Avis BoJack Horseman

Une Véritable Perle. Raphael Bob-Waksberg livre un Tour de Force hors du commun avec cette Dramédie D'Animation Mélancolique et Satirique dont on ne reste pas indifférent face a cette Ovni télévisuel. Pour Commencer la Réalisation est Innovatrice et Soignée méticuleusement ou l'on plonge dans un univers immersif ou Humain et Animaux parlant se côtoient a travers une ambiance Nauséabonde et Coloré qui est accompagné d'une BO très mélodieuse de Grouplove & Jesse Novak qui apportent leurs édifice a la réussite de la série. Ensuite le Concept est Originale et Passionnant de bout en bout au cours des 6 Saisons en suivant notamment les déboires d'un Acteur cheval populaire grâce a une Sitcom des années 90 qui est progressivement devenu Has Been et Dépressif qui essaye de renouer avec sa gloire d'antan ainsi que la reconnaissance de son entourage qui essayent eux aussi de trouver un véritable sens dans leurs vies respectives tout en arrivant a gagner en épaisseur a chaque épisode dont la série parvient a se renouveler pratiquement a chaque saison a travers des Rebondissements inattendus tout en traitant des Thématiques d'une façon Subtile et sans concessions comme la Célébrité,la Quête Initiatique,la Dépression,la Solitude,la Tolérance,le Racisme,l'Amour,L'Amitié et la Mélancolie qui y sont magistralement retranscrit a travers son Rythme Posé et amplement soutenu, Ajouter a cela une Multitude de Séquences d'Anthologies qui nous fait passer par un stade émotionnelle hallucinant grâce notamment a son Humour particulièrement Mordant et Caustique qui regorge de Dialogues biens Senties en passant par des Mises en Situations Désopilantes et Improbables tout en étant Crues la plupart du temps qui est déconseiller aux plus sensibles tout en parvenant a nous toucher droit au cœur sans tirer dans le larmoyant avec des Scènes Intimistes poignantes et pleine de Philosophie mais également pleine de références savoureuses a la Pop Culture et a l'actualité actuel qui s'ancre parfaitement dans le concept. Pour Finir les Personnages sont Pittoresques et Attendrissants grâce notamment a son Doublage Vocal d'exception dont retrouve en tête l'inoubliable Will Arnett qui prête sa performance vocale hors du commun a travers le personnage emblématique de Bojack Horseman un acteur et Cheval anthropomorphique Cynique,Alcoolique,Fêtard,Narcissique et Touchant dont découvre petit a petit le raisons de son comportement Auto Destructeur et Mélancolique tout en essayant d'atteindre les sommets de la gloire et de la reconnaissance dont le personnage rentre au Panthéon des Personnages Marquants de ces 20 dernières années, Autour de notre Acteur sur le déclin on retrouve au passage quelques Seconds Rôles mémorables comme Princess Carolyn une Agent de Star Déterminée,Indépendante et Impitoyable mais aussi Diane Nguyen une écrivaine Incomprise et Brillante qui ne nouent une relation spéciale avec Bojack sans oublier l'inoubliable Todd Chavez le Colocataire Feignant et Gaffeur de Bojack qui est rejoint par Mr. Peanutbutter un golden retriever Optimiste et Naïf également acteur a succès qui est très Enthousiasmant et Optimiste tout en étant le rival de Bojack dont on peut saluer haut la main les performances vocales et respectives de Amy Sedaris,Alison Brie,Aaron Paul et Paul F. Tompkins chaque personnage arrive a s'émanciper au fil que la série avance tout en n'oubliant pas quelques Guest Stars mémorables qui viennent enrichir l'univers de Bojack Horseman. En Conclusion, Bojack Horseman est indéniablement un Ovni incassable du monde des Séries Télés dont on peut saluer le Génie et L'Ingéniosité du créateur Raphael Bob-Waksberg qui livre un véritable sans faute pendant ces 6 Saisons d'une qualité quasi exemplaire tout en signant ici une Comédie D'Animation a la fois Brillante,Mélancolique,Hilarante,Irrévérencieuse,Onirique,Féministe,Tendre et Engagé qui rentre au Panthéon des Séries Incontournables des Années 2010 et qui parvient au passage a apporter une Conclusion Douce Amère et Audacieuse a l'une des grandes séries de notre époque a savourer sans modération.

Il est des séries qui, une fois terminées, nous font couler une larme devant la cruauté de son contenu alors qu’on a passé son temps à rire à gorge déployée. « Bojack Horseman » est de celles-ci. Le concept de ce dessin animé est particulier puisqu’il met en scène des personnages anthropomorphiques. Comme dans les Fables de la Fontaine, on peut percevoir des liens entre les traits de caractère des différents protagonistes de l’histoire et la représentation qu’on se fait des animaux qui les incarnent. Mais avant tout, ce procédé permet de créer une atmosphère et un style uniques, renforcés par un univers graphique reconnaissable entre mille. Il permettra également aux auteurs de distiller un humour d’une créativité jubilatoire en fonction des spécificités de chaque espèce animale vue à l’écran.

Bojack (un cheval) est donc une ancienne vedette de la télé connue pour avoir joué dans une sitcom. Désœuvré, il partage sa vaste maison avec Todd, un jeune humain qu’il a un jour hébergé et qui dort depuis sur son canapé. A ce stade du récit, il est pressé par son agent, la chatte rose Princess Carolyn, d’écrire ses mémoires. Mais comme il se montre incapable d’accoucher de la moindre ligne, Diane Nguyen, une auteure humaine, va se charger de mettre en mots sa biographie. Bojack apprend du même coup que cette dernière est en couple avec M. Peanutbutter (un chien), une autre star de la télé qu’il connaît depuis longtemps. La narration alors va tourner autour de ces 5 personnages.
Les forces de cette série sont multiples mais la principale tient avant tout au fait que les auteurs ont réussi à créer un personnage foncièrement méprisable auquel il sera bien difficile de ne pas s’attacher. Car Bojack est un être orgueilleux, égoïste et qui se soucie assez peu des gens qui l’entourent malgré l’affection qu’il leur porte. Todd, son colocataire pourrait en témoigner ! Et si on a du mal à le détester, c’est qu’en dépit de tout le malheur que Bojack engendre autour de lui, on a de cesse de le voir lutter contre ses démons. De fait, il est une victime privilégiée des mauvais choix qu’il effectue et qui l’amènent irrémédiablement à se mépriser toujours plus profondément. Alors, comment ne pas être touché par ce drôle de cheval qui recherche désespérément l’amour dans le regard des autres tandis qu’il passe son temps à le rejeter sous prétexte qu’il ne s’en sent pas digne ? Pourtant, au vue de son enfance, son attitude a du sens. Mais on aimerait qu’il se sorte de ses schémas autodestructeurs car on perçoit sa souffrance … et on ne peut s’empêcher de souffrir pour lui.

Mais Bojack n’est pas le seul atout de cette série hors norme. Les personnages qui l’entourent sont tout simplement délicieux et les relations qu’ils entretiennent apportent énormément à la richesse de l’ensemble. En premier lieu, il y a Diane, le principal poil-à-gratter de Bojack. Celle qui tente de le placer devant ses responsabilités mais qui l’incite aussi à devenir une meilleure personne. Le lien viscéral qui unit ces deux êtres hantés par leurs névroses est unique et bouleversant. Car indépendamment de Bojack, chacun a son histoire personnelle et celle de Diane, incapable de trouver sa place dans un monde qu’elle exècre, est d’une justesse absolue.

A première vue, il s’agirait donc d’une série grave et déprimante. Et pourtant non. On rit et on rit même beaucoup. Tout d’abord car Bojack est intrinsèquement drôle. Son regard cynique et désabusé sur le monde se manifeste au travers de répliques désopilantes. D’ailleurs, les dialogues dans leur ensemble sont juste exceptionnels et superbement valorisés par le travail des doubleurs. L’humour sombre de Bojack est encore plus savoureux en présence M. Peanutbutter, son double à la positive attitude. Car au contraire de Bojack, celui-ci est toujours content. En bon labrador qu’il est, le voir tirer la langue et lever les oreilles dès qu’il est agréablement surpris (c’est à dire, souvent, … sauf quand il voit un facteur) est hilarant et contraste magnifiquement avec l’attitude bourrue de son alter ego. Côté humour, on pourrait aussi évoquer les projets que lui et son comparse Todd tentent de mettre sur pied, tous plus délirants les uns que les autres. Ils viennent joyeusement renforcer l’aspect déjanté du récit souvent présent dans les dessins animés. Car Todd est le trublion volage du récit, gentiment stupide (ou génial) et totalement soustrait des préoccupations existentielles. Mais que ce soit pour M. Peanutbutter ou Todd, on n’est pas en présence d’entités vides de sens présentes pour amuser la galerie. Les deux ont aussi une belle sensibilité et la relation très émouvante entretenue par Diane et Peanutbutter en est le plus bel exemple.

Mais « Bojack Horseman » ne se limite pas à ses personnages et traite aussi de bon nombre de sujets d’actualités. Ainsi, par l’intermédiaire de la très attachante Princess Carolyn, on va rentrer de plein pied dans le monde joyeux d’Hollywoo (sans « d » s’il vous plaît !). Et il semble que devenir une star dans cet environnement conduise irrémédiablement à la folie. Des vrais acteurs de métier n’hésitent d’ailleurs pas à se donner le mauvais rôle pour l’illustrer. Le monde des médias et celui de la politique seront aussi sérieusement égratignés. Et à chaque fois, la critique est corrosive mais drôle et inventive ! Tout comme l’est le format des épisodes qui deviennent de plus en plus conceptuels au fur et à mesure que la série avance. On passe ainsi d’une séquence muette se déroulant dans le monde sous-marin à un « éloge » funèbre de 25 minutes. Avec dans ces deux cas, des dénouements qui méritent des applaudissements. On est alors tenté de crier au génie devant ces trouvailles visuelles et narratives qui servent toujours le récit.

Que ce soit dans le traitement de ses personnages, dans ses dialogues, dans sa créativité, on aurait donc une série parfaite si le début de la dernière saison n’était pas aussi faible. Délaissant une formule qui avait si bien fonctionné durant 60 épisodes, les auteurs devaient finir leur œuvre. Dès lors, la narration prend le pas sur le rythme et l’inventivité et on s’ennuie un peu. Et si la fin réussie est digne de ce qu’on pouvait attendre, il est clair qu’on rit moins. Mais à part cette fausse note, on ne peut qu’être émerveillé par une œuvre si bouleversante, drôle et originale. Un chef-d’œuvre, assurément.

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L'animation est colorée et originale mais n'est pas jolie, ce sont des histoires pour amateur de névroses et de perversités avec un quotidien des plus inintéressant. Le goût du mauvais goût, rien de moins édifiant.

On pourrait passer sur le bestiaire de Bojack Horseman, assez flippant quelque part, mais le pire c'est que c'est une sorte de dessin animé bobo sur le monde très fermé du spectacle américain. Du coup rien ne nous concerne, je n'ai même pas souri une seule fois. Les états d'âmes des stars version cheval, chat, ou requin, franchement, ça me laisse de marbre. Triste que ce soit sur-diffusé.

Jamais une série sur des animaux anthropomorphes n'aura paru si réaliste. La série (jamais je ne me suis encore identifié à un cheval...) , entre rire et larmes, trouve toujours le ton juste. Elle reste touchante du début à la fin. L'écriture des personnage fait la force de cette série avec les expérimentation présentes lirs de certains épisodes (l'épisode sous-marin et le discours funèbre de BoJack, entre autres, sont bluffants). A travers le personnage de BoJack, cette série explore des thèmes sombres comme la dépression, l'addiction tout en tournant en dérision le monde d'Hollywoo(d). Un autre grand chef d'œuvre d'animation du petit écran à ranger aux côtés de Rick & Morty et Les Simpsons

Sur Netflix, Bojack Horseman est pour moi la meilleure série d’animation pour adulte. Et une des meilleures séries animé de tous les temps selon moi. Ne vous fier pas aux apparences. Ça a l’air debile a première vue(l’univers WTF) mais ça l’est pas du tout . On va suivre la vie de Bojack Horseman et de ses « amis » à travers tout un prisme émotionnel via parfois des flashback de leur vies . La série se concentre quand même plus en profondeur forcément sur Bojack. Un cheval narcissique, auto-destructeur, nostalgique, dépressif (parmis ces traits les plus marqués) . On s’attache vite à se personnage malgré son comportement irrespectueux envers les autres . On espère qu’il va trouver le bonheur tout comme ses camarades . Mais on va vite se rendre compte que ça va pas être aisé ... série très sombre avec un humour un peu piquant . Le cocktail est parfait . La fin m’a ému et nous fait réfléchir sur la vie . Il faut absolument voir cette série. 5 étoiles eeeeeasy.

Tout est parfait du début à la fin,
Humour noir , introspection , psychologie exacerbée alors qu’on a l’impression que c’est assez casual .
Nous sommes tous des boyjacks à la recherche de nous meme en nous cachant derrière des prétextes .
On lui souhaites d’être heureux.
Final magnifique

Saison 6 : 3/5
Partie 1 : Si la série continue de nous impressionner, un personnage manque à l’appel. BoJack Horseman est en mode pause dans son centre de désintox. Il n’est plus le cheval qu’il était, tant mieux pour lui, mais moins pour le spectateur. 3,5/5
Partie 2 : D’une manière générale, cette fin s’est révélée moins ambitieuse que l’intégralité de la série et c’est bien dommage. Les scénaristes tassant en 6 petits épisodes tout ce qu’ils n’avaient pas eu le temps de faire, nous laissant perplexes à l’issue de la scène finale. 2/5

Happy end ? Nous ne sommes pas dans une sitcom, Bojack Horseman a su me captivé du début à la fin, l'humour noir de la série est très bien gérer même dans les moments tristes. C'est une série très profonde qui aborde très bien des thématiques sur la dépression, la mort, l'alcoolisme, l'envers du décors de Hollywood, l'hypersexualisation, le féminisme et pleins d'autres encore. On est face à une réalité, celle que nous connaissons mais aborder différemment. Les personnages anthropomorphisés nous permettent de mieux saisir leurs personnalités et caractères ce qui est simple à assimiler pour les personnages humains on est face à la complexité, comme dans la vie réel et le personnage de Bojack associe ces 2 caractéristiques "Horseman" (homme cheval) La série nous emmène dans une quête de la recherche de l'identité, du bonheur, etc. Ca peut faire peur dis comme ça mais la série nous y emmène petit à petit. Ce que je trouve encore plus incroyable se sont les détails, un personnage meurt, sa mort restera impactante du moment de l'évènement jusqu'à la fin aucun personnage n'est oublié. Spoiler : spoiler: Ou encore quand le D de Hollywood a été volé, le nom est devenu Hollywoo et a été changé pour Hollywoob dans la dernière saison car Mr.PeanutsButter a décidé de redonner la lettre manquante et pendant tout ce temps les personnages ne disaient pas Hollywood mais le prononçais Hollywoo.
Chaque action a une réel conséquence que ça soit sur le long ou le court terme. Ce que j'ai le plus aimé c'est la détermination de Bojack à chercher le bonheur car même face à l'adversité il s'en sort et trouve cet instant même s'il disparaît, il faut chérir ces instants de bonheur car on peut tout perdre.

C'est une excellente série, la réalisation est magnifique je le conseille à tous !

Une série d'animation outrageuse qui prend un angle plus dramatique et adulte que des Simpsons ou simili. Une vraie réflexion sur la dépression.

Une série qui a priori ne semble pas payer de mine et pourtant....
Tout est remarquable: le développement des personnages, les thématiques exploitées (dépression, addictions, dessous du monde du show-bizz), la manière de raconter et de mettre en scène. Un vrai bijou qui nous plonge dans le rire mais aussi une grande tristesse tant les personnages sont humains c'est-à-dire faillibles..

Cette série est excellente, les personnages sont drôles, touchants, ils sont très bien développés et évoluent tous différemment et très intelligemment. L'animation est incroyable et original. Cette série est une superbe mise en abyme du monde du cinéma qui mêle sérieux et humour.

Bojack Horseman est un véritable chef-d'oeuvre de l'animation, mais des séries en général. Je ne pourrais même pas la définir tant elle est absolument parfaite. Le genre de série qui laisse un vide une fois qu'on l'a terminée.
Bojack Horseman raconte l'histoire de Bojack, un cheval star de Hollywood qui mène une vie très mouvementée. Sa vie de star est réussie, mais sa vie personnelle est un cauchemar.
Et putain que c'est brillant. Les personnages, l'écriture, l'histoire, tout est millimétré pour pondre une œuvre magistrale. Le personnage de Bojack est tellement attachant malgré son caractère. Idem pour les autres personnages dont on découvre une nature toujours différente, Peanutbutter, Todd, Carolyn... Chaque personnage a son histoire et Bojack a toujours sa place.
A chaque épisode, on sent l'évolution de chacun des personnages et celle de Bojack est tout simplement magnifique. Lui, qui semble tout rater dans sa vie personnelle se remet en question, mais continue d'échouer.
Lorsque j'avais commencé la série, je trouvais les épisodes un peu fades. Mais comme on dit, il faut parfois se laisser du temps. La magie a opéré. Dès lors que l'on rentre dedans, on se retrouve dans un univers sublime où les épisodes cherchent toujours à être ingénieux, rien n'est laissé au hasard, tout est travaillé. Honnêtement, lorsque j'ai fini le dernier épisode, j'ai eu cette tristesse au fond de moi. Cette tristesse qui me dit que je ne verrai plus un seul épisode de leurs aventures. Cette tristesse qui me dit également que je viens de terminer un chef-d'oeuvre comme il en existe peu. Merci Bojack.

je suis un grand fan de dessin animé pour adolescence / adulte mais la je n est pas dutout aimer les personnages non pas d âme est l humour n est pas dutout de mon goux cette série a un concept intéressant mais les scénaristes en on fait une série ennuyant avec un personnage principal sans personnalité ni humour et la série n évolue pas beaucoup bref je ne vous la conseille pas et elle prend une saison et demie a commencé

Chef d'œuvre Artistique, Philosophique absolu. Cette série cache derrière son animation peu sérieuse et ses traits d'humour une analyse philosophique de la vie, en abordant des sujets comme la dépression ou la valeur de la vie. N'importe quel être humain devrait regarder Bojacl Horseman au moins une fois dans sa vie.