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Synopsis
Rome, 1930. Alors que sa famille s'est exilée en province, Liberia, restée en ville, s'oppose fermement au fascisme, et devient la cible d'un dignitaire du régime.
Mauro Bolognini pose sa caméra au début des années 1970 dans une Italie politiquement secouée par une certaine nostalgie et attirance pour le fascisme s'élevant au sein de la jeunesse de cette époque .. Certains cinéastes s'appliquèrent à informer sur la dure réalité que furent ces années là .. Vittorio De Sica "Le Jardin des Finzi Contini". Ettore Scola "Nous nous sommes tant aimés" Bernardo Bertolucci "1900" ...Sur une période ...
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AMCHI
3 615 abonnés
5 891 critiques
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2,5
Publiée le 22 mai 2013
Pas aussi passionnant ni aussi fort à ce à quoi j'espérais ; Libera, mon amour reste un beau film. Après un début laborieux, l'histoire devient plus sombre et dramatique mais le récit va parfois un peu trop vite, certains passages auraient pu être plus exploités. Claudia Cardinale est belle mais je n'ai pas réellement réussi à m'attacher à son personnage. Quant à la musique d'Ennio Morricone elle est toujours aussi belle. Sans raté ...
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chrischambers86
8 944 abonnés
11 636 critiques
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4,0
Publiée le 27 juillet 2013
Encore une très belle oeuvre de Mauro Bolognini qui prend de la distance par rapport à son sujet où l'on n'a, de mèmoire, pas souvent vu un personnage fèminin comme celui de Libera Valente! Un èpisode tragique de l'Histoire italienne rèvèlè dans un mèlange ètonnant de drame et de lègèretè, de cruditè et de dèsinvolture! A travers cette èpisode dramatique, le rèalisateur cherche avant tout à montrer la continuitè du fascisme ...
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ronny1
23 abonnés
895 critiques
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3,5
Publiée le 11 avril 2018
Mauro Bolognini n’a jamais caché son aversion du fascisme, ajouté à un vrai sens social, qui, à partir de la fin des années cinquante lui fera prendre le parti des déshérités, à quelques exceptions près. Dans « Liberté, mon amour », son réquisitoire anti mussolinien évite d’aborder ces problèmes de classe, au delà d’un bref discours sur le pouvoir de l’argent, évitant ainsi d’affadir le propos. En effet, l’héroïne, ...
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