Films publicitaire commande par la Societe d'Electricite du Hokuriku, region du Nord prsie en etau entre la barriere montagneuse des Alpes japonaises et la mer du Japon.
Chaque mois, un grand nombre d’infirmiers du Sud de l’Italie traversent tout le pays pour tenter leur chance à un concours public qui se déroule dans les villes du Nord. Pour économiser, ils voyagent de nuit, à bord d’autobus low cost, afin de passer l’examen à l’aube. Ils portent chacun leur histoire, racontant d’une seule voix leurs espoirs et leurs peurs pour le futur. Un road-movie documentaire au plus près des victimes de la crise sociale et économique italienne.
Mettant en pratique son mantra "il est plus facile d'élever des garçons que de réparer des hommes brisés", Jason Wilson de l'académie d'arts martiaux à Détroit, prend sous son aile des adolescents noirs et leur inculque les valeurs positives du sport.
Dans le long métrage documentaire animé "Verser l'eau comme je pars", de courageux survivants de la guerre de Bosnie-Herzégovine dans les années 1990, désormais en diaspora, guident deux personnages qui tentent d'échapper à la même zone de guerre.
L'éradication de la variole représente l'un des plus grands triomphes de la médecine moderne, mais en 1972, un chapitre peu connu de l'histoire de cette épidémie s'est joué en Yougoslavie.
Visite du zoo de Salzbourg, où le premier confinement a apporté avec lui un étrange silence. Mais la vie des animaux du zoo se poursuit même sans visiteurs.
Filmé sur plus de quatre ans, le documentaire suit Kristal Bush, une jeune femme de Philadelphie qui a vu presque tous les hommes de sa vie finir en prison.
Des détenues révèlent leur isolement en tant que mères, amantes, amies et codétenues au sein de la seule prison pour femmes du Canada, à Kingston en Ontario.
Gaétan Hart se bat pour gagner son steak, mais aussi parce qu'enfiler les gants et donner tout ce qu'il a en avalant les coups lui confèrent de la dignité...
Anikó et Laci résident dans une petite ville hongroise. Avant de gagner deux millions d'euros à la loterie en 2013, ils vivaient dans des conditions précaires.
Le directeur de la photographie soviétique Leonid Burlaka a travaillé au studio de cinéma d'Odessa dans les années 60. Il est maintenant octogénaire et souffre de la maladie d'Alzheimer. Son petit-fils et jeune cinéaste, Igor suit les traces laissées par son aïeul.