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Synopsis
Ma Yung Cheng quitte Shantung pour construire une vie meilleure à Shangai. Il se lie d'amitié avec Hsiai Chiang Pei, tombe amoureux et trouve du travail chez un gangster local. Quand il commence à défier les plus grands champions de kung-fu, son rival Yang Shuang lui tend un piège...
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2,0
Publiée le 18 mai 2013
Appréciant les films de la Shaw Brothers je n'avais encore jamais vu Le Justicier de Shanghaï bénéficiant d'une bonne réputation mais au final c'est plutôt une déception. Le Justicier de Shanghaï est une sorte de Parrain chinois (je pense au film de Coppola voire Il était une fois en Amérique) mais dans ce film Chang Cheh montre ses limites dans les scènes hors combats, peu passionnant à suivre l'ascension de Ma Yung Chen finit ...
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Abarai
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1,0
Publiée le 8 octobre 2011
Le justicier de Shangaï est LE gros nanar des films d'arts martiaux chinois. Tout dans ce bordel prête à sourire, que ce soit la mise en scène abusant du zoom pour des scènes d'anthologie comique, l'absence de scénario, les bruitages irréalistes ou encore le "jeu" des "acteurs", parfaitement risible. Peut-être le chef d'oeuvre des navets.
NeoLain
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0,5
Publiée le 20 mars 2012
Ce justicier m'a bien déplu et déçu. Le culte réalisateur Chang Cheh est pourtant là, certes en collaboration avec un autre réal mais il est derrière la caméra. Enfin, ne restons pas là dessus le soucis vient d'ailleurs, car le visuel est pas faiblard, le scénario qui lui oui sans parler des acteurs peut emballant. Combat assez repoussant, sans pour autant oublier le big long final qui me marqua pas du tout, mais tout de suite on pense ...
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Gonnard
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0,5
Publiée le 20 juin 2009
Le nanar asiatique de base. Scénario indigent, en résumé ils passent leur temps à se mettre sur la tronche. Des bruitages ridicules destinés à rendre les combats plus spectaculaires. Des effets spéciaux qui ne sont pas moins minables, par exemple le sang sauce-tomate. Un héros arrogant, increvable, capable de mater cinquante types armés avec ses seuls poings (un classique du cinéma asiatique). Pour couronner le tout c'est long (plus de ...
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