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Synopsis
1890. Une nuit, Georges Randa décide de revenir sur sa carrière de voleur. Orphelin sous la tutelle de son oncle, il revient à Paris, où il pense épouser Charlotte, sa cousine. Ne l'attendent que ses désillusions : l'oncle a détourné sa fortune et sa cousine est promise à un autre. Par dépit et par vengeance, il vole des bijoux et s'enfuit. Georges rencontre l'abbé La Margelle qui dirige une bande de truands, à Bruxelles. Il devient rapidement une figure importante des milieux interlopes.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Louis Malle adapte en 1967 le roman de Georges Darien et offre à Jean-Paul Belmondo un magnifique rôle ....Loin de l 'Homme de Rio et aux antipodes de Jean-Luc Godard il apparaît ici froid et cynique en interprétant georges Randal ,voleur par dépit ,puis par plaisir comme le dit son personnage aussi sombre que la nuit .La caméra du cinéaste suit la vie de cet homme traversant une partie du XIX éme siècle en dressant un bilan dénonçant ...
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Gérard Delteil
139 abonnés
1 814 critiques
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4,5
Publiée le 30 décembre 2016
Superbe adaptation de l'incontournable roman de Georges Darien. La reconstitution de la fin du 19ème siècle est parfaite et les comédiens impeccables, de Bernadette Lafont dans un tout petit rôle à Julien Guiomar, délicieux dans son personnage de prêtre truand. Belmondo entre pour sa part entièrement dans la peau de ce vrai faux gentleman cambrioleur. On remarque aussi Charles Denner et Marie Dubois, parfaite en courtisane perfide. Ce ...
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Max Rss
151 abonnés
1 687 critiques
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4,0
Publiée le 21 juillet 2013
Quand Louis Malle l'un des réalisateurs français les plus estimés fait tourner l'un des monstres sacrés du cinéma français en la personne de Jean-Paul Belmondo, cela donne «Le Voleur», une œuvre injustement méconnue que ce soit dans la carrière de Malle ou de Bébel. Dans ce film, ce dernier est beaucoup plus discret. Pas de gouaille, pas de cascades, mais un rôle qui demande beaucoup de sobriété. Bébel joue le rôle de George ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un film injustement méconnu.De grands acteurs, pour une interprétation très convaincante du roman de Darien.A voir et à revoir...
Le Voleur est l'adaptation du roman du même titre, écrit en 1897 par Georges Darien, auteur anarchique dont les œuvres sont grandement marquées par un sentiment de révolte contre l'ordre établi. C'est d'ailleurs en raison de connivences politiques avec ce dernier que le réalisateur Louis Malle a décidé d'adapter l'un de ses romans. Ainsi, véritable réflexion sur l'argent et le pouvoir qu'il confère, son long-métrage dépeint George Randal comme un
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Une poigne de fer dans des gants... de velour ?
Avec ce film, le réalisateur souhaitait se distinguer de la bourgeoisie aussi bien dans la forme que dans le fond et a ainsi opté pour un style naturaliste, loin du romantisme qui entoure traditionnellement les personnages de voleurs. L'accent est donc moins mis sur le faste des butins (comme c'est souvent le cas dans les films mettant en scène Arsène Lupin), que sur l'aspect routinier et pragmatique des cambriolages.
Un voleur à contre-emploi
Le réalisateur Louis Malle et son scénariste Jean-Claude Carrière ont tout de suite pensé à Jean-Paul Belmondo, dont "Le Voleur" était un des livres favoris. Bien que ce dernier était alors à l'apogée de sa popularité, le public a boudé le film, qui fut un échec au box-office. Les années ont cependant joué en faveur du long-métrage, puisqu'il est aujourd'hui considéré comme un classique.
peut être mon bebel préféré, et pourtant découvert uniquement il y'a quelques années car jamais diffusé a la télé
gaston l
Tres bon film avec des acteur vraiment tres bons
Frankie Machine
j'avais rarement vu Geneviève Bujold aussi magnifique. sa beauté s'est rapidement fanée. la pauv'
Frankie Machine
ça fait penser aux histoires de Vidocq dans ses Vrais Mystères de Paris. Bonne galerie de personnages mais rien de bien folichon non plus. Un film qui s'oublie vite.
Chala Ltds
C'est un film qui peut traverser le temps. Visible en 2013 sans avoir pris de ride. A voir pour fêter les 80ans de Jean-Paul belmondo.