Durant l'occupation, dans un village du Jura à la limite de la zone libre, la résistance s'organise, obligeant les habitants à prendre position et à se dévoiler.
Dans un parc de Londres, un jeune photographe surprend ce qu'il croit être un couple d'amoureux. Il découvre sur la pellicule une main tenant un revolver et un corps allongé dans les buisssons...
La vie de l'âne Balthazar, plongé au milieu des drames humains et qui en meurt. "Je voulais que l'âne traverse un certain nombre de groupes humains qui représentent les vices de l'humanité. Il fallait aussi, étant donné que la vie d'un âne est très égale, très sereine, trouver un mouvement, une montée dramatique. C'est à ce moment que j'ai pensé à une fille, à la fille qui se perd."