le talent de Dassin ne ...
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traversay1
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1192 abonnés
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2,5
Publiée le 24 octobre 2016
Lollobrigida, Mastroianni, Brasseur, Montand, Mercouri : casting de roi pour cette adaptation du roman de Roger Vailland. Du lourd pour une vision particulière du sud de l'Italie, dans un village régi par des lois quasi féodales. Sexe, mensonges et humiliations : Dassin n'y va pas de main morte dans ce conte cruel et cynique, volontiers outré y compris dans l'interprétation. La multiplicité des intrigues empêche tout approfondissement, ne ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 4 mai 2013
Des personnages intéressants servis par d'excellents acteurs plus de superbes images cela fait un bon film. Alors si on veut jouer les grincheux on pourrait dire que Dassin avait un scénario idéal pour faire un film plus profond mais halte au maccarthysme!
Prad12
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44 abonnés
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0,5
Publiée le 29 décembre 2016
C'est grandiloquent, c'est emphatique, c'est théâtrale, c'est du Jules Dassin (qui en profite pour faire jouer son fiston) qui avec un casting démentiel n'arrive pas à la cheville du moindre film italien de ces années là..... aucun humour, aucune distance, aucune tendresse, aucun cynisme ne vient égayer ce long navet où tout le monde surjoue avec un côté nouvel vague insupportable qui fait qu'on a pas l'impression de voir la vie mais un ...
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L'acharnement mis par Gina-Mariettta à tendre le buste, montre à quel point dans les sociétés éternelles ,une simple poitrine peut décider de la vie d'une femme.Ce film en est presque une caricature , plan par plan. On comprend dès lors que la puissance ne se trouve pas dans les muscles de l'homme mais dans les corsages qui les attirent et les enchaînent .Superbe évocation solaire et érotique dont l’archaïsme d’époque et de lieu n'est qu'une apparence . Aujourd'hui les hommes baissent les yeux pour ne pas être accusé et les femmes sont sur le point de sanctionner leur regard. Drôle de monde .La maîtrise est donc passé à un stade législatif mais les corsages ont disparu au profit de la revendication administrative au plaisir. Délirant. Comme si ces dames vivaient cousues depuis des millénaires. Comme si l'Italie n'avait pas , comme toutes les sociétés européennes traversé des époques à balanciers ? Perso je préfère Gina qui était ,il faut le dire, beaucoup plus redoutable et efficace que nos girls power aux épaules bientôt épaissies mais au string toujours en second rideau. Et puis , on bout de la route ,Marietta n'a t elle pas réussi a regagner le seul regard qui comptait ? Envoûtant grâce au soleil et aux pierres lépreuses. Montant n'avait pas acquit la stature qu'on lui a connu ensuite.
Roger M.
Merci de me faire savoir sous quelles conditions je peux voir ce film.