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Synopsis
50 ans, huissier de justice, le coeur et le sourire fatigués, Jean-Claude Delsart a depuis longtemps abandonné l'idée que la vie pouvait lui offrir des cadeaux. Jusqu'au jour où il s'autorise à pousser la porte d'un cours de tango...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 962 abonnés
11 651 critiques
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4,5
Publiée le 19 novembre 2021
Un huissier de justice laminè par la vie! Un homme qui se rèsigne à une existence de solitude et de tristesse jusqu'au jour où il dècide de franchir le pas en participant à un cours de tango! Stèphane Brizè se base sur toutes les opportunitès que l'on manque, sur les difficultès que l'on rencontre alors que de simples èchanges suffiraient a les rèsorber! Une rencontre et la sensualitè de la danse raniment les braises prêtes à ...
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Antonin T.
35 abonnés
48 critiques
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2,5
Publiée le 15 février 2013
Je ne suis pas là pour être aimé... C'était peut être le film?
Gonnard
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1 930 critiques
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2,5
Publiée le 28 janvier 2014
Au moins le titre annonce d'emblée clairement la couleur. Le costume d'huissier aigri va comme un gant à un Patrick Chesnais égal à lui-même, c'est-à-dire peu expressif mais assez touchant. Le concept du film est assez emballant, malheureusement l'intrigue s'étiole rapidement et les longueurs finissent pas devenir soporifiques. Évidemment, il y en aura toujours pour dire "blabla, ces longueurs mettent en valeur ceci ou cela, blabla, ce ...
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Maqroll
114 abonnés
1 123 critiques
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2,5
Publiée le 7 juin 2009
Je n’ai pas vu le premier film de Stéphane Brizé, je n’ai donc pas d’élément de comparaison. Celui-ci m’a laissé un sérieux goût d’inachevé. De bonnes intentions ne suffisent pas à faire un bon film. L’ensemble donne une impression d’inachevé, d’un discours interrompu et un peu trop timide. Rien n’est mauvais mais c’est à peine moyen partout et surtout le film a les défauts de ces vies qu’il expose, frileuses et ternes.
Pour Stéphane Brizé, ce film est parti de l'envie toute simple d'observer un homme absolument incapable d'exprimer ou de recevoir la moindre émotion à un moment de fragilité de sa vie."En plaçant mes personnages face à ce dilemme, explique le réalisateur, j'observe les raisons invisibles qui les amènent à agir d'une manière ou d'une autre, laissant apparaître le paradoxe de certaines de leurs décisions qui vont parfois à l'encontre de leurs désir
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Premier contact entre Chesnais et Consigny
Une fois établi le choix des comédiens principaux, Stéphane Brizé a réuni Patrick Chesnais et Anne Consigny dans une salle, a mis un disque de tango et leur a demandé de danser ensemble... Le réalisateur se souvient : "Dès les premières mesures, avec une évidence incroyable, le couple existait. Ils ne connaissaient pas un pas de tango et je savais pourtant que c'était eux. Le lien invisible qui existe entre Jean-Claude et Françoise est le coeur a
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Cours de tango
Patrick Chesnais et Anne Consigny ne dansaient pas un pas de tango au début de la préparation du film. Quelques mois avant le tournage, les deux comédiens se sont donc retrouvés plusieurs fois par semaine avec une coach pour prendre des cours particuliers."Ce qui m'intéressait, explique le réalisateur, c'était qu'ils intègrent un certain nombre de pas de base et soient assez à l'aise pour qu'une émotion puisse naître entre euxau moment du tournag
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Il faut savoir que la distribution des rôles fut accompagnée de balais, histoire que tout le monde ait l’air bien tendu. Je plaisante mais avouez qu’ils ont tous des balais dans le c*ul ! L’enjeu de cette comédie dramatique sur fond de romance est assez évasif. Au départ on découvre un homme austère et son effroyable routine. Même s’il faut des huissiers de justice, on ne peut pas dire que cette profession soit réjouissante. Le simple fait de prendre tout à quelqu’un qui n’a pas grand-chose… Bref. Ajoutons à cela la morosité de l’automne et l’humeur corrosive des protagonistes, et c’est la corde assurée. On a vraiment envie de se pendre au moins autant qu’eux. De plus, les dialogues sont d’une banalité absolue. C’est triste, mou, on s’ennuie. Et c’est très dommage car au milieu de cette morosité, il y a l’amour. Sans effusions d’aucune sorte, non, le plus simple et pur qui soit. Le spontané, celui qu’on n’attend pas, ou plus. Patrick Chesnais et Anne Consigny font preuve d’une pudeur qui ne laisse pas indifférent. Être incapable d'aimer ou d'être aimé en retour ; tel est la problématique deStéphane Brizé à travers ces interactions humaines très simples et néanmoins sincères. Les non-dits et les regards font le reste. Le temps qui nous reste est bien trop précieux pour s’enliser dans la résignation et la fatalité. Même une femme fiancée de longue date peut encore succomber à l’aigreur d'un quinquagénaire dépressif. Une sinistre existence chamboulée par la mort d’un père irascible, mais dans le fond aimant. Ce film a tout pour émouvoir aux larmes, alors pourquoi me suis-je tant ennuyé ?! Encore et toujours une histoire de rythme, et peut être aussi de consistance, car les dialogues sont décidemment trop maigres. Une façon comme une autre de passer à côté d’un grand moment. Grosse déception. 2,5/5
PowerKing - Les Chroniques du
Il faut savoir que la distribution des rôles fut accompagnée de balais, histoire que tout le monde ait l’air bien tendu. Je plaisante mais avouez qu’ils ont tous des balais dansle cul ! L’enjeu de cette comédie dramatique sur fond de romance est assez évasif. Au départ on découvre un homme austère et son effroyable routine. Même s’il faut des huissiers de justice, on ne peut pas dire que cette profession soit réjouissante. Le simple fait de prendre tout à quelqu’un qui n’a pas grand-chose… Bref. Ajoutons à cela la morosité de l’automne et l’humeur corrosive des protagonistes, et c’est la corde assurée. On a vraiment envie de se pendre au moins autant qu’eux. De plus, les dialogues sont d’une banalité absolue. C’est triste, mou, on s’ennuie. Et c’est très dommage car au milieu de cette morosité, il y a l’amour. Sans effusions d’aucune sorte, non, le plus simple et pur qui soit. Le spontané, celui qu’on n’attend pas, ou plus. Patrick Chesnais et Anne Consigny font preuve d’une pudeur qui ne laisse pas indifférent. Être incapable d'aimer ou d'être aimé en retour ; tel est la problématique de Stéphane Brizé à travers ces interactions humaines très simples et néanmoins sincères. Les non-dits et les regards font le reste. Le temps qui nous reste est bien tropprécieux pour s’enliser dans la résignation et la fatalité. Même une femme fiancée de longue date peut encore succomber à l’aigreur d'un quinquagénaire dépressif. Une sinistre existence chamboulée par la mort d’un père irascible, mais dans le fond aimant. Ce film a tout pour émouvoir aux larmes, alors pourquoi me suis-je tant ennuyé ?! Encore et toujours une histoire de rythme, et peut être aussi de consistance, car les dialogues sont décidément trop maigres. Une façon comme une autre de passer à côté d’un grand moment. Grosse déception. 2,5/5
angelabassompierre
Pas mal, il a une tête à être huissier.... "arme Leute!" et pour narguer, ils jouent au monopoly! ah ah ah
angelabassompierre
cool, j'aime les films troublants, as tu aimé"pas son genre" il est carrément dérangeant et les phrases du réal disant que jennifer avait quelque chose à défendre, on dirait qu'elle s'interdit l'avenir, ok je n'en dis guère plus pour que tu puisses découvrir, aimer.... le livre le raconte pareil.
7eme critique
Stéphane Brizé offre des histoires dramatiques avec un réalisme étonnant en s'appuyant sur des situations et dialogues particulièrement intéressants. Ce long-métrage nous entraîne dans cette voie qu'il a choisi, et qui fera sa marque de fabrique, à savoir la tristesse des individus, en proposant de la solitude, de l'incompréhension, des relations compliquées et j'en passe... Ses films sont forts et partagent une écriture divine, à tel point que le spectateur ne mettra pas longtemps pour s'infiltrer dans la tête du ou des personnage(s) présenté(s). Dans l'ensemble, tout est bien retranscrit, "Je ne suis pas là pour être aimé" s'attaque donc aux situations sociales et familiales tout comme son dernier film, "Quelques heures de printemps" (où ce dernier sera bien plus fort encore) et ne lassera pas par cette observation réfléchie et traitée avec talent. Que le film soit notre tasse de thé ou non, il sera impossible de reprocher un quelconque manque de finesse et de réalisme.3,5/5
villejuifswan
lent et ch...
colinmac
Pas d'intrigue mais de la pudeur, de l'émotion, de la délicatesse. Troublant