Il fait bon vivre à Angevine, village que son maire préserve de toutes les mauvaises nouvelles et de tous les périls. Mais il ne peut rien en revanche pour retenir sa fille Marie, courtisée par un riche Américain en quête d'une énième épouse. Installée aux Etats-Unis, la jeune femme ne tarde pas à avoir le mal du pays. Son mari ...
2 septembre 1966|
2h 03min
|Comédie,
Policier,
Romance
Date de reprise6 juillet 2011
DeWilliam Wyler
AvecAudrey Hepburn,
Peter O'Toole,
Eli Wallach
Titre original
How to Steal a Million
Charles Bonnet possède une impressionnante collection d'art, dont il vend quelques pièces à d'autres amateurs. Seul problème, les œuvres sont en fait d'ingénieuses imitations. Par défi et orgueil, il accepte de prêter une statuette à un musée...
Un narrateur, le « meneur de jeu », présente une série d'histoires tournant autour de rencontres amoureuses ou « galantes ». La « ronde » passe de la prostituée au soldat, du soldat à la femme de chambre, de la femme de chambre au fils de famille, et ainsi de suite jusqu’à ce que le cercle soit bouclé…
Alors qu'elle s'était inventé un amant pour repousser les avances de son imprésario, Christine Jourdan se voit obligée de gérer la jalousie de son mari Jacques sur ce concurrent fictif. La jeune femme profite alors d'une annonce dans un journal pour annoncer sa mort et enterrer définitivement ce mensonge. Mais en voulant se débarasser de ses ...
Domino tente de vendre sa statue dans une galerie d'art. Il y fait la rencontre de la sulfureuse Mme Heller, qui le convaincra de jouer le rôle de son amant. C'est le début des embrouilles...
Par amour pour une comédienne, Isabelle, le baron de Sigognac se joint à une troupe ambulante en route pour Paris. Quand un acteur décède, il reprend son rôle : celui du capitaine Fracasse.
Toutes les nuits en rentrant de son travail, Denis, étudiant le jour, s'endort et rêve d'une mystérieuse femme habillée en blanc. Omnibulé par cette image, il se détourne de sa compagne et un soir le rêve devient comme réalité lorsqu'il décide d'enfin la suivre dans son monde.
En 1913, Pierre epouse Janine puis part a la guerre alors qu'elle est enceinte. Il apprend au front qu'elle est morte en donnant le jour a une fille. Il rentre, desespere, ne veut pas voir sa fille et cherche en vain son paradis perdu. Mais le jour ou il accepte de reconnaitre son enfant, il retrouve une raison de vivre.
Frank, un vagabond, prend pour maîtresse la femme de son patron. Celle-ci souhaitant se débarrasser de son mari, demande l'aide de Frank pour faire passer le meurtre pour un accident mais c’est finalement elle qui finira victime de sa propre machination. Frank, accusé du crime, est condamné à mort.
Un jeune ouvrier intelligent, entreprenant mais vantard, répète à tous les vents que, s’il était le patron, on verrait ce qu’on verrait. Un des principaux actionnaires de l’usine le prend au mot pour vingt-quatre heures...
Le Capitaine Fracasse (1943) d'Abel Gance
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Synopsis : Par amour pour une comédienne, Isabelle, le baron de Sigognac se joint à une troupe ambulante en route pour Paris.
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Critique : Adaptation très libre de l’œuvre de Théophile Gautier par le prisme très particulier d'Abel Gance ; des trucs foireux comme des plans réutilisés plusieurs fois, des montages hasardeux, des séquences mal foutues comme le hold-up avec les cadavres. De plus, Abel Gance est un homme de flamboyance, de baroque, de lyrisme et pas du tout dans la finesse psychologique ; ce trait peut parfois agacer, comme dans "La Roue", soit au contraire participer étrangement à la puissance visuelle du machin, comme dans le légendaire "Napoléon" ou tout simplement ici, des coups de poing pour l’œil, de l'inspiration en veux-tu en voilà... En fait tout participe incroyablement à ça. Pour résumer, "Le Capitaine Fracasse" a les qualités de ses qualités mais aussi les qualités de ses défauts. Une Isabelle nettement plus piquante et moins tête-à-claques que dans le roman de Gautier, un Fernand Gravey charismatique dans le rôle principal, un duel avec des dialogues en alexandrins absolument sublimes grand moment pour les yeux et les oreilles... Déséquilibré, d'une imperfection qui donne l'impression d'être pleinement assumée pour ne pas dire faite exprès, mais putain que c'est beau, putain que c'est grandiose, putain que c'est plaisant.
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tomPSGcinema
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Le dernier tournant de Pierre Chenal
Première adaptation du roman « le facteur sonne toujours deux fois », ce film de Pierre Chenal se trouve être une excellente surprise. La mise en scène est vraiment de qualités, car elle possède une atmosphère lourde et qui colle parfaitement au roman de James Caan. Côté casting, on a la chance de pouvoir compter sur des super comédiens comme Michel Simon, Fernand Gravey ou encore la bien troublante Corinne Luchaire. Il s’agit donc d’une adaptation qui ne manque pas d’atouts et qui n’a finalement pas grand-chose à envier à celle plus connu que réalisera Tay Garnett quelques années plus tard.
3,5*16,5/20
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Plume231
Paradis perdu (1940) d'Abel Gance
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Synopsis : Le 14 juillet 1913, lors d'un bal populaire, Pierre Leblanc, un jeune peintre, rencontre Janine Mercier, employée chez le couturier Calou. Les jeunes gens se plaisent et deviennent bientôt amants. Un jour, Janine se voit offrir une robe par la princesse Sonia Vorochine, une cliente capricieuse. Pierre retouche la tenue, qui remporte un concours d'élégance. Cet exploit lui vaut d'être embauché comme modéliste chez Calou, au bord de la faillite. Puis Pierre et Janine se marient. Mais leur bonheur est de courte durée. En 1914, la guerre éclate et le jeune homme est envoyé au front. Janine, enceinte, se retrouve seule. La maison Calou ayant cessé son activité, elle est contrainte de travailler dans une usine d'armement. Quelques mois plus tard, elle meurt en mettant au monde une petite fille...
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Critique : Pourtant considéré comme un des meilleurs films parlants de la carrière de son réalisateur, je ne peux pas dire que j'ai débordé d'enthousiasme pour ce "Paradis perdu". Les trentes-quarante cinq premières minutes présageaient quelque chose de très bon d'autant que, chose que reconfirmera parfaitement deux ans la belle réussite qu'est "La Nuit fantastique", le couple Fernand Gravey-Micheline Presle fonctionne admirablement. Mais la seconde moitié, la faute à un moralisme très daté, est malheureusement très loin d'être aussi emballante. En étant beaucoup plus audacieuse et moins bien-pensante, cette partie du film aurait pu être digne de la première et donner un très beau film, dommage...
Note : 8,5/20 (**)
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Plume231
Le Dernier Tournant (1939) de Pierre Chenal
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Synopsis : Frank, un vagabond, arrive au hasard de ses errances dans une station-service isolée. Il sympathise avec le patron, Nick, marié à Cora, une femme pulpeuse, beaucoup plus jeune que lui. Frank et Cora sont irrésistiblement attirés l'un par l'autre et bientôt unis par une passion physique dévorante. Ils décident d'assassiner Nick. Après une première tentative ratée, ils réussissent à maquiller leur forfait en accident. La police ne retient aucune preuve contre eux...
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Critique : Alors celle avec Lana Turner, plus ensuite celle néoréaliste de Luchino Visconti, plus celle la plus récente avec Jack Nicholson et j'ajoute enfin celle-ci, et j'ai vu les quatre adaptations au cinéma du roman de James Cain "Le Facteur sonne toujours deux fois". C'est bien de terminer sur la première version, c'est juste dommage que ce soit la plus faible. Le film dure une heure et demie et c'est trop peu. Enfin surtout en ce qui concerne le moment entre la scène où les deux personnages principaux se rencontrent et celle où ils deviennent amants est trop court. On a du mal à y croire et la profondeur des protagonistes en est considérablement sacrifiée. La suite heureusement rattrape un peu le coup. L'autre point faible, c'est le jeu parfois limité de l'actrice Corinne Luchaire. Par contre, Fernand Gravey surprend agréablement dans un registre peu habituel mais c'est sans conteste Michel Simon qui se taille considérablement la part du lion. Encore une fois, l'acteur se montre parfait, d'une très grande sobriété et se permet même d'être le meilleur "mari cocu et assassiné" des quatre versions. En outre, l'ensemble se montre souvent cruel et noir même si les trois versions suivantes exploiteront mieux ces aspects de l'histoire.
Note : 13/20 (***)
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Plume231
Toute la ville danse (1938) de Julien Duvivier
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Synopsis : Vienne. Après avoir été renvoyé de la banque où il travaille, Johann Strauss, un jeune musicien, forme un orchestre et grace à sa musique, fait valser la population. Lorsqu'une cantatrice l'entend, elle décide d'intercéder en sa faveur auprès de l'empereur François Joseph pour qu'il lui commande un opéra...
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Critique : Un petite rareté Made In Hollywood réalisée par le grand réalisateur Made In France Julien Duvivier que ce biopic fantaisiste mais sympatoche sur Johann Strauss le deuxième du nom. Le père Duvivier, pourtant connu pour être un réalisateur sec et rigoureux, se lâche parfois complètement surtout dans la scène de la calèche. Autrement entre deux scénettes musicales, on parle d'un sujet tout de même audacieux dans l'Amérique très morale de l'époque : l'adultère. Sinon Fernand Gravey parle très bien l'anglais, Luise Rainer est un peu cabotine mais tellement délicieuse qu'on lui pardonne. Pas grandiose mais agréable et puis qu'est qu'on ne ferait pas pour ces valses à jamais indémodables que le film ne nous épargne heureusement pas pour le plus grand plaisir des oreilles.
Note : 11,5/20 (***)
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