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    Fernand Gravey
    Métiers Acteur , Scénariste
    Nationalités
    Belge,
    Français
    Naissance 25 décembre 1905
    Décès 2 novembre 1970 à l'age de 64 ans
    57
    ans de carrière
    46
    films et séries tournés
    Comment voler un million de dollars Bande-annonce VO

    Filmographie

    Un Homme en habit
    Un Homme en habit
    Date de sortie inconnue
    La Promesse de l'aube
    La Promesse de l'aube
    Date de sortie inconnue
    Les Caprices de Marie
    Les Caprices de Marie
    1 mars 1970
    La Folle de Chaillot
    La Folle de Chaillot
    Date de sortie inconnue
    Les Petits Matins
    Les Petits Matins
    Date de sortie inconnue
    L'Ecole des cocottes
    L'Ecole des cocottes
    21 mai 1958

    Photo

    Commentaires
    • Plume231
      Le Capitaine Fracasse (1943) d'Abel Gance [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Par amour pour une comédienne, Isabelle, le baron de Sigognac se joint à une troupe ambulante en route pour Paris. [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Adaptation très libre de l’œuvre de Théophile Gautier par le prisme très particulier d'Abel Gance ; des trucs foireux comme des plans réutilisés plusieurs fois, des montages hasardeux, des séquences mal foutues comme le hold-up avec les cadavres. De plus, Abel Gance est un homme de flamboyance, de baroque, de lyrisme et pas du tout dans la finesse psychologique ; ce trait peut parfois agacer, comme dans "La Roue", soit au contraire participer étrangement à la puissance visuelle du machin, comme dans le légendaire "Napoléon" ou tout simplement ici, des coups de poing pour l’œil, de l'inspiration en veux-tu en voilà... En fait tout participe incroyablement à ça. Pour résumer, "Le Capitaine Fracasse" a les qualités de ses qualités mais aussi les qualités de ses défauts. Une Isabelle nettement plus piquante et moins tête-à-claques que dans le roman de Gautier, un Fernand Gravey charismatique dans le rôle principal, un duel avec des dialogues en alexandrins absolument sublimes grand moment pour les yeux et les oreilles... Déséquilibré, d'une imperfection qui donne l'impression d'être pleinement assumée pour ne pas dire faite exprès, mais putain que c'est beau, putain que c'est grandiose, putain que c'est plaisant. [img]http://nsm03.casimages.com/img...[/img] [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • tomPSGcinema
      [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Le dernier tournant de Pierre Chenal Première adaptation du roman « le facteur sonne toujours deux fois », ce film de Pierre Chenal se trouve être une excellente surprise. La mise en scène est vraiment de qualités, car elle possède une atmosphère lourde et qui colle parfaitement au roman de James Caan. Côté casting, on a la chance de pouvoir compter sur des super comédiens comme Michel Simon, Fernand Gravey ou encore la bien troublante Corinne Luchaire. Il s’agit donc d’une adaptation qui ne manque pas d’atouts et qui n’a finalement pas grand-chose à envier à celle plus connu que réalisera Tay Garnett quelques années plus tard. 3,5*16,5/20 [img]http://www.images-chapitre.com...[/img]
    • Plume231
      Paradis perdu (1940) d'Abel Gance [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Le 14 juillet 1913, lors d'un bal populaire, Pierre Leblanc, un jeune peintre, rencontre Janine Mercier, employée chez le couturier Calou. Les jeunes gens se plaisent et deviennent bientôt amants. Un jour, Janine se voit offrir une robe par la princesse Sonia Vorochine, une cliente capricieuse. Pierre retouche la tenue, qui remporte un concours d'élégance. Cet exploit lui vaut d'être embauché comme modéliste chez Calou, au bord de la faillite. Puis Pierre et Janine se marient. Mais leur bonheur est de courte durée. En 1914, la guerre éclate et le jeune homme est envoyé au front. Janine, enceinte, se retrouve seule. La maison Calou ayant cessé son activité, elle est contrainte de travailler dans une usine d'armement. Quelques mois plus tard, elle meurt en mettant au monde une petite fille... [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Pourtant considéré comme un des meilleurs films parlants de la carrière de son réalisateur, je ne peux pas dire que j'ai débordé d'enthousiasme pour ce "Paradis perdu". Les trentes-quarante cinq premières minutes présageaient quelque chose de très bon d'autant que, chose que reconfirmera parfaitement deux ans la belle réussite qu'est "La Nuit fantastique", le couple Fernand Gravey-Micheline Presle fonctionne admirablement. Mais la seconde moitié, la faute à un moralisme très daté, est malheureusement très loin d'être aussi emballante. En étant beaucoup plus audacieuse et moins bien-pensante, cette partie du film aurait pu être digne de la première et donner un très beau film, dommage... Note : 8,5/20 (**) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Le Dernier Tournant (1939) de Pierre Chenal [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Frank, un vagabond, arrive au hasard de ses errances dans une station-service isolée. Il sympathise avec le patron, Nick, marié à Cora, une femme pulpeuse, beaucoup plus jeune que lui. Frank et Cora sont irrésistiblement attirés l'un par l'autre et bientôt unis par une passion physique dévorante. Ils décident d'assassiner Nick. Après une première tentative ratée, ils réussissent à maquiller leur forfait en accident. La police ne retient aucune preuve contre eux... [img]http://www.cinematheque.fr/dat...[/img] Critique : Alors celle avec Lana Turner, plus ensuite celle néoréaliste de Luchino Visconti, plus celle la plus récente avec Jack Nicholson et j'ajoute enfin celle-ci, et j'ai vu les quatre adaptations au cinéma du roman de James Cain "Le Facteur sonne toujours deux fois". C'est bien de terminer sur la première version, c'est juste dommage que ce soit la plus faible. Le film dure une heure et demie et c'est trop peu. Enfin surtout en ce qui concerne le moment entre la scène où les deux personnages principaux se rencontrent et celle où ils deviennent amants est trop court. On a du mal à y croire et la profondeur des protagonistes en est considérablement sacrifiée. La suite heureusement rattrape un peu le coup. L'autre point faible, c'est le jeu parfois limité de l'actrice Corinne Luchaire. Par contre, Fernand Gravey surprend agréablement dans un registre peu habituel mais c'est sans conteste Michel Simon qui se taille considérablement la part du lion. Encore une fois, l'acteur se montre parfait, d'une très grande sobriété et se permet même d'être le meilleur "mari cocu et assassiné" des quatre versions. En outre, l'ensemble se montre souvent cruel et noir même si les trois versions suivantes exploiteront mieux ces aspects de l'histoire. Note : 13/20 (***) [img]http://4.bp.blogspot.com/_vMH5...[/img]
    • Plume231
      Toute la ville danse (1938) de Julien Duvivier [img]http://www.cinema-francais.fr/...[/img] Synopsis : Vienne. Après avoir été renvoyé de la banque où il travaille, Johann Strauss, un jeune musicien, forme un orchestre et grace à sa musique, fait valser la population. Lorsqu'une cantatrice l'entend, elle décide d'intercéder en sa faveur auprès de l'empereur François Joseph pour qu'il lui commande un opéra... [img]http://www.cinematheque.fr/dat...[/img] Critique : Un petite rareté Made In Hollywood réalisée par le grand réalisateur Made In France Julien Duvivier que ce biopic fantaisiste mais sympatoche sur Johann Strauss le deuxième du nom. Le père Duvivier, pourtant connu pour être un réalisateur sec et rigoureux, se lâche parfois complètement surtout dans la scène de la calèche. Autrement entre deux scénettes musicales, on parle d'un sujet tout de même audacieux dans l'Amérique très morale de l'époque : l'adultère. Sinon Fernand Gravey parle très bien l'anglais, Luise Rainer est un peu cabotine mais tellement délicieuse qu'on lui pardonne. Pas grandiose mais agréable et puis qu'est qu'on ne ferait pas pour ces valses à jamais indémodables que le film ne nous épargne heureusement pas pour le plus grand plaisir des oreilles. Note : 11,5/20 (***) [img]http://3.bp.blogspot.com/-NFpo...[/img]
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