Mon compte
    Charles Grodin
    Ils nous ont quittés en 2021 : Jean-Pierre Bacri, Jean-Paul Belmondo, Bertrand Tavernier...
    News - Stars

    Ils nous ont quittés en 2021 : Jean-Pierre Bacri, Jean-Paul Belmondo, Bertrand Tavernier...

    Alors que la fin de 2021 approche, hommage aux figures du grand et du petit écran disparues cette année.
    lundi 1 novembre 2021
    Mort de Charles Grodin, inoubliable père de famille dans Beethoven
    News - Stars

    Mort de Charles Grodin, inoubliable père de famille dans Beethoven

    Notamment célèbre pour son rôle de George Newton, attendrissant et colérique père de famille dans "Beethoven", l'acteur…
    mercredi 19 mai 2021
    "Pretty Woman" : 25 ans après, Julia Roberts raconte l'origine du film
    News - Buzz Vidéo

    "Pretty Woman" : 25 ans après, Julia Roberts raconte l'origine du film

    Pretty Woman a vingt-cinq ans! L'occasion pour Julia Roberts de revenir sur le scénario à l’origine du film culte.
    mercredi 25 mars 2015
    Commentaires
    • Plume231
      Le Brise-coeur (1972) d'Elaine May [img]http://www.movieposter.com/pos...[/img] Synopsis : Lenny vient de se marier. Il rencontre et tombe amoureux de Kelly alors qu'il est en lune de miel. Lenny veut se séparer de sa femme pour séduire Kelly, mais il se heurte au père de celle-ci. [img]http://2.bp.blogspot.com/_p1gx...[/img] Critique : Beaumarchais a fait dire une phrase superbe à Figaro dans "Le Barbier de Séville" : "Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer". On a envie de l'appliquer à ce film mais il faut reconnaître que le malaise a tendance à beaucoup prendre le pas sur le rire malgré les efforts que l'on peut faire pour avoir l'effet inverse. La mise en scène et la direction d'acteurs, qui sont tous très convaincants, sont assez proches de celles d'un John Cassavetes, et c'est donc avec un gros vernis de réalisme que l'on suit les actes d'un type attachant, assez sympathique mais un brin sociopathe et stupide qui a tendance à grandement prendre des fantasmes pour des réalités. La fin très ambiguë laisse présager le pire dans ce sens. Et par l'intermédiaire de la vie du protagoniste, on distingue très bien la médiocrité de la vie des classes moyennes américaines donc sensation de malaise renforcée. Une oeuvre bien des années 70, période où on avait pas peur de voir les choses, surtout quand elles sont désagréables, en face. Note : 14/20 (***) [img]http://filmlinc.com/page/-/upl...[/img]
    • Plume231
      Midnight Run (1988) de Martin Brest [img]http://www.commeaucinema.com/i...[/img] Synopsis : Dans le métier de Jack WALSH, chasseur de primes, l'expression midnight run qualifie la proie facile, le bon plan qui peut rapporter gros. 100 000 dollars par exemple, pour retrouver le Duc, charitable comptable d'un caïd du milieu, en cavale après avoir dérobé 15 millions à son dealer de patron pour les reverser à des oeuvres de charité. Du gâteau pour Jack. L'accompagner à Los Angeles s'avère plus indigeste, le FBI, véxé, entend récupérer ce témoin à charge, la mafia a comme des idées de revanche et surtout, surtout, le Duc se révèle un phénoménal emmerdeur... [img]http://3.bp.blogspot.com/_3H1d...[/img] Critique : Le prototype même du road movie qui est surtout prétexte à un buddy movie. Le film est un peu long et il manque parfois de rythme. Mais Robert De Niro montre bien avant "Mafia Blues" qui est totalement à l'aise dans le registre très difficile de la légèreté et trouve à un partenaire à sa mesure avec Charles Grodin, pourtant plus souvent second couteau, excellent en emmerdeur. "Midnight Run" tient donc surtout à un duo d'acteurs irrésistibles mais aussi à quelques scènes et dialogues très drôles. Un bon moment sans se prendre la tête à passer. Note : 13/20 (***) [img]http://www.cinemovies.fr/image...[/img]
    • Plume231
      test
    Back to Top