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Synopsis
Quand elle raccroche le téléphone après un à tout de suite de son amoureux, elle sait bien sans le savoir encore ce qu'elle ne savait pas du tout : celui qu'elle aime, ce prince de nulle part, il est bandit, il vient de commettre un hold-up, il y a mort d'hommes. C'est dans les années 70, elle a 19 ans, et tout de suite justement, comme on rêve éveillé, elle bascule tête la première de l'espace contraint par l'appartement paternel - longs couloirs, beaux quartiers - à une géographie fugueuse - de l'Espagne au Maroc et à la Grèce - et d'une vie de jeune fille presque rangée à sa vie comme elle l'aura voulue pour le meilleur et pour le pire.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
A evitez absolument! Ce film "d'auteur" tourné en noir et blanc est bien prétentieux... le rythme est particulièrement lent, on entend les mouches voler pendant les quelques blancs ou le dialoguiste s'est endormi... Il n'y a quasiment aucune action et Isilde le Besco est une actrice et ca se voit tellement qu'il est impossible de rentrer dans ce film terriblement ennuyeux.
Un visiteur
1,0
Publiée le 10 août 2010
je suis en colère... voilà un film unanimement célébré par la critique comme un petit joyaux en noir et blanc, suffit de lire plus haut... et pour tout vous dire, je suis plutôt bon cinéphile, rester trois heures dans une salle à matter un film obscure ne me dérange pas mais là, c'est trop, parfois on se fout de ntre gueule! on dirait un court métrage amateur sur une heure et demi, avec des cadres approximatifs, une belle lumière ...
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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film n'a pas grand intérêt. Il est très lent (et une lenteur qui n'apporte rien, qui tourne à l'ennui). Le film ne se contente que de décrire une histoire réelle sans originalité, sans mise en perspective. Isild Le Besco ne se contente de jouer ce qu'elle a toujours joué (une fille un peu hystérique) et est sans relief. Bref, à éviter....
Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Le titre est trompeur! Ce n'est pas "A tout de suite" mais "A jamais" qu'aurait dû se titrer ce film d'une lenteur incroyable. Inconcevable pour un film dit "road-movie". Aucune vivacité chez les acteurs, Isild Le Besco subit les évènements au lieu de les vivre, c'est d'une platitude totale.
A tout de suite a été présenté en Sélection officielle au Festival de Cannes en 2004, dans le cadre de la section Un Certain Regard.
Jacquot en liberté
Après avoir tourné des films à gros budget avec de grandes vedettes (Sade avec Daniel Auteuil, Adolphe avec Isabelle Adjani), Benoît Jacquot change d'économie avec A tout de suite, tourné en DV, en noir et blanc. Il s'en explique : "Ce n'est pas tant un sujet qui m'entraîne, mais le fait d'organiser, de concevoir un film autour d'un seul personnage qui sera le noyau du film. Cela induit une forme particulière (...) j'éprouve régulièrement une sor
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Princesse Isild
Héroïne d'A tout de suite, Isild Le Besco était à l'affiche des deux précédents films de Benoît Jacquot : Sade et Adolphe. Le cinéaste l'a également fait tourner en 2002 dans son téléfilm Princesse Marie, avec Catherine Deneuve. Il parle de sa nouvelle muse: "Isild a un côté risque-tout qui m'hallucine. Pour elle, c'est parfaitement naturel ! Elle a profité récemment d'un Festival en Chine pour prolonger son séjour sur les routes pendant une qui
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charme envoûtant, un Paris autrement qu'aujourd'hui... ça a existé. ce qui m'a plu : leur naturel de jeunes acteurs, les traits d'Isild le besco et voir Nicolas Duvauchelle, là aussi son personnage est sombre, dense, impulsif par moments. Des films que je découvre et aussi un filon de jeunes hommes un peu les mêmes, que ce soit "le petit voleur", "les corps impatients", "poids léger"... celui là; normal qu'il voulait cesser. Autant leur laisser jouer des autres hommes, parfois bad boy, parfois gentils comme dans Avril, parfois différents comme dans "les yeux de sa mère".là j'aime bien aussi et en noir et blanc, ça gomme les contours.c'est à une époque où les rues n'étaient pas sous caméras.le réalisateur avait aussi fait "une fille seule" avec Virginie Ledoyen qui est là, "room service" et qui bataille pour mener une existence sans dépendre de famille ou d'homme de décider aussi....
angelabassompierre
déjà en NB et ensuite, musique pas mal, ça plonge en une autre époque, ça on peut comprendre ce qu'ils veulent dire par "film alimentaire", seulement si peu d'entrées, c'est un flop. jamais entendu parler, il a dû être film d'auteur, en art et essai, "une fille seule", room service, j'ai bien aimé, ensuite, c'est clair ce n'est pas ramifié en tous sens... la presse a aimé, si j'arrive à l'avoir à la médiathèque, je peux toujours avoir mon idée... pour poster un commentaire.