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Synopsis
Henri Ferret, un jeune médecin, vient s’installer en banlieue parisienne.Très vite, il reçoit la visite de nombreux patients blessés par des morsures de chiens. Des chiens de garde que les habitants ont achetés à un éleveur charismatique afin de se protéger des agressions nocturnes.
Un film qui cherche à dénoncer une société qui ne sait trouver que de fausses bonnes solutions (comme souvent !).
Et il y parvient plutôt bien, en sachant donnant un caractère nuancé à ses personnages principaux, dans une situation qui l'est moins.
Ici, ce sont des chiens pour répondre à la violence par la violence.
Des chiens pour se protéger des délinquants, qui eux finissent par se trouver sans protection, avec les dérives que ...
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BlindTheseus
227 abonnés
2 566 critiques
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5,0
Publiée le 9 mars 2008
Que dire ?..
Freaks101
115 abonnés
619 critiques
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3,5
Publiée le 21 mai 2011
Dérive sécuritaire dans une banlieue résidentielle triste et froide. Alain Jessua fait le portrait de français moyens moutonniers, prêt à tout les sacrifices pour conserver leur tranquillité, il montre aussi la peur qui gangrène les cerveaux. Son film n’a rien perdu de sa pertinence.
pierrre s.
291 abonnés
3 148 critiques
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3,5
Publiée le 28 octobre 2018
Un bon film sur les dérives sécuritaires au climat inquiétant, en grande partie grâce aux décors (Marne la vallée ressemble à une cité fantôme) et à de bons acteurs.
Alain Jessua ne déçoit jamais et ce les chiens ne fait pas exception , un film sur l insécurité dans les banlieues à la fin des années 70 (début 80) , sur le racisme , sur le vigilantisme (auto-justice) , et surtout sur la relation parfois trouble et malsaine que certains maître ont avec leur chien . Jessua était un avant-gardiste , ce film est dérangeant et donne à réfléchir . les acteurs sont tous bons et la photo est très belle .seul petit bémol > la musique assez agaçante (comme souvent chez Jessua) .
FRYCHAR
Amour bête...dans les mots croisés à la définition "amour bête" en 3 lettres la réponse est rut .Il est normal pour un chien de n'éprouver aucun sentiment d'amour au sens humain pour la femelle lorsqu'il est en rut, et de ne pas s'inquiéter de son devenir lors de l'accouchement .Il est beaucoup moins normal pour un homme comme Morel de faire une déclaration d'amour à une chienne, et de s'inquiéter des difficultés d'accouchement d'une chienne comme s'il s'agissait d'une femme...Bref , le film évoque la folie des hommes qui éprouvent un amour exagéré pour les bêtes...
zenheat
Excellent, et tout à fait d'accord avec la courte analyse de beautifulfreak :)
beautifulfreak
Le malaise de la banlieue et les dérives sécuritaires 30 ans avant.