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Synopsis
A World Park, parc miniature réunissant les monuments les plus célèbres du monde entier, dans lequel travaille Tao. Chaque jour, elle chante et danse devant le public. Son ami, Taisheng, est l'un des gardes du parc à thème. Mais leur relation est compromise : Taisheng est attiré par Qun, une jeune styliste...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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66 abonnés
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5,0
Publiée le 22 novembre 2012
Un bonheur bu comme du petit lait à sa sortie française en 2005. Toujours plaisant à condition de se laisser emmener dans un système qui dédouble. Berce d'emblée par une musique venue du cosmos, réplique terrestre où s'imbriqueraient des images virtuelles. Rien à voir avec un conte de fées. Plus proche de la fête foraine. Y défilent les tendances monstrueuses des conditions de travail et l'envie individuelle d'exister quand même ...
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Arthur Debussy
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103 abonnés
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3,0
Publiée le 10 novembre 2020
Un film un peu trop long, d'une qualité certaine mais pas de façon suffisamment soutenue pour m'en avoir laissé un souvenir impérissable. Dommage que l'esthétique façon «Plus Belle La Vie» et la musique cheap ne permettent pas une immersion digne de ce nom dans le long métrage... En résulte une sorte de malaise, «The World» n'est ni un documentaire ni une fiction, ou alors un peu des deux. Manifestement, Jia Zhang Ke a voulu ce ...
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BigDino
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5 abonnés
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2,0
Publiée le 1 février 2016
Bien construit, mais sans avoir grand chose à raconter derrière. L'idée de voyager dans les contrées et les styles sans bouger est séduisante, et de suivre une histoire à la mode de différents pays. Mais c'est au final assez creux, et long pour ne pas dire grand chose. Déception.
velocio
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701 abonnés
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2,5
Publiée le 8 février 2017
Un film dont le défaut principal réside dans le grand nombre de personnages, ce qui, en soit, n'est pas rédhibitoire, à condition que ces personnages soient bien identifiables ce qui, ici, est loin d'être toujours le cas !
Le nouveau film de Jia Zhang Ke traite d'un thème nouveau dans sa filmographie : la ville, et plus particulièrement la vie urbaine. Jusqu'ici, il avait toujours tournés ses films dans sa province natale au nord de Shanxi. Mais depuis dix ans qu'il vit à Pékin, il a pu observer l'urbanisation accélérée que subit la Chine : "Les gratte-ciel pousse comme des champignons, mais les corps humains s'abiment à la même vitesse, avoue-t-il, Il est tro
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Le parc de "The World"
"Les monuments du parc servent à satisfaire la curiosité des gens pour le reste du monde, confie le réalisateur. Ce parc montre aussi l'impatience des chinois à faire partie d'une culture globale. Je cois que nos impressions du monde sont en fait celles de notre propre vie dans notre environnement. Chacun ne voit les choses que depuis son propre point de vue. Cette chose que nous appelons "le monde" est en fait notre petit coin du
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Communication virtuelle
"Le sms est l'outil de communication préféré des jeunes. Ils l'utilisent pour se saluer, donner des rendez-vous et même pour se dire des choses qu'ils n'oseraient pas dire en face, raconte le réalisateur. Je crois que le fait d'insérer ces messages dans le film m'a donné un petit peu la chance de travailler comme les réalisateurs de films muets. Ces cartons peuvent être vus comme une voie intérieure ou comme un mot de passe pour faire évolue
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Un bonheur bu comme du petit lait à sa sortie française en 2005. Toujours plaisant à condition de se laisser emmener dans un système qui dédouble. Berce d'emblée par une musique venue du cosmos, réplique terrestre où s'imbriqueraient des images virtuelles. Rien à voir avec un conte de fées. Plus proche de la fête foraine. Y défilent les tendances monstrueuses des conditions de travail et l'envie individuelle d'exister quand même (besoin d'être respecté, soigné, éduqué, aimé, consolé). Sauver la face quoi qu'il arrive. Curieux mélange de paillettes et de misère. Pointe la détresse humaine derrière l'apparat. D'une rare élégance pleine d'humour pourtant, signal que le réalisateur assume. Il semble dire, tenez, voici de quoi anticiper la mondialisation à son paroxysme. Depuis le tournage (2004), sa vision du monde s'avère moins caricaturale. Au point qu'on puisse s'en offusquer tant la réalité tend à y conduire nombre d'entre nous.